Le débat du 22 février 2015 : « La liberté doit être égale, sans quoi elle est un privilège », animé par Irène Herpe-Litvin.

5 comments

Posted on 18th février 2015 by Gunter in Uncategorized

5 Comments
  1. Gilles Roca says:

    La Liberté doit’ être’ égale, sans quoi elle’ est’ un privilège,​Irène,​Aux Phares,

    Liberté … Égalité … pour tout’ être, humain, ou … privilège … pour certains’ êtres’ humains, – privilèges’ Abolis … depuis notredite Révolution Française’, intra muros’,
    et dans Le monde’, extra muros’,
    en référence’ À elle’, À sa réputation -, pour tous’, … Les droits humains,
    - Limités’ À nous, tous Les Nord-Occidentaux -, comme’- un … droit, bien … commun,
    ou … sélectif, et exclusif, et inhumain …
    « La Liberté du renard Libre,
    dans Le poulailler Libre »,
    « C’est La Liberté qui opprime’, et c’est La Loi qui Affranchit », Lacordaire’,
    Résistance … Combat … Lutte … nous … L’accordèrent,
    « Qui A peur n’est pas Libre ; qui est Libre fait peur », Jacques’ Gaillot,
    intime’, universelle, Vibre … La Libre … fibre’, Aux radicales’… Ailes, de L’esprit inventeur, sorti de ses boyaux …
    L’esprit innovateur,
    Liberté intérieure’, et Liberté du travailleur, responsable’,
    et coupable,
    La Liberté, qui fait déborder Le Vase … La Vase, c’est dans L’épreuve’…
    qu’elle’ fait ses preuves,
    de Liberté – statut … en Liberté Active … dynamique démarche’, individuelle’,
    indépendance … Vive, de se déterminer, de Liberté d’indifférence … passive … négative’…
    en Liberté éclairée, Aux’ Ailes’
    de La dignité de L’être … humain, qui naît … Liberté positive …
    de prendre parti, de prendre part … Aux décisions publiques, bâties …
    La Liberté collective … bâtit,
    construit … Le monde’- humanité, Le monde … soi … Autrui, de Liberté – matrice’…
    en Libération … de nos forces … créatrices,
    croître’, en’ humanité,
    c’est croître’ en Liberté …
    Gilles Roca,

    Cas-fée-Philo des ( nés – nus – ) Phares,
    22 – 2 – 2015’, en ces-jours de Ventôse’,
    et d’égale … Liberté … phare …​​
    sois Libre’… ose !,
    changement d’ère,
    G R

    18th février 2015 at 13 h 39 min

  2. Zub says:

    Las pour les thuriféraires de l’égalité, la liberté sera toujours un privilège, une suite de tocades, une niche à l’envie de tout prévoir, tout régenter : les uns voucront passer leur vie à rien faire quand les autres voucraient travailler nuit et jour, voire faire systématiquement le contraire de ce qu’on leur a dit de faire, rien que pour le plaisir ; surtout, les champions de l’égalité auront du mal à convaincre que le plaisir peut se mesurer comme le blé…ou l’argent….car l’égalité, c’est toujours ce qui se mesure !?!
    Bien mieux, nombre de défenseurs de l’égalité ne sera pas particulièrement égalitariste : il ne s’agissait pour eux que de faire pièce à des défenseurs patentés de la liberté….qui n’avaient pas plus le souci de la liberté qu’eux-mêmes, celui de l’égalité !…
    Donner le plaisir à régenter serait folie : Adolphe HITLER y est parvenu : ça n’a pas bien fini !?
    Le souci de l’égalité restait évidemment un souci hautement utile : le souci de la seule liberté menait à la féodalité qui était un système libérateur pour personne !!!

    18th février 2015 at 18 h 54 min

  3. Zub says:

    Las toujours pour les thuriféraires de l’égalité, tout ce qui touchait à l’égalité devait se mesurer…et les voyait-on se débattre au nom de la seule liberté de mal fairepour échapper eux-mêmes à tout contrôle ; je pensais ici à ces professeurs qui passaient leur vie à noter les autres mais refusaient pour eux-mêmes tout système d’évaluation sérieuse…comme le résultat de leurs élèves aux examens.
    Les thuriféraires de l’égalité avaient bien essayé d’inventer des libertés comme le droit de vote mais on voyait bien le mal qu’ils avaient à admettre l’abstention, la proportionnelle ou la seule rationnalisation du travail législatif….parce qu’il ne s’agissait pas de liberté : il s’agissait seulement de manipulation mentale.
    A écouter les thuriféraires de l’égalité, on en oublierait les bienfaits de l’égalité….
    …à ne pas confondre avec les dividendes de l’externalisation systématique de toutes les tâches pénibles vers la CHINE…ou vers les petits chinois de FRANCE.
    En comparaison, oui, trop belle la vie, les vrais libertaires n’avaient à rendre de compte à personne…pas même à eux-mêmes.
    Sans doute, les vrais libertaires étaient-ils très peu nombreux.
    Oui, être professeur de collège leur était probablement impossible !…
    Comme il fallait des professeurs malgré tout, c’était c’était heureux que tout le monde ne fût pas libertaire-vrai!?!

    18th février 2015 at 18 h 46 min

  4. Zub says:

    Las encore pour les thuriféraires de l’égalité, tout le monde le savait : l’égalité absolue, c’était la mort, dans la mort.
    La fraternité ajoutée à la seule égalité, c’était encore la mort : c’est la seule liberté individuelle instillée à dose raisonnable qui permettait à l’humanité d’échapper à la destruction.
    Inversément, la poursuite de la seule liberté menait à la mélancolie…dans la mesure où il s’agissait d’une chimère…à ne pas confondre avec les aliénations bien réelles, bien concrètes, que tous les aliénés appelaient leur liberté.
    Surtout la formule en débat faisait-elle litière de la fraternité, cette belle idée des pères de 1789…sympathique, positive, constructive…aux antipodes de ce qu’en feront les hommes de guerre, par la suite : non, la fraternité, ce n’était pas la bestialité partagée dans l’ivresse des combats…et son éclipse du discours commun signifiait seulement que la machine électorale léguée par Charles DE GAULLE et consorts était mauvaise…intrinsèquement mauvaise.

    18th février 2015 at 18 h 41 min

  5. Zub says:

    D’aucuns pourraient légitimement se dire que j’en parlais d’autant plus doctement que je n’avais jamais rencontré l’égalité, aussi devais-je dire que si, je l’avais subi comme les autres : comme les autres m’avait-on parqué dans de grandes cours bétonnées-grillagées, fait assoir en rang et courir à la queue leu-leu…comme tout le monde ; pour ne pas nous voir tous tourner malingres et psychotiques, on nous donnait des boules pour cogner dedans. Ce faisaient exclure non pas les sur-doués, ou les crétins, mais seulement les enfants trop remuants, trop vivants. Le paradoxe dévastateur, c’est que ce système ultra-égalitaire ne pouvait se perpétuer sans un grand-frère gendarmesque…hyper-inégalitaire !!! Déjà tous les marchands d’enseignement prétendaient-ils que ce système allait faire de nous des petits saints…et non pas une bande de névrosés irritables et insatiables. Oui, hélas, quand je parle d’égalité, je sais de quoi je parle ! Maintenant, les errements de l’églitarisme n’excusaient point le libéralisme des siens !….!

    18th février 2015 at 18 h 10 min

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