Le débat du 19 juillet 2015 : « Comment garder encore un regard d’enfant ? », animé par Gunter Gorhan.

3 comments

Posted on 16th juillet 2015 by Gunter in Uncategorized

3 Comments
  1. Gilles ROCA says:

    Comment peut – on encore Voir Le monde Avec des yeux d’enfant ? … Phares, Gunter’,

    « La sagesse commence’ dans L’émerveillement », Socrate, « Savoir regarder Le monde, sensible, c’est prolonger La Vision de L’œil … par une Vision de L’esprit », Pierre’ Hadot,
    Plotin ou La simplicité du regard … du jeune’, enfant, Ado … Avec’ cible … Le monde’, Avec’ L’esprit d’Accueil, regard d’enfant, présent … cadeau, « En’ Attendant Godot » …
    « Oh Les beaux jours » … début … « Fin de partie », Beckett’… en – quête, son’ enfant … intérieur, enfant … inter’- rieur, sa Vision intérieure’, élan … en – faon,
    envol, essor, énergie intérieure, d’enfant,
    questionnement, philosophique … questionnement, étonnement … d’enfant,
    son’ émerveillement, naïveté fondamentale’, et, intuition fondamentale’, innocence …
    de La colombe, face’ À La ruse … du serpent, recul, distanciation, des’ yeux, du regard, d’enfant, en suspens … joueur, sérieux, regard, curieux, poétique … mélodieux, regard …
    triste … regard … joyeux … mémoire, d’enfance, miroir, d’enfance’,
    enchantement, réenchantement … du monde … De L’Amour, Au berceau,
    À L’Amour, Au tombeau,
    « cristallisé », Henri Beyle Stendhal, glaëuls … À mon’ Aïeul, belle’ enfance …
    dédale, humanisé, naître … Vivre d’Aimer,
    naître … « mourir d’Aimer »,
    en … « souvenir d’en – France’»,
    interrogation, interpellation, regard en Lien, Avec’ Le monde … L’Autre … soi,
    raisonnement, génie poétique’, créateur, « étonnant … non ? » Pierre Desproges,
    détonant … non !, et d’étonnement en détonement … ma foi,
    itinéraire … d’une’ enfance’, étonnante … détonante … digne … des – loges,
    regard nouveau, et neuf, du, spontané, marcheur, du malicieux, du mélodieux, soliste’,
    en chœur, en Luth’… À Lyre’… Art – piste’, Au plus profond du cœur, L’Artiste,
    Voir Le monde’, en marchant, où se fait Le chemin, Avec’ des’ yeux d’enfant, d’enfance …
    de L’humain, enfant, humain, marcher’… Aux radicales’… Ailes,
    intimes, universelles …
    conviviales’… Ailes,
    enfant, humain, marcher … Vers sa propre … jeunesse’, éphémère’, éternelle,
    première … fois, Vraie foi … besoin, désir … en – vie,
    d’une … Vision d’enfance’,
    où La Vie nous convie …
    serviteur … Avocat,
    Gilles Roca,

    Cas-fée – File’- eau … des ( nés – nus – ) Phares,
    19’- 7’- 2015’, ces – jours … de Messidor,
    d’yeux … d’enfance … d’yeux … phares,
    d’yeux … d’ Art – gens, d’enfant … d’or,
    changement d’ère,
    G R ____

    16th juillet 2015 at 16 h 08 min

  2. pierre--yves says:

    L’énoncé est astucieux. Sans radical pas de mot, et à de plus pas de préfixe sans radical. Ainsi, sans garde, pas de re-gard. Mais la phrase organise sa validité autour d’un regard pré-existant à la problématique énigmatique qui s`obsède -ou du moins semble s’ingénier à nous le faire croire- de l’art la manière et la science -tout à la fois et même plus encore si faire se peut- de le garder, ce regard préalable. Oserai-je qualifier ce regard d’allumeur de réverbère tant il suscite une flamme susceptible d`éclairer nos nuits de promeneurs agités, égarés sur les autoroutes de la conscience. enivrantes. Moi-même, saisi de vertiges rien qu`à l’idée, je sens venir la vague océanique, et pendant cet interstice violant l’unite de pensée qui ne pensait qu’au vide…

    Mon fils je bondis dans l’espace et lors je t’imagine dans l’absence imposée, et dans cette vision acquise je te sais bâillonné de déni et conduit au rôle héroïque de te savoir trop grand face a ces grands enfants qui s’affairent en adultes en décidant pour eux de ce qui te convient. Et tu n’as que sept ans.
    Mon fils, autre recul c’est le temps cette fois et tu n’as que trois ans. Il fait nuit, froid dehors, tu as chaud et tu dors, dans ton petit lit dont j’ai scié le bois collé les planches verni la surface avant d’y encastrer ce long matelas de un metre vingt. Je t’ai bercé debout avant de t’y coucher. Je suis encore penché je te veille, ton petit corps endormi, guettant le souffle ancré je viens de l’appeler, cette  »petite chanson » qui te plait te ravit elle te prend au profond et t’envole bien haut, confiant, rayonnant, apaisé, assoupi.
    Un bond gigantesque j’enjambe des abîmes, des rocs des pics des piques et des épines. Et cette question comme un train qui lancine.

    Si tu savais, monsieur madame, comme ce monde merveilleux que ttu prends pour l’enfance n’est que feu d’artifice c’est un pétard mouillé tu l’as voulu comme tel et ce réveil qui fut rude l’est pour chacun et le sera le sera le sera… et pourtant toutes les merveilles existent car je les ai touchées, crées même. J’ai forgé des montagnes déplacé des rochers j’ai chuchoté des mondes, j’ai traversé déserts, ravins et mangé des soleils.

    Et cette question, qui lancine… Curieusement se superpose la petite main que ma chatte me confie en confiance et son regard d’enfant, un regard qui sait et sait qu’il ne sait pas, un regard qui sent sa dernière heure et qui sait ce qu’il sent, regard en majesté regard qui ne comprend pas et pourtant l’irremplaçable de  »l’être-là », les petites griffes qui entrelacent mes doigts elle sait l’instant venir elle est là dans mes yeux dans les miens elle dit ne me perds pas, cette vie qui s’en va je ne voulais pas ça et je prononce ton nom Elektra, un sursaut dans tes doigts tu t’aggrippes tu t’accroches à la vie à ta vie enfin ce qui t’en reste, p… de péritonite tu me regardes et tu sais et tu sens mais tu ne comprends pas, un regard regard d’enfant, vraiment. Les adultes, qui se prennent pour des grands, ne savent rien de tout çà. Ils pérorent, sont aillleurs ils ont peur.

    Et cette question qui lancine. L’image est changée, j’ai du texte ça défile et le texte est sacré. Du nouveau testament. C’est vrai, pour les anciens des temps anciens, l’enfant était fantôme ils existaient tous deux ils existaient hors chair et ils étaient en corps mais vivaient en esprit et ce royaume ce royaume indicible qui leur appartenait ils y avaient la vie, c’était le fantastique et sa genèse même, mais que reste-t-il de ce passé de ce messie de ce passé écrit et vers qui se tourner pour en fixer les yeux le regard et l’esprit ?

    Et cette question qui lancine. Il faut ré inventer l’esprit. Comment s’imaginer perdre son regard d’enfant, à moins d’avoir perdu l’esprit, avant?

    pierre–yves
    rei.vitae.filos@gmail.com

    16th juillet 2015 at 4 h 03 min

  3. pierre--yves says:

    j ai donné a lire, je peux donner a dire

    derriere les apparences, se pose la question de pouvoir fusionner sensation et information ou devoir ne pas confondre sensation et information,

    en effet, pointant la lune je n’offre à voir que mon doigt qui la pointe ainsi on ne peut adopter un point de vue comme on s’adapte à une réalité de même en droit l’exemple n’est pas la preuve, mais paradoxalement le patriarche zen affirme qu’il n’y a qu’au coeur de l’expérience d’exister que les montagnes se révèlent être tout sauf des montagnes or le bouddhisme zen est par excellence cette voie de l’absurde qui force la rationalité au-delà du point de rupture,

    or qui peut prétendre que l’âge adulte n’a pas construit sa maturité sur l’acquisition de la rationalité -cette raison qui tisse des liens de rapports et de ratios entre des outils idéels- et l’abandon de cet etat de l’être propre à l’enfance et caractérisé par la fantaisie et ses trois attributs -au moins-, le fantasque, le fantastique, le fantomatique,

    il me vient d’argumenter pythagore son intelligence illuminée et le symbolisme mathematique de ses vers dorés, aristote son intelligence du sensible et son anticipation de la finalité ultime à fin de cerner la cause première, en situant entre les deux platon -avec son intelligence rationnelle héritée de l’intelligence dialectique de socrate- comme l’apologue des avantages absolus de l’éducation comme seul antidote approprié pour lutter efficacement contre les carences de l’éthique en l’homme,

    le sujet s’énoncerait alors comme une énigme ou une devinette, genre  »comment rester pythagore alors qu’on devient platon pour finir comme aristote? » -ben oui quoi pourquoi pas-, et la réponse coule rait à la suite, comme du miel aux fontaines de l’évidence,  »… en suivant le fil de l’histoire et des temps mythiques dont elle a hérité »

    pierre–yves
    rei.vitae.filosATgmail.com
    rei-vitae.fr

    16th juillet 2015 at 18 h 05 min

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