17 Juillet !!! C’était le jour de Sainte Charlotte, dont la Culotte, va savoir pourquoi, est convoitée, au point qu’un dicton en témoigne… « Sainte Charlotte, ôte lui sa Culotte ! » D’autres événements, bien moins graveleux, mais extrêmement tragiques, avaient eu lieu, une poignée d’heures auparavant, à Nice, où, au cours des réjouissances de la Fête Nationale du 14 Juillet, eu lieu un attentat qui, attribué à l’organisation terroriste ‘Daesch’, coûta la vie à 84 citoyens de différents nationalités et fît de nombreux blessés. Bien sage, le peuple philosophe, des simples curieux, ou des amateurs de rébus, se sont massés quelques jours après, au Café des Phares®, pour, atour de Jo Strich, l’animateur mandaté pour le faire, essayer de trouver une réponse au casse-tête qu’il avait choisi parmi une quinzaine d’autres, c’est-à-dire, une question dont l’énoncé se résumait au fait de savoir : « Quels sont les limites de la remise en question ? »
Qu’est-ce que « remettre en question », et, y a-t-il des Limites pour le faire, c’est-à-dire, des Réserves au fait de s’y employer ?
LIMITE, on sait ce que c’est que c’est ! Il s’agit d’une ligne qui sépare deux propriétés privées, deux territoires contigus de nationalités différents, ou plans d’eau les baignant, par exemple, voire même, la profondeur des Océans, ou la durée à ne pas dépasser pour une certaine tâche.
REMETTRE EN QUESTION, consiste à reconsidérer, sur d’autres aspects, plus ou moins pertinents, les tenants et aboutissants d’un certain projet ou problème.
D’après notre Sujet, il s’agirait, donc, en ce qui nous concernait, de savoir, dans quelle mesure pouvait-on contester la question posée !!!
C’est une idée qu’en général n’afflue pas à l’esprit (contester le défit d’ordre logique qui nous est posé sur place) mais, plutôt le justifier et le réconforter à tout prix, et ainsi fût !
Les uns prétendaient que « sans limites on ne savait pas où l’on allait », et que, « sans but il n’y a pas d’action possible », d’autres que «le port de la cravate était apanage des prédateurs », d’autres que « des gars bien élevés partaient faire le ‘Djiad’ », quelqu’un ajoutant que « l’Homme n’a pas besoin des autres pour survivre », un deuxième « qu’il est un ‘loup’ pour le ‘loup », « qu’il obéit aux lois de la Nature », et tout à l’avenant, comme le fait « qu’en Inde on souffre du sida en masse », « que pour certains, cesser de fumer est mourir, pour d’autres c’est le contraire » , « que des uns meurent le ventre vide, d’autres le bide plein », « que la paix durable n’est pas souhaitable », et tout à l’avenant !!!
Gilles nous fit part de ses observations, ponctuées de rimes et, après quelques balbutiements de plus, la séance fut terminée…
P/S : La veuille, au Studio 104, avait eu lieu le « « Débat mensuel » qui, animé par Daniel Ramirez, a porté sur la question de Hobbs, c’est-à-dire, « L’Homme est-il un Loup pour l’Homme ? » … Le Débat fut enrichissant, quoique… il ne ‘Faut pas exagérer’… Peut-être, au cours des nuits de ‘Pleine Lune’, le hurlement des Chiens ou des Loups peut, éventuellement, l’évoquer ! Evoquer le : « Houou… Ouououououououou…» de ces bêtes !!! Sinon, à force d’éducation, apprentissage du respect réciproque, et du travail d’Organisations Internationales chargées de veiller à la Coopération et à la Concorde entre les Nations, bien que précaire, un certain esprit de Paix règne dans le concert des Nations !!!
Carlos