La sécheresse devient problématique, et la jeunesse se mobilise de par le monde, à ce sujet, alors que l’augmentation du prix du pétrole, occasionné par les attaques de drones sur une plateforme pétrolière de l’Arabie Saoudite, cause de sérieux soucis.
Une grande effervescence règne dans le pays, en raison de l’acuité des problèmes, aussi bien sociaux que politiques, les Gilets Jaunes et leurs Black Bloks se rassemblant, régulièrement, afin de mettre en cause le gouvernement du pays, dirigé par Emmanuel Macron, le ‘ Président des riches’, d’après eux souhaitent perturber le traditionnel week-end des ‘journées du patrimoine’.
Arrivé, donc, le dimanche, 22 septembre, les adorateurs de Sophie, se sont, comme habituellement, trouvés au Café de Phares@, afin de résoudre une étrange problématique, c’est-à-dire, le désarroi de se sentir en danger, si d’aventure rien ne venait nous sauver, au cours du débat : « Que serions-nous, sans le secours de quelque chose qui n’existe pas ? », animé par Pascal de Oliveira. Etrange !!! Mystère !!!Attendre le ‘salut’, qui viendrait de nulle part.
Apparemment, il s’agirait d’une phrase de Paul Valéry, à propos du mythe. Quelle serait, donc, cette chose, qui se trouverait agissante, malgré le fait de ne pas exister, tout en venant à notre secours ? Curieux, non ?
Chose, du latin Causa, est sensé correspondre à un Objet inanimé, c’est-à-dire, une entité abstraite. Puis, le Secours revient à une aide, voire, assistance, à quelqu’un qui se trouve en danger.
La controverse s’est donc, poursuivie, les uns prétendant ‘chercher quelque chose qui existe vraiment’, d’autres ajoutant que ‘quelque chose nous dépasse’, et que ‘la nature n’a pas besoin de nous, alors que nous avons besoin d’elle’. Perturbée par l’énoncé, une participante se demanda ‘qui sommes nous, pour que l’on vienne à notre secours ?’, ajoutant : ‘Je voudrais dire que nous sommes en perdition, et aurions besoin d’une forme supérieure, … un dieu !!!!’ Puis, quelqu’un d’autre, déclara que, ‘sans secours, nous serions nous-mêmes, tout simplement, cherchant des réponses partout, l’arbre n’a pas besoin de nous’, ou, encore, ‘il y a plusieurs formes d’existence’. L’animateur demanda s’il ‘y avait d’autres réflexions’, et, d’immédiat, une voix ajouta : ‘par ‘secours’, on entend que nous serions en perdition, et aurions besoin d’une forme supérieur d’aide, …. ‘un dieu’, ou de quelqu’un qui aurait une bouée !!!’, voire, ‘sans secours, nous serions nous-mêmes, tout simplement, cherchant des réponses, partout’, concluant que ‘l’arbre n’a pas besoin de nous’. Puis, on a ‘fait appel à d’autres prises de parole’, et une voix s’est levée, afin de signaler que ‘secours’, donne l’impression d’un danger… qu’il y ‘peur du vide’…, ce qui serait ‘créatif’. Un autre a pensé ‘à Valéry, poursuivant que, croyances, nous tous, en avons… Images sans objet, ainsi que mythes, profitant de nos Amours’, puis, le fait que ‘le Monde occidental a toujours vécu sous la menace, ou l’espoir, tel le ‘Paradis créatif’, l’URSS, qui a eu, comme conséquence, les 30 glorieuses !!!’, voire, l’interrogation sur ‘qui est qui ?’… ‘Que serai-je, sans passé, sans mythe, sans essence’ ?, suivi de ‘sans Descartes, on n’aurait pas ce que l’on connaît : le ‘Je pense, donc je suis’, ‘ Nietzsche, plein de contradictions’, ‘On a dit que nous avons tué Dieu, alors qu’il est plein de joie et de Vérité’, puis, ‘l’image est toujours présente’ (Mythe de la Caverne), ‘Dieu n’est pas nommé, car son image est irreprésentable’. On a poursuivi, ajoutant que, ‘Valéry se confronte à ce qui n’existe pas’, ou rappeler ‘Réalité’ et ‘Réel’, ‘Kant, cause et effet’, ‘Réalité, loi causale’, ‘Pour moi, le Réel est valable pour l’artiste’, ‘c’est une Transcendance’, ‘l’Artiste soufre de l’angoisse existentielle’, ‘Il faudrait une ‘Créativité Finale’, dont personne ne parle’, alors ‘que l’on en a besoin, les Pyramides en attestent…, etc.
L’heure jouait l’arbitre, et sonna pour terminer notre exercice !!! Ainsi, après le résumé rimé de Gilles, finit notre Débat !!!
Alors, cet examen, demanda papa kangourou à son fils, qui rentrait de l’école !!!
- C’est dans la poche !!!
Carlos