Débat du 22 septembre 2019 : »Que serions-nous sans le secours de quelque chose qui n’existe pas ? », animé par Pascal de Oliveira.

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Posted on 23rd septembre 2019 by Carlos in Uncategorized

La sécheresse devient problématique, et la jeunesse se mobilise de par le monde, à ce sujet, alors que l’augmentation du prix du pétrole, occasionné par les attaques de drones sur une plateforme pétrolière de l’Arabie Saoudite, cause de sérieux soucis.

Une grande effervescence règne dans le pays, en raison de l’acuité des problèmes, aussi bien sociaux que politiques, les Gilets Jaunes et leurs Black Bloks se rassemblant, régulièrement, afin de mettre en cause le gouvernement du pays, dirigé par Emmanuel Macron, le ‘ Président des riches’, d’après eux souhaitent perturber le traditionnel week-end des ‘journées du patrimoine’.

Arrivé, donc, le dimanche, 22 septembre, les adorateurs de Sophie, se sont, comme habituellement, trouvés au Café de Phares@, afin de résoudre une étrange problématique, c’est-à-dire, le désarroi de se sentir en danger, si d’aventure rien ne venait nous sauver, au cours du débat : « Que serions-nous, sans le secours de quelque chose qui n’existe pas ? », animé par Pascal de Oliveira. Etrange !!! Mystère !!!Attendre le ‘salut’, qui viendrait de nulle part.

Apparemment, il s’agirait d’une phrase de Paul Valéry, à propos du mythe. Quelle serait, donc, cette chose, qui se trouverait agissante, malgré le fait de ne pas exister, tout en venant à notre secours ? Curieux, non ?

Chose, du latin Causa, est sensé correspondre à un Objet inanimé, c’est-à-dire, une entité abstraite. Puis, le Secours revient à une aide, voire, assistance, à quelqu’un qui se trouve en danger.

La controverse s’est donc, poursuivie, les uns prétendant ‘chercher quelque chose qui existe vraiment’, d’autres ajoutant que ‘quelque chose nous dépasse’, et que ‘la nature n’a pas besoin de nous, alors que nous avons besoin d’elle’. Perturbée par l’énoncé, une participante se demanda ‘qui sommes nous, pour que l’on vienne à notre secours ?’, ajoutant : ‘Je voudrais dire que nous sommes en perdition, et aurions besoin d’une forme supérieure, … un dieu !!!!’ Puis, quelqu’un d’autre, déclara que, ‘sans secours, nous serions nous-mêmes, tout simplement, cherchant des réponses partout, l’arbre n’a pas besoin de nous’, ou, encore, ‘il y a plusieurs formes d’existence’. L’animateur demanda s’il ‘y avait d’autres réflexions’, et, d’immédiat, une voix ajouta : ‘par ‘secours’, on entend que nous serions en perdition, et aurions besoin d’une forme supérieur d’aide, …. ‘un dieu’, ou de quelqu’un qui aurait une bouée !!!’, voire, ‘sans secours, nous serions nous-mêmes, tout simplement, cherchant des réponses, partout’, concluant que ‘l’arbre n’a pas besoin de nous’. Puis, on a ‘fait appel à d’autres prises de parole’, et une voix s’est levée, afin de signaler que ‘secours’, donne l’impression d’un danger… qu’il y ‘peur du vide’…, ce qui serait ‘créatif’. Un autre a pensé ‘à Valéry, poursuivant que, croyances, nous tous, en avons… Images sans objet, ainsi que mythes, profitant de nos Amours’, puis, le fait que ‘le Monde occidental a toujours vécu sous la menace, ou l’espoir, tel le ‘Paradis créatif’, l’URSS, qui a eu, comme conséquence, les 30 glorieuses !!!’, voire, l’interrogation sur ‘qui est qui ?’… ‘Que serai-je, sans passé, sans mythe, sans essence’ ?, suivi de ‘sans Descartes, on n’aurait pas ce que l’on connaît : le ‘Je pense, donc je suis’, ‘ Nietzsche, plein de contradictions’, ‘On a dit que nous avons tué Dieu, alors qu’il est plein de joie et de Vérité’, puis, ‘l’image est toujours présente’ (Mythe de la Caverne), ‘Dieu n’est pas nommé, car son image est irreprésentable’. On a poursuivi, ajoutant que, ‘Valéry se confronte à ce qui n’existe pas’, ou rappeler ‘Réalité’ et ‘Réel’, ‘Kant, cause et effet’, ‘Réalité, loi causale’, ‘Pour moi, le Réel est valable pour l’artiste’, ‘c’est une Transcendance’, ‘l’Artiste soufre de l’angoisse existentielle’, ‘Il faudrait une ‘Créativité Finale’, dont personne ne parle’, alors ‘que l’on en a besoin, les Pyramides en attestent…, etc.

L’heure jouait l’arbitre, et sonna pour terminer notre exercice !!! Ainsi, après le résumé rimé de Gilles, finit notre Débat !!!

:) Alors, cet examen, demanda papa kangourou à son fils, qui rentrait de l’école !!!

- C’est dans la poche !!!

Carlos

Débat du 1er septembre 2019 : « Que vaut notre jugement sans celui des autres ? », animé par Daniel-Philippe de Sudres.

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Posted on 2nd septembre 2019 by Carlos in Uncategorized

Un jour ce ne sont pas des jours, néanmoins, lorsqu’ils sont sept, il y a du grain à moudre… C’est ainsi que du lundi 26 août, au dimanche 1er Septembre, le G7 s’est réuni à Biarritz, sans que des violentes grosses manifestations se soient déroulées, le ministre des affaires étrangères iranien s’est entretenu avec son homologue français J.Yves le Drian, afin de tenter de trouver une solution à la crise iranienne. Crise, également, en GB, où le premier ministre Boris Johnson suspend les travaux du Parlement pendant plus d’un mois, empêchant ainsi les opposants au Brexit de s’organiser, rendant ainsi de plus en plus probable un « Brexit dur » sans l’accord de l’Europe. Donald Trump souffle le chaud et le froid mais, tandis que l’Amazonie est en feu, il s’est dit, finalement, satisfait de ce sommet, alors que le président brésilien, Bolsanaro, nie la gravité du problème, rentrant en conflit, donc, avec Emmanuel Macron… la sécheresse sévissant toujours, dans notre pays, où 85 départements sont soumis à des restrictions d’eau.

Conscients de Tout ça, arrivé le premier Septembre, donc, les amoureux de Sophie se sont réunis au Café de Phares@, afin de tirer au clair le sens de la question qui leur était posée, ce jour là, c’est-à dire : « Que vaut notre jugement, sans le jugement des autres ? », l’animation étant à la charge de Philippe de Sudres.

Du verbe latin ‘judicare’, l’action de juger revient au fait de prononcer une Sentence, en tant que juge, c’est-à-dire, un magistrat chargé d’appliquer des Lois. Alors ? Faut-il que les Jugements s’imbriquent les uns dans les autres, à partir du moment que l’on est dans un milieux absent de logique, donc?

Les voix se sont fait entendre, qui arguant de « la nécessité de partager la connaissance », qui rappelant «l’apprentissage du langage des enfants, en dehors de la société », tout en se confessant de « ne pas être sûr d’avoir raison », ou jugeant que « c’est une affaire de Magistrats », voire, « Qu’est-ce que sont les autres ? Notre famille ? Nos proches ?» Puis, « Il faut se méfier des jugements, qui peuvent venir de certaines souffrances, si l’on m’insulte, par exemple », ou « on croit vrai ce qui dit la majorité des gens. » Voire, « A quoi sert d’être certain ? », « la doxa ? » Ou, « ça sert à faire du bien, aussi », Puis, « un Homme à tué un autre, puis, il a été acquitté ! »

Pas mal de références à l’art furent évoquées, ‘l’art de la philo’, par exemple, du fait de ‘savoir écouter’, ‘chercher la Vérité ‘, le ‘Moi, Je’, ‘Sartre en a parlé’, ‘Kant également’, ‘la Raison pure’, ‘le Jugement lié à l’éthique’, ‘que vaut mon jugement, sans le jugement des autres ?’, ‘jugement annulé par vice de forme’. Puis, furent ajoutés : – ‘Jugement individuel, différent de celui des autres’, ‘explication, poids ou valeur’, ‘Les autres’, qu’est-ce que c’est ?’ Représentation démocratique ? Jugements… par intuition ? Regard des autres ? Regard croisé, permettant d’atteindre la Vérité ? Analyser, en vue d’un Jugement ? Dimension éthique ? a) Socrate, b)Kant (Impératif catégorique) c) Son propre Jugement. Enfin, « Qui est-ce qui juge, en moi ? », « Le jugement est un acte personnel »

Gilles résuma le tout dans des rimes de son cru, puis, Tout le monde se trouva au soleil du dehors, refaisant le monde !!!

:) Assister un criminel avant qu’il soit arrêté, c’est être son complice !

Assister un criminel après qu’il soit arrêté, c’est être son avocat !!!

Carlos