Débat du 1er septembre 2019 : « Que vaut notre jugement sans celui des autres ? », animé par Daniel-Philippe de Sudres.

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Posted on 2nd septembre 2019 by Carlos in Uncategorized

Un jour ce ne sont pas des jours, néanmoins, lorsqu’ils sont sept, il y a du grain à moudre… C’est ainsi que du lundi 26 août, au dimanche 1er Septembre, le G7 s’est réuni à Biarritz, sans que des violentes grosses manifestations se soient déroulées, le ministre des affaires étrangères iranien s’est entretenu avec son homologue français J.Yves le Drian, afin de tenter de trouver une solution à la crise iranienne. Crise, également, en GB, où le premier ministre Boris Johnson suspend les travaux du Parlement pendant plus d’un mois, empêchant ainsi les opposants au Brexit de s’organiser, rendant ainsi de plus en plus probable un « Brexit dur » sans l’accord de l’Europe. Donald Trump souffle le chaud et le froid mais, tandis que l’Amazonie est en feu, il s’est dit, finalement, satisfait de ce sommet, alors que le président brésilien, Bolsanaro, nie la gravité du problème, rentrant en conflit, donc, avec Emmanuel Macron… la sécheresse sévissant toujours, dans notre pays, où 85 départements sont soumis à des restrictions d’eau.

Conscients de Tout ça, arrivé le premier Septembre, donc, les amoureux de Sophie se sont réunis au Café de Phares@, afin de tirer au clair le sens de la question qui leur était posée, ce jour là, c’est-à dire : « Que vaut notre jugement, sans le jugement des autres ? », l’animation étant à la charge de Philippe de Sudres.

Du verbe latin ‘judicare’, l’action de juger revient au fait de prononcer une Sentence, en tant que juge, c’est-à-dire, un magistrat chargé d’appliquer des Lois. Alors ? Faut-il que les Jugements s’imbriquent les uns dans les autres, à partir du moment que l’on est dans un milieux absent de logique, donc?

Les voix se sont fait entendre, qui arguant de « la nécessité de partager la connaissance », qui rappelant «l’apprentissage du langage des enfants, en dehors de la société », tout en se confessant de « ne pas être sûr d’avoir raison », ou jugeant que « c’est une affaire de Magistrats », voire, « Qu’est-ce que sont les autres ? Notre famille ? Nos proches ?» Puis, « Il faut se méfier des jugements, qui peuvent venir de certaines souffrances, si l’on m’insulte, par exemple », ou « on croit vrai ce qui dit la majorité des gens. » Voire, « A quoi sert d’être certain ? », « la doxa ? » Ou, « ça sert à faire du bien, aussi », Puis, « un Homme à tué un autre, puis, il a été acquitté ! »

Pas mal de références à l’art furent évoquées, ‘l’art de la philo’, par exemple, du fait de ‘savoir écouter’, ‘chercher la Vérité ‘, le ‘Moi, Je’, ‘Sartre en a parlé’, ‘Kant également’, ‘la Raison pure’, ‘le Jugement lié à l’éthique’, ‘que vaut mon jugement, sans le jugement des autres ?’, ‘jugement annulé par vice de forme’. Puis, furent ajoutés : – ‘Jugement individuel, différent de celui des autres’, ‘explication, poids ou valeur’, ‘Les autres’, qu’est-ce que c’est ?’ Représentation démocratique ? Jugements… par intuition ? Regard des autres ? Regard croisé, permettant d’atteindre la Vérité ? Analyser, en vue d’un Jugement ? Dimension éthique ? a) Socrate, b)Kant (Impératif catégorique) c) Son propre Jugement. Enfin, « Qui est-ce qui juge, en moi ? », « Le jugement est un acte personnel »

Gilles résuma le tout dans des rimes de son cru, puis, Tout le monde se trouva au soleil du dehors, refaisant le monde !!!

:) Assister un criminel avant qu’il soit arrêté, c’est être son complice !

Assister un criminel après qu’il soit arrêté, c’est être son avocat !!!

Carlos