Débat du 12 Juin 2016: « Est-ce qu’un Robot peut apprendre la moralité? », animé par Claude Grognet.

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Posted on 14th juin 2016 by Carlos in Uncategorized

Au-delà l’Ouverture de l’Euro de Football, organisé par la France et mobilisant aussi bien des centaines de Policiers que des Hooligans, ce qui cause l’énervement de tout le monde, du point de vue politico-social, on registrait, dans le Pays, le Congrès de la CGT, le fait que Mme Rama Yade brigue l’élection Présidentielle, pendant que les responsables de la CGT font pression sur le Gouvernement  à propos de la Loi du Travail et que, malgré les Manifestations qui se multiplient, la Direction d’Air France résiste aux grévistes, assurant 80% des Vols prévus, alors que la RATP se trouve paralysée par la pénurie de carburant, les Raffineries travaillant au ralenti, ainsi que les Centrales Nucléaires qui accusent, elles, une baisse considérable de leur Production… Rien n’a empêché que, le Dimanche 12 Juin 2016, sans sourciller, les habitués du Café des Phares® se soient vu confier la tâche de résoudre la question : « Est-ce qu’un Robot peut apprendre la Moralité ? », au cours d’un Débat animé par Claude Grognet.

D’après les Ephémérides, on fêtait la Saint Guy, né en Sicile et martyrisé d’abord à 12 ans sous le règne de l’Empereur Valérien, pour refuser d’adorer les idoles, et ensuite par Dioclétien qui lui a fait infliger des violentes tortures aboutissant à son décès. Immoral ! C’est au IX siècle, lors du transfert de ses dépouilles vers Saint Denis, que son nom fut lié à la guérison d’une maladie nerveuse dégénérative, la Chorée de Sydenham, ou danse de Saint Guy, consistant dans le fait que la victime produisait des mouvements aussi brusques qu’incontrôlables, considérés, au Moyen-Âge comme une Possession démoniaque, raison pour laquelle on finissait, en général, par brûler vives ces victimes. Immoral !

Cherchant des solutions mécaniques, sans état d’âme, les Hommes se sont tournés, alors, vers les machines, la Robotique ! Mais, « Qu’est-ce qu’un Robot ? », en fin de compte ?

Issu du terme tchèque analogue, et signifiant « travail », le mot fut introduit dans la littérature par Karel Kapek (1890-1938) dans un de ses romans, dont le contenu serait l’« automatisme », qui pourrait remplacer ou prolonger les fonctions humaines, et même des Jeux ou Joutes comme au Brésil la « Capoeira », au Japon « Happy Danse », au Chili « Danse Chuva ». Pourtant, la question persiste ! Est-ce qu’un Robot peut apprendre la Moralité ?

A quoi cela lui servirait ? En sent-il la nécessité ? Sait-il lire, écrire, ouïr ? Communiquer ? A-t-il des soucis éthiques ? Fut-il programmé pour cela ? Quelle est sa durée de vie ? Qui sert-il ? A-t-il une famille ? Vit-il en Société ? Prend-il des transports en commun ? Est-il affilié à la Sécu ou a la CGT ? Paie-t-il des Impôts ? On s’en fout !

Les Participants présents ont fait de leur mieux pour s’en sortir de la façon la plus aisée, les uns disant que « le Robot n’est pas concerné par la morale », ou « jugeant que l’enjeu est un problème encadré par l’éthique », ou qui « concerne la morale ancienne », voire « le marché de Google », se demandant « de quoi parle-t-on, des Machines ou des Hommes ? », « transformer l’Homme en ‘programme artificiel’ », « les 10 Commandements se trouvent dans l’ordinateur… », « évoqué le mythe de Golem (la mystique et mythologie juive d’un Être artificiel humanoïde, fait d’argile, dépourvu de parole et de libre arbitre, façonné pour assister et défendre son créateur) », « le fait qu’il n’a pas ‘ses règles’, pas de morale, ni de crises de foi », « qu’à la SNCF, il n’a pas de place réservée,  etc., etc… On voit le genre… et la motivation !!!

Finalement, la Partie arrivant à son terme, Gilles conclut l’exercice au moyen de ses rimes et, après quelques sursauts, supplémentaires, chacun désemplit la Salle, soucieux d’aller, au marché, en face, faire ses emplettes pour le week-end !

- Quel est le point différenciant un ‘Robot’ des ‘Spaghettis’?

- Il n’y en a pas !!! Tous les deux sont aux tomates  !!!

Carlos

Le 12 juin 2016, le débat sera animé par Claude Grognet.

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Posted on 8th juin 2016 by Gunter in Uncategorized

Débat du 5 Juin 2016: « Si rien ne nous sauve, la Poésie nous sauvera », animé par Christophe Baudet.

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Posted on 7th juin 2016 by Carlos in Uncategorized

Alors que, en raison d’une exceptionnelle crue de la Seine, due aux fortes pluies tombées, au cours de la semaine sur la Capitale, Paris se trouvait envahie d’eau et traversée par des tas de camions des Pompiers, chargés de prêter main forte à la population, en toute sérénité, au Café des Phares®, en présence des habitués du lieu, se déroula, le 5 Juin 2016, le traditionnel Débat philosophique, hebdomadaire qui, animé ce jour-là, par Christophe Baudet, portait sur l’affirmation de Jean Pierre Siméon, fondateur du Festival ‘Le Printemps des Poètes’, et empreinte d’une extrême confiance : « Si rien ne nous sauve, la Poésie nous sauvera ».

C’était vite dit, d’autant plus que, tranquillement assis devant sa boisson, aucun participant ne se sentait en péril, même s’il n’y avait pas dans la Salle, adonnée à l’exercice intellectuel hebdomadaire de haut vol, un seul gilet de sauvetage, ou l’ombre d’un canot !

Pourtant, vu le calme qui régnait sur place, certainement il était question d’un Danger auquel nous étions, sereinement sûrs de pouvoir  faire face !!! De quel Danger pourrait-il bien s’agir, duquel il était question de se sauver, la dernière issue étant la Poésie ?

Quelle Poésie ? La versification s’oppose à la prose, et évoque tout ce qui ne relève pas de la simple conversation, des grands théoriciens s’y étant exercés depuis l’antiquité et des traités de philo écrits en vers furent commis, un travail minutieux dû au fait que l’unité d’écriture est la syllabe, ce qui donne origine à des textes hexasyllabes, octosyllabes, décasyllabes… jusqu’à l’alexandrin (12 syllabes), Verlaine employant des vers impairs, en raison de sa préférence pour les sonorités, au détriment de la rime.

Il ne nous restait, donc, que le loisir d’en inventer un… ou plusieurs moyens de s’infliger des frayeurs, d’imaginer un Danger !!! De se faire Peur…, en attendant le Sauveur, en l’occurrence la Poésie !!! Et c’est ainsi que l’on a fantasmé,  les uns « sur le réel, dont le langage aurait du mal à estimer la portée », sans se référer à un quelconque effroi, auparavant ! Puis, on a cherché de l’aide, du côté du « signifiant et du signifié » des formules à même de repousser l’épouvante d’une soudaine Babel, ou la « stupéfaction », et même « l’imagination », dans la « poésie », par exemple, ou « Nietzsche, qui aurait une dent contre Kant », « arrivant tranquillement jusqu’à Hegel », « l’Histoire étant le lieu où Tout se passe », sans oublier le fait que « Jésus a expulsé les marchands du Temple », ou le génie d’ « Arthur Rimbaud, Descartes et Pascal », jusqu’aux « moments d’écriture aussi bien dans l’invention, la découverte, voire dans la réceptivité », et « le plaisir de la lecture, une éthique de l’être », « la beauté d’une fleur étant irremplaçable », comme « l’invisible de l’Infini, une Universalité qui nous réunit Tous ». Ouff !!!

Mais, il y avait là, aussi, un caractère prophétique ou eschatologique qui semblait fonder l’effroi. Il faut dire, en effet, que, « Devoir » est un nom masculin dérivé du latin « debere », pris substantivement, et que, en tous cas, il s’agit de ce à quoi la Loi, morale et sociale, oblige d’une manière générale chaque citoyen, qu’il s’agisse de Justice ou de Charité, Kant faisant la distinction entre le Devoir inconditionnel d’essence la Morale, et le Devoir conditionnel, relatif à la Conduite la plus convenable par rapport à un « péché », soit-il originel ou pas. En tous cas, il y a, là, une appartenance au Monde Intelligible, exprimé par le simple Concept, celui qui dans l’Action naturelle, désigne un phénomène, qui est la cause finale de nos actions, en dehors des « Devoirs de Mémoire », comme celui que l’on a, à l’égard des Victimes de la Guerre, alors que les Bourreaux sont humainement indignes, « Etre » se distinguant de « Devoir être » , c’est bien clair!

La Salle a réagit, faisant noter que déjà « Nietzsche se plaignait de Kant », « que l’Histoire est le lieu où les choses se passent », « que Jésus a expulsé les Marchands du Temple » ! On a, aussi, « fait référence à Baudelaire, Verlaine et Rimbaud », ainsi qu’à « Pascal ou Descartes et leur religiosité », voire « ‘La démarche poétique’ de Jacques Sojcher ! » D’autres se demandaient « si les gens qui parlent de poésie savent ce que c’est », ou si ceux qui se réfèrent « à la ‘réceptivité’, saisissent qu’il s’agit-là, d’un moment sublime entre le poète et le philosophe », « de l’invisible », « de l’infini », « de l’émotion » !!!, etc…

Enfin ! Gilles, le poète, a eu raison de TOUT… et, le soleil nous ayant accueilli, dehors, plein de caresses, au bout de ses rayons,… chacun s’est senti satisfait de ses câlins !!!

Un alpiniste glisse, au cours de son escalade et, pris d’effroi, crie : « Au secours ! Il y a quelqu’un ? » Une voix se fit entendre : « Je suis ton Ange gardien ! Rattrape toi à l’une des racines ». Celle-ci commençant à céder, il s’exclame, alors : «  Il y a quelqu’un d’autre ??? »

Carlos

Le débat du 29 mai 2016 : « L’expérience », animé par Gérard Tissier.

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Posted on 25th mai 2016 by Gunter in Uncategorized

Débat du 22 Mai 2016: « La rivalité est-elle féconde ou nocive? », animé par Gunter Gorhan.

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Posted on 23rd mai 2016 by Carlos in Uncategorized

La semaine du Lundi 16 Mai, au Dimanche 22, fut assez rude, à tous les points de vue, l’incompréhensible  Crash d’un avion d’Egyptair, dont les causes (accident ou attentat) restent à déterminer, ayant provoqué 66 morts, tandis que la pénurie de Carburant se fait sentir, surtout dans le Nord et dans l’Ouest de la France, suite à des mouvements sociaux qui bloquent les raffineries, afin de protester contre la nouvelle « Loi Travail », les Partis Populistes se trouvant en très forte augmentation partout, dans le monde démocratique, notamment, en Amérique, en Pologne, et en Autriche… C’est, peut-être la raison pour laquelle, le peuple philosophe, réuni au Café des Phares®, le 22 Mai 2016, s’intéressa à la question « La rivalité est-elle féconde ou nocive ? », au cours du Débat, animé, en l’occurrence, par Gunter Gorhan.

C’était le jour de sainte Emilie, dans le monde chrétien, Aemilius. Or, ce mot propre, dérive étymologiquement du mot latin, RIVUS, qui a le sens commun de ‘Rival’, c’est-à-dire, relation malaisée entre les personnes qui puisent l’eau de la même RIVIERE en somme, RIVALITE’, terme, qualifiant, par la suite, la concurrence sportive, industrielle, intellectuelle ou amoureuse entre deux personnes, en général dénommée, dans ce cas, de « Jalousie ».

Alors ? Fécond ou Nocif ?

Les participants au Débat se sont exprimés selon leurs avis, fondés certainement sur leurs propres expériences, (ou savoirs), les uns disant que « la vie se compose essentiellement de tristesse et de douleur, parfois même de paranoïa ou refoulement », d’autres « qu’il s’agissait d’un rythme », ou encore, que « ça dépend des enjeux ou des situations ». Le cas de « Caïn et Abel » fut aussi évoqué et, dans la foulée, celui de « John McEnroe et Jimmy Connors, en compétition », « la Chine face aux USA, dans une compétition sans vainqueur ni vaincu », et le fait que « la rivalité est aussi bien féconde que nocive », un autre opinant que « si l’on vient ici, c’est par ‘rivalité’ et point « ‘adversité’ », « j’ai travaillé pour IBM, apprenant que la ‘rivalité’ cherche ‘l’excellence », fit remarquer encore quelqu’un, et que « l’idée initiale se trouvait déjà dans l’Eden avec le Serpent », un autre le voyant « dans la Lute de Classes de Marx », un autre encore « dans les Salons de Mode », ou « chez les milliardaires » .

Gilles mit fin à l’exercice intellectuel, au moyen de sa verve et, après quelques sursauts, la séance toucha à sa fin !!!

Un fermier remplace par un jeune, son vieux coq qui dit à l’autre: « Toutes les poules sont à toi si tu me bats à la course, m’accordant, en raison de mon âge, 5m d’avance ! » « OK ! », fait le premier, et ils s’élancent. Le fermier sort et, voyant ça, abat le jeune coq, se plaignant : « On m’a encore vendu un coq, homo !!! »

Ceux qui ont bien voulu prolonger le Débat, se sont déplacés jusqu’au Cinéma l’Entrepôt, afin d’assister au film « Le Château de l’Araignée », œuvre du japonais Akira Kurosawa, d’après Macbeth de Shakespeare, une histoire donc de Rivalité, retraçant la dérive de généraux qui, rentrant de la Guerre, traversent la forêt, où ils rencontrent des esprits rôdeurs, leur annonçant la destinée qui les attend !

Carlos

Débat du 15 Mai, 2016: « L’Amour est-il un Art ou une Vertu? », animé par Michel Turrini.

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Posted on 17th mai 2016 by Carlos in Uncategorized

Le lendemain d’une « Nuit Debout », mouvement social, inspiré d’autres mouvements européens qui, ayant pour but d’imaginer d’autres façons de faire de la Politique, en France des milliers de gens ont occupé les artères des grandes Villes, afin d’entraver le recours à l’article 49, qui permettrait au Gouvernement de poursuivre sa réforme du Code du Travail, alors que d’autres projets portaient, ailleurs, dans l’Espace Culturel français, sur la Littérature francophone, à propos de Colloques sur l’écriture théâtrale, ainsi que d’un regain d’intérêt pour l’œuvre d’Albert Camus, le 15 Mai 2016, au Café des Phares® eut lieux l’habituel débat philosophique hebdomadaire qui, choisi et animé par Michel Turrini, portait tout bonnement sur la question : « L’Amour est-il un Art, ou une Vertu ? »

Va savoir !!! En tous cas, il a été chanté par des Poètes, pratiqué par Tous les Humains, dont quelques uns ont excellé, au point que les Mémoires de leurs Faits, soient devenues des Romans célèbres dans le monde entier. Serait-ce l’un ou l’autre ? Art ou Vertu ? Au regard de l’Amour, nous avions déjà à considérer cinq cas d’espèce, c’est-à-dire, Sophia, ou Amour de la Sagesse, Eros, autrement dit, la Relation charnelle, intime…, et Agapé, le Rapport désintéressé, divin, qui s’oppose à la haine… Puis, on pourrait y ajouter Himeros (désir platement amoureux), et, enfin, Philo, ou philein (plus concrètement, l’amour social) ! Est-ce, donc, un Art ? Ou serait-ce une Vertu ? Bien malin celui qui en distinguerait la nuance !!!

Si on le considère comme Art, où arrivera-t-on à le classer, sinon dans le chapitre « Esthétique », discipline ayant vocation à réfléchir sur le Beau, soit en tant que valeur propre, ou, alors, dans ses manifestations, prêtant, dans ce cas, le flanc à la Psychologie, voire à la Sociologie… en tous cas, à ce qui a un rapport avec les Sens ! Peut-on en faire une Synthèse ? Chaque Relation, eue, ou a avoir, est quelque chose de surprenant, pas banale, mais plutôt hasardeuse, concernant quelqu’un, et comportant un risque, le risque de la nouveauté et, par conséquence, un certain danger. Il s’agit du Récit d’une Aventure humaine qui s’étend, parfois, sur plusieurs Générations, entre grands Parents et Petits Enfants, les étalant, sur plusieurs siècles, témoignage dont les Cimetières gardent le Registre !

Avides de se manifester, les participants à l’événement, ont évoqué « Ovide, et ‘l’Art d’aimer’ », « ‘Agapé’ (amour divin, audible, mystérieux et immatériel), en interaction avec ‘Eros’(attraction sexuelle) », et même « la figure de Hitler », ou l’opinion que « l’Amour est une construction, complexe »,  « qu’aimer’ et ‘être amoureux’, ce n’est pas pareil », poursuivant… ou encore, que… « nous sommes des êtres naturels », « notre société est basée sur des Concepts… », etc., etc…..

…jusqu’à ce que, comme d’habitude, Gilles ne résume tout en rimes libres et, après quelques balbutiements de plus, les Lumières dont Sophie, qui ont rayonné de tous ses Feux et de tous ses Charmes, s’éteignirent, l’arbitre de la Partie mettant un terme à la Controverse…

- Oh ! T’as vu ? « Un mouche !!! »

- C’est pas « Un mouche ! » C’est une mouche !!!

- Dis, donc ! T’as d’bons yeux, Toi !!!

Carlos

Le débat du 8 mai 2016, animé par Daniel Ramirez : « La nuit debout, permet-elle de rester eveillé ? »

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Posted on 4th mai 2016 by Gunter in Uncategorized

Débat du Premier Mai 2016: « Peut-on vivre sans travailler? », animé par Bruno Leucoris.

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Posted on 3rd mai 2016 by Carlos in Uncategorized

Si l’on se penche sur les événements de la semaine, allant du lundi 25 avril, au Premier Mai 2016, on verra que, dans une action protestataire , les ‘Intermittents du Spectacle’ ont occupé le Théâtre de l’Odéon, ainsi que la Comédie Française afin de peser sur les négociations, en cours, sur leur Assurance Chômage et ont obtenu gain de cause. Par ailleurs,  de nombreuses autres manifestations sociales ont été réprimées de plus en plus brutalement par les Forces de l’Ordre, le tout culminant, parallèlement, avec le proverbial Débat hebdomadaire qui a lieu au Café des Phares®, ce jour-là, les participants s’étant intéressés  à la question «Peut-on vivre sans travailler ?», ce boulot étant confié à l’animation de Bruno Leucoris.

Quand on fête,… on fête…, et il y avait de quoi !!! Le Premier Mai ! La Fête du Travail ! Le Muguet !!!

On pourrait commencer par le plus pénible !

Le TRAVAIL, dont le terme, dérivé du latin populaire, tripaliare, (tourmenter) s’est retourné vers l’instrument de torture « Tripalium », à l’origine façon de ferrer les bœufs. Ainsi, le sens de souffrance subsiste, désignant, entre autres, les travaux serviles, comme ceux des champs, le service militaire ou même, douloureux, à l’exemple de ceux de l’enfantement des femmes. Au fond, toutes les activités pénibles, endurées par l’homme, afin de faire face à la réalité, ont été prises en considération depuis Aristote, qui différenciait « poïêsis et praxis », et mises en théorie par Ricardo (XVIII/XIX siècle), puis Marx (1818/1883), qui la qualifiait de « quantité de travail, socialement nécessaire, pour déterminer la valeur économique des marchandises », jusqu’à Hannah Arendt qui différencie, Travail-Oeuvre et Travail-Activité, à partir des réflexions d’Aristote.

Puis, il y avait Le PREMIER MAI, « Labor Day », célébrant les luttes des ouvriers qui, en 1886, à Chicago, un ‘œillet à la boutonnière’, s’efforçaient d’obtenir les huit heures de travail, mouvement réprimé violemment. Il fut reproduit par Saint Juste, qui, commandait les « sans Culottes » ; des Anarchistes, ont été condamnés à mort et pendus  le 11 octobre 1887, vendredi noir qui déboucha sur la Révolution Française de 1889, Jules Guesde créant, alors, la Fête du Travail en 1890, une de telles manifestations, menée par Fabre d’Eglantine, ayant tourné au drame, lors qu’une sévère Fusillade, du Pouvoir, provoqua 9 morts…

Enfin, Le MUGUET, («convalaria megalis », de la famille des Liliacés), est une plante liée à la magie, la légende voulant qu’elle ait été créée par Apollon, afin de tapisser le sol du mont Parnasse , pour que les 9 Muses ne souffrent point en marchant sur le sol ! Les Romains ont continué la tradition, et des Bals étaient, alors, organisées pour les jeunes filles, en dehors de la présence de leurs parents.

Enfin ! Les Participants au Débat, n’ont pas esquivé la question, faisant valoir que « si l’on travaille on souffre », « qu’une vie, sans travail, n’existe que dans l’Eden », « qu’il y a 14 millions de retraités en situation dramatique », que « qu’on le veille ou pas, on joue sur la morale », « que Jérôme Bosch représente l’Eden  comme un jeu », « que la vie moderne fait des Hommes des prolétaires », « que la vie des gens ressemble à celle d’un ‘Club Med’ », « ou à la ‘Grande bouffe’ », « qu’Hanna Arendt, reprend le thème de la société horizontale »,  « qu’il faudrait revaloriser le Travail », « qu’il y a un âge pour philosopher », un autre affirmant qu’il est « retraité depuis 24 ans », « que le Travail signifie responsabilité », « que Max Weber s’est référé au désenchantement du Monde », « qu’il y a un âge pour ‘vivre’, un autre pour ‘philosopher’ », le Tout étant, comme habituellement, clos par la veine poétique de Gilles !!!

Définition : « Paresse  : habitude de se reposer avant la fatigue ». Jules Renard.

Carlos

Débat du 24 Avril 2016: « Qu’est-ce qu’être riche ? », animé par André Stamberger.

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Posted on 25th avril 2016 by Carlos in Uncategorized

« Et pourtant elle tourne ! » Soupira, avec 70 ans, Galileo Galilei qui, condamné à la mort par l’Inquisition, devait se dédire de son allégeance au système héliocentrique de Copernic, entendant que la Terre tourne autour du soleil. Non seulement elle tourne, mais les Hommes réfléchissent, et y créent des tas de théories, entre autres, économiques, comme celles de « croissance » dues à Adam Smith et David Ricardo, ou de Solow qui, lui, conçoit, à sa base, le ‘travail’, la ‘productivité’, et le « progrès technique », voire des événements scientifico-politico-sociaux, que Karl Marx a finement analysés, en compilant son Œuvre mondialement connue, et génératrice de résistances sociales « Le Capital ». Se considérant, généralement  en mesure de faire face, les amants de Sophie, se sont réunis à la Bastille, le dimanche, 24 Avril 2016, au Café des Phares®, pour rendre hommage à la Sagesse, donc, se souciant de savoir, « Qu’est-ce qu’être riche ? », aidés, dans leur quête, par André Stamberger.

Bonne question !!! On se le demande qu’est-ce qu’un tel phénomène qui, à part l’Héritage, ou tous systèmes de Roulettes, Loteries, Actions d’Entreprises,…ou le Vol, rarement se produit, d’un claquement de doigts !

Il se peut que ceux, qui ne le sont pas, le sachent, sans en être envieux, mieux que les chanceux qui le sont, et recourent à tous les moyens, pour en assurer la possession, tels que le dessous de matelas, soupières, chaussettes… à portée de main de fins cambrioleurs !!! ou d’astucieux voleurs, tels Mandrin, Billy le Kid, Robin des Bois, Arsène Lupin, et toutes les Mafia, comme la ‘Camorra’, la ‘Cosa Nostra’ qui se sont imposées, par la violence la corruption, un Pouvoir occulte, incontournable, surtout en Sicile, au Japon, en Russie et en Chine, Pouvoir symbolisé, bien à propos, par une Pieuvre !

Des doigts, avares de parole, se sont levés, pour dire, « Etre riche, ce sont des patrons, qui gagnent des mille fois le SMIC », « la richesse, est celle du cœur », « on est toujours ‘le pauvre’ de quelqu’un », « Riche, c’est être libre de dire ‘zut’ aux autres », « être libre de pouvoir… pouvoir faire », « le riche est un esclave qui n’a pas l’occasion d’être pauvre », « il y a des gens qui ont des Coffres-forts, pleins de Van Gogh », « aller dans les Biennales » « avoir des ‘couverts en argent’ », « j’ai été fasciné par  la famille Rothschild », « je pense à McArthur et la guerre de Corée », « les riches méconnaissent leur richesse, les pauvres leur pauvreté », « la richesse est résultat d’un effort, et les ‘Châteaux sont achetés par des riches…  », « dans Proust, on savait placer les favoris, et il est, lui-même, tombé dans le piège des glorioles du pouvoir», etc.

Usant de ‘vertu’, j’ai cédé mon droit à la parole, au gars qui se trouvait au Comptoir… et il a dit « Mon père était Styliste et, en Iran, il a fondé 2 écoles de mode ; mais, j’ai perdu mon père, et ma mère a commencé à philosopher… ».

Puis, ce fût le moment de donner la parole, à ceux qui la prenaient pour la première fois… et les échanges se sont poursuivis, quelques instants… jusqu’à ce que  Gilles s’en empare, pour traduire le polilogue  en vers, le débat haletant, encore, quelques instants, par la suite…

« Et pourtant elle tourne ! » Soupira, avec 70 ans, Galileo Galilei qui, condamné à la mort par l’Inquisition, devait se dédire de son allégeance au système héliocentrique de Copernic, entendant que la Terre tourne autour du soleil. Non seulement elle tourne, mais les Hommes réfléchissent, et y créent des tas de théories, entre autres, économiques, comme celles de « croissance » dues à Adam Smith et David Ricardo, ou de Solow qui, lui, conçoit, à sa base, le ‘travail’, la ‘productivité’, et le « progrès technique », voire des événements scientifico-politico-sociaux, que Karl Marx a finement analysés, en compilant son Œuvre mondialement connue, et génératrice de résistances sociales « Le Capital ». Se considérant, généralement  en mesure de faire face, les amants de Sophie, se sont réunis à la Bastille, le dimanche, 24 Avril 2016, au Café des Phares®, pour rendre hommage à la Sagesse, donc, se souciant de savoir, « Qu’est-ce qu’être riche ? », aidés, dans leur quête, par André Stamberger.

Bonne question !!! On se le demande qu’est-ce qu’un tel phénomène qui, à part l’Héritage, ou tous systèmes de Roulettes, Loteries, Actions d’Entreprises,…ou le Vol, rarement se produit, d’un claquement de doigts !

Il se peut que ceux, qui ne le sont pas, le sachent, sans en être envieux, mieux que les chanceux qui le sont, et recourent à tous les moyens, pour en assurer la possession, tels que le dessous de matelas, soupières, chaussettes… à portée de main de fins cambrioleurs !!! ou d’astucieux voleurs, tels Mandrin, Billy le Kid, Robin des Bois, Arsène Lupin, et toutes les Mafia, comme la ‘Camorra’, la ‘Cosa Nostra’ qui se sont imposées, par la violence la corruption, un Pouvoir occulte, incontournable, surtout en Sicile, au Japon, en Russie et en Chine, Pouvoir symbolisé, bien à propos, par une Pieuvre !

Des doigts, avares de parole, se sont levés, pour dire, « Etre riche, ce sont des patrons, qui gagnent des mille fois le SMIC », « la richesse, est celle du cœur », « on est toujours ‘le pauvre’ de quelqu’un », « Riche, c’est être libre de dire ‘zut’ aux autres », « être libre de pouvoir… pouvoir faire », « le riche est un esclave qui n’a pas l’occasion d’être pauvre », « il y a des gens qui ont des Coffres-forts, pleins de Van Gogh », « aller dans les Biennales » « avoir des ‘couverts en argent’ », « j’ai été fasciné par  la famille Rothschild », « je pense à McArthur et la guerre de Corée », « les riches méconnaissent leur richesse, les pauvres leur pauvreté », « la richesse est résultat d’un effort, et les ‘Châteaux sont achetés par des riches…  », « dans Proust, on savait placer les favoris, et il est, lui-même, tombé dans le piège des glorioles du pouvoir», etc.

Usant de ‘vertu’, j’ai cédé mon droit à la parole, au gars qui se trouvait au Comptoir… et il a dit « Mon père était Styliste et, en Iran, il a fondé 2 écoles de mode ; mais, j’ai perdu mon père, et ma mère a commencé à philosopher… ».

Puis, ce fût le moment de donner la parole, à ceux qui la prenaient pour la première fois… et les échanges se sont poursuivis, quelques instants… jusqu’à ce que  Gilles s’en empare, pour traduire le polilogue  en vers, le débat haletant, encore, quelques instants, par la suite…

Deux amis se partagent un gâteau. Celui qui coupe fait 2 parts très inégales et, ayant prit la plus grosse, son copain le lui reproche, disant que c’est ‘très impoli’…

- Qu’aurais-tu fait à ma place ? lui demande l’autre.

- J’aurais pris la plus petite !

- Alors, de quoi tu te plains ? Tu l’as !!!

Carlos

Puis, afin de terminer la journée, en beauté, ceux qu’ainsi le désiraient, se sont déplacés, à l’Entrepôt, et ainsi poursuivre leur cavalcade, assistant à un Ciné-Philo, qui avait, comme propos, le film « Les Chevaliers blancs », Daniel Ramirez ayant animé le riche Débat qui s’en est suivi. C…..

Le 24 avril 2016, le débat sera animé par André Stamberger.

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Posted on 20th avril 2016 by Gunter in Uncategorized

Débat du 17 Avril 2016: « Se moquer de la philosophie, est-ce, philosopher? », animé par Eric Zernik.

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Posted on 19th avril 2016 by Carlos in Uncategorized

Au cours de la semaine du 11 au 17 Avril, le Monde a vécu bien des péripéties, telles que des sérieuses secousses sismiques au Japon et en Equateur (le plus grave depuis 40 ans), tandis qu’au Brésil, la Présidente, Dilma Rousseff se trouvait menacée de destitution, pour avoir falsifié les Comptes Publiques, afin de faciliter sa réélection de 2014, alors que de gros scandales de corruption secouent le pays, bien qu’elle y soit pas associée. De son côté, avant de partir en voyage diplomatique en Jordanie et en Egypte, le Président, François Hollande, ayant été interrogé, à la TV, par 4 français, pendant près de 2 heures, a soutenu que « la France va mieux… », ce qui a encouragé les aventuriers de la Pensée, à se déplacer jusqu’au Café des Phares®, où le débat, hebdomadaire, animé par Eric Zernik, portait, le 17 Avril 2016, sur le sujet « Se moquer de la philosophie, est-ce, vraiment, philosopher ? »

En somme, « Peut-on rire de Tout ? » La Sagesse, la plus basique, dira « Oui !!!… Mais pas avec n’importe Qui ! »

Alors ? Il est clair, donc, que l’on peut se moquer, également, de la philosophie, et je dirais même, tout en philosophant!!! Les philosophes grecs, les « stoïciens » (disciples de Zénon), et particulièrement, les « cyniques », tels Antisthène et Diogène de Sinope, (dont l’attitude publique consistait à adopter des postures scandaleuses, comme aller pieds nus, se masturber en public, cracher au visage des gens, et administrer leur enseignement à coups de bâton), nous l’ont appris ! La Vie, aussi bien que le Bonheur, sont de courte durée, la Foule faisant son propre Malheur, car nous vivons en Esclaves, prétendant, néanmoins, à la Gloire, aux Richesses, au Ciel, au lieu d’accepter notre Vie, telle qu’elle est. C’est ce qu’a prétendu Descartes, ou du moins, le pratiquant, au cours de son enseignement…

Quoique, Le « rire »… ça s’apprend ! Ou ça s’exprime ?

La MORALE nous donne, pourtant, des règles de Conduite prétendant être universellement valables, voire, celles qui concernent le Bien, l’Intérêt, le Devoir ! Est-ce être philosophe ?

En somme, dans l’acte de philosopher, il s’agit d’une élévation de la pensée, transformée en ‘contemplation’, faits auxquels Platon se réfère dans l’allégorie de la caverne, le philosophe ne quittant le monde sensible que pour y redescendre, afin de gouverner la Cité Idéale, dont le développement, affiné par Hegel, permet d’en saisir toute la rationalité !

Le public n’a pas manqué d’imagination, les uns se conformant au fait que « l’apprentissage de la philosophie n’est pas facile »,  d’autres que « l’Eglise a condamné le rire », quelqu’un ayant  fait mention de l’opus dû à Humberto Ecco, ‘Le nom de la Rose’, alors que « le rire est le propre de l’Homme », tels, qu’inspiré d’Aristote, l’a perçu Rabelais, dans « Gargantua » !

La Salle, néanmoins, s’est largement exprimée, les uns faisant valoir que « philosopher est apprendre à le faire, ce qui n’est pas facile », d’autres que « l’Eglise a condamné le rire », ou que « c’est quelque proche  de ‘Le nom de la Rose’ dû à Humbert Ecco », à quoi fut ajouté que « Le Catholicisme se pétrifie », « qu’il nous faut des actes et point de paroles », que « l’humour est spirituel, l’ironie sarcastique », etc., etc. !

Le Temps réglementaire étant arrivée à son terme, Gilles siffla la fin de la partie au moyen de son lyrisme poétique, et le Jeu était joué !!!

Question : « Faut-il réévaluer la spéculation Astro-Mythologique de Freud, dans son approche Structuraliste de la Psychomatique Fliessienne ? »

Réponse : Ca dépend !!!

Carlos

Débat du 10 Avril 2016: »Que dévoile notre combat contre le Dogmatisme? », animé par Georges Sefinal.

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Posted on 11th avril 2016 by Carlos in Uncategorized

« Crazy-Love » (Amour Fou), tel était l’inscription affichée sur le Tee-shirt d’une des clientes de l’établissement duquel je sortais, et cet « Amour Fou », nous concernait, Tous, le peuple philosophe s’y entretenant du cheminement des Idées dans la Cité, cette fois-ci, au terme d’une semaine chargée d’événements assez singuliers, comme les difficultés des agriculteurs Hollandais face aux parasites, les révélations de journalistes européens qui, travaillant de concert, sur le monde des d’affaires, ont réuni plus de onze millions de documents, « Panama Papers », mettant en cause 214.000 sociétés offshore, ce qui sème la panique dans l’Univers de la finance. En France, un mouvement de contestation citoyenne, « Nuit Debout » se répand en occupant les places publiques dans une soixantaine de villes, s’inspirant du mouvement espagnol « Podémos ». Le peuple philosophe, lui, allait se consacrer au Débat hebdomadaire du Café des Phares® en l’occurrence: « Que dévoile notre combat contre le Dogmatisme ? », dont l’animation était laissée, ce dimanche 10 avril 2016, à la charge de Georges Sefinal.

Il y avait là, la certitude d’un COMBAT, et qu’il était porté contre le DOGMATISME. Mais encore ?

Voyons, donc ! « Dévoiler » est la définition même de Vérité, (a-litheia=enlever le voile) recherchée par Tout philosophe qui s’estime. De son côté, DOGMATISME, du grec « DOGMA », évoque une constance de l’esprit, tel que l’opiniâtreté, consistant à, sans la mettre en cause, tenir pour vraie une doctrine, s’opposant donc, au scepticisme, doute raisonné, ou au sophisme, argument douteux, sous l’apparence de vérité, auquel  KANT fait face, avec le « questionnement critique ».

Finalement, COMBAT, est un terme qui exprime l’action d’un, ou plusieurs adversaires qui s’affrontent, loyalement, sans évoquer l’âpre lutte des polyglottes, car il y en a qui disent qu’il faut parler, au moins, 3 langues pour se comprendre (celle de sa naissance, l’anglais, pour s’entretenir d’affaires, et l’italien, pour parler d’amour). Or, la langue n’est pas un trois pièces, (veste, gilet, pantalon, voire, blouse, jupe, et collant !) Elle est un outil… et un obstacle, voulu, par la force des choses, la transparence étant nuisible à l’évaluation des distances et ce n’est que rationnellement et pragmatiquement que l’on peut arriver à embrasser l’ensemble des phénomènes qui tentent de nous échapper.

Comment expliquer une telle réalité ? C’est le problème auquel se sont coltinés les participants présents, les uns arguant que « toute idée peu devenir incohérente », « la Vérité finit par se transformer en Dogme », d’autres maintenant que « les gens confondent croyance et religion, alors que sans elle, on est toujours tranquille », ou encore que « le Dogme est rigide comme 2 et 2, qui font 4 », que « la Vérité nous pète à la gueule », « certains sujets sont absurdes, tel celui de la croyance »… etc. !

Au terme du temps qui nous était alloué, Gilles mit, pratiquement fin à l’opération intellectuelle, au moyen de ses vers : « Dogmatisme/ Opinion/ Attitude intellectuelle/ Raison… », l’esprit de Marc Sautet revenant, encore, envoûter la Salle, un instant, par l’évocation que l’on en a fait !!!

La forme des Pyramides le prouve, … l’Homme a toujours tendance à en faire de moins en moins !!!

Carlos