Participation peu nombreuse et éparpillée dans le café.
Plus qu’un seul micro de disponible. Pourquoi?
Spinoza mis au centre du débat par Sylvie (que j’apprécie beaucoup par ailleurs). Pourquoi?
Une introduction des plus simplistes, sans aucun apport, sans poser aucune problématique,par celle qui a proposé le sujet. C’est à l’audience de développer cette problématique! Je ne le crois pas. On devrait avoir réfléchi un tant soit peu sur un sujet qu’on veut proposer, et lancer des pistes sur ce que l’on recherche.
Une remarque des plus pertinentes sur la dérive du sujet sur seulement le concept de désir rétablit (un peu) l’objet de la discussion.
Une remarque stupide par quelqu’un qui est encore en maternelle « I a parlé trois fois! ».
Voilà mes premières impressions sur ce débat!
Lorsque l’on veut s’initier à la philosophie on a encore l’autorisation, je l’espère, de proposer un sujet à seule fin d’obtenir des éclaircissements sur une notion encore floue. Le débat animé par Sylvie Petin m’a permis de relier la notion de valeur à celle de désir. A moi, désormais d’étudier des réciprocités, des inférences, etc……Pourquoi vouloir que poser un sujet implique de lancer des pistes? Même pour des gens avertis « il y a des chemins qui ne mènent nulle part » .
Lorsqu’on veut s’initier à la philosophie, on a non seulement l’autorisation mais le DROIT de proposer un sujet…..Aucun doute dans mon esprit.
Mais le café philo est-il le meilleur lieu pour s’initier à la philosophie ?Je crois que le café philo est un lieu de REFLEXIONS ET D’ECHANGE D’OPINIONS, ce qui nous permet de faire de la philosophie sans le savoir, de la même manière que M. JOURDAIN faisait de la prose sans le savoir.
De plus comment obtenir des « éclaircissements sur une notion encore floue » si l’on ne sait pas QUELS éclaircissements on recherche? C’est ce que j’appelle les « pistes de reflexion ».
GEORGES TAHAR says:
Participation peu nombreuse et éparpillée dans le café.
Plus qu’un seul micro de disponible. Pourquoi?
Spinoza mis au centre du débat par Sylvie (que j’apprécie beaucoup par ailleurs). Pourquoi?
Une introduction des plus simplistes, sans aucun apport, sans poser aucune problématique,par celle qui a proposé le sujet. C’est à l’audience de développer cette problématique! Je ne le crois pas. On devrait avoir réfléchi un tant soit peu sur un sujet qu’on veut proposer, et lancer des pistes sur ce que l’on recherche.
Une remarque des plus pertinentes sur la dérive du sujet sur seulement le concept de désir rétablit (un peu) l’objet de la discussion.
Une remarque stupide par quelqu’un qui est encore en maternelle « I a parlé trois fois! ».
Voilà mes premières impressions sur ce débat!
21st juillet 2010 at 17 h 23 min
Gabriel says:
Lorsque l’on veut s’initier à la philosophie on a encore l’autorisation, je l’espère, de proposer un sujet à seule fin d’obtenir des éclaircissements sur une notion encore floue. Le débat animé par Sylvie Petin m’a permis de relier la notion de valeur à celle de désir. A moi, désormais d’étudier des réciprocités, des inférences, etc……Pourquoi vouloir que poser un sujet implique de lancer des pistes? Même pour des gens avertis « il y a des chemins qui ne mènent nulle part » .
21st juillet 2010 at 20 h 33 min
GEORGES TAHAR says:
Lorsqu’on veut s’initier à la philosophie, on a non seulement l’autorisation mais le DROIT de proposer un sujet…..Aucun doute dans mon esprit.
Mais le café philo est-il le meilleur lieu pour s’initier à la philosophie ?Je crois que le café philo est un lieu de REFLEXIONS ET D’ECHANGE D’OPINIONS, ce qui nous permet de faire de la philosophie sans le savoir, de la même manière que M. JOURDAIN faisait de la prose sans le savoir.
De plus comment obtenir des « éclaircissements sur une notion encore floue » si l’on ne sait pas QUELS éclaircissements on recherche? C’est ce que j’appelle les « pistes de reflexion ».
21st juillet 2010 at 16 h 09 min