Débat du 22 Mars 2015: « Faut-il avoir peur des nouvelles technologies », animé par Claude Grognet.

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Posted on 24th mars 2015 by Carlos in Uncategorized

Constatant, avec dégoût, la férocité qui eut lieu au sein de certaines structures étatiques membres de l’ONU, au point de provoquer des dizaines de victimes, 21 morts, comme il est arrivé en Tunis et 142 au Yémen, ainsi que les inquiétants niveaux de pollution partout, Paris en étant la ville la plus affectée du Monde le mercredi, 18 et, après avoir assisté, le vendredi 20 Mars, cette fois-là, au spectacle rare d’une éclipse solaire, j’ai pris le chemin du Café des Phares®, pour le Débat du 22 Mars, 2015,dont le sujet, animé par Claude Grognet, porta, sur la question: « Faut-il avoir peur des nouvelles Technologies ? ».

C’est aussi absurde que de se demander si l’on craint la Souris de l’Ordinateur ou le Stylo à Billes, mais, enfin…

Le fait est que, les Nouvelles Techniques de l’Information (NTIC), (du grec : Tekhné) incluent la Télé, l’Internet, le « Smart phone », ainsi que d’autres réalisations entreprises en matière de stockage, rapidité, définition, voire, le transport des messages par fibre optique, câble, ou satellites, jouent un rôle considérable dans toute la Vie et en particulier dans l’Economie du Savoir, faisant d’elle un des éléments majeurs de la compétitivité, dont les risques et nuisances ne cessent de nous menacer, raison pour laquelle certains secteurs de la Société cherchent à lutter contre de tels abus, de mode à former un Mouvement Anti-Industriel de plus en plus agissant.

Très vite nous sommes tombés dans la facilité, « évoquant les femmes âgées qui font appel aux mères porteuses pour avoir leurs bébés », élevant la « nanotechnologie à un niveau industriel », et de là nous sommes partis vers le « Stylo-bille », la « SiliconValley », « Google », « Face Book », « Technologie NBIC », « la peur du GIAD », et à « la nécessité de changer ‘l’Être humain’ », « à la chirurgie esthétique », au « clivage entre les USA et la vieille Europe », « s’endormir 100 ans et revenir », « Frankenstein », « le désir d’avoir un avion, une voiture, etc. étant toujours pareil », « le recours à des prothèses », « qu’il faut faire arrêt sur l’image, etc., etc. , Gilles finissant par se poser la question : « Homme augmenté ? Ou diminué ?

- Dis, donc! Quel était le sujet d’aujourd’hui ?

- L’Homme élastique!!!!

- Oh, la bonne blague!

Carlos

Le débat du 15 mars 2015 : « Les vérités sont des illusions dont on a oublié qu’elles le sont! », animé par Gunter Gorhan.

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Posted on 17th mars 2015 by Carlos in Uncategorized

On sait, ô combien, la semaine qui vient de passer fut désastreuse à divers point de vue, si l’on songe aux destructions provoquées par le cyclone « PAM », qui a rasé l’Archipel d’Vanuatu à 90%, au « crash » d’hélicoptères qui, en Argentine, a fauché la vie de trois sportifs français de haut niveau, Françoise Arthaud, Camille Muffat, Alexis Vastin, et de deux membres de l’équipe employée au tournage d’un film destiné à une Emission-Jeu, victimes auxquelles il faut ajouter les deux Pilotes chargés de les déplacer, un cruel motif de réflexion sur la Vérité de l’Existence, ou des moyens employés pour la mener, lorsque des faits si inattendus à la sérénité de nos activités et pensées s’y ajoutent. Voilà, donc, l’état d’esprit avec lequel, au Café des Phares®, nous avons abordé le Débat du 15 Mars 2015, portant, comme il devient habituel, sur une affirmation, attribuée cette fois-ci à Nietzsche, « Les Vérités sont des Illusions dont on a oublié qu’elles le sont ! », et que Gunter Gohran se chargea d’animer.

Bref ! De Nietzsche ou pas… que les Vérités soient des Illusions ou non, en question se trouve l’Oubli, un point, c’est tout !!! « On » les aurait laisser croupir dans les « Oubliettes » de notre conscience, à l’image des Cachots où étaient précipités les prisonniers, dans les souterrains de la Bastille. Pourquoi pas ? Un oubli, ça peut arriver, l’Amnésie étant une pathologie assez fréquente, et la dite Vérité est de surcroît suspectée de n’être qu’une Illusion, ou d’un intérêt érotique plus que moral, peut-être, puisqu’issue d’un coquin « Lever de Voile » qui la cache tel que, étymologiquement, le grec « a-litheia » le laisse entendre ! Et pour cause… Si l’on se trouvait ailleurs qu’au Café des Phares, au Café du Commerce, par exemple, on arguerait qu’au Tribunal, par oubli, peut-être, on demande sérieusement aux Témoins d’un fait pénal, de « jurer de dire la Vérité, toute la Vérité ! » Quel serait l’intérêt, s’il s’agit d’une fade Illusion, aussi convoitable fusse-t-elle ? En fait, l’arme absolue pour détecter une Vérité Formelle étant le Syllogisme (deux prémisses et une conclusion logique), ou, s’il s’agit d’une Vérité Matérielle, l’accord entre la Parole et l’Expérience vécue, les Vérités ne sont pas des Illusions, et ce n’est pas par Oubli que ce n’est point ainsi.

Dans la salle, on a ajouté le fait, « de penser que les enfants nous aiment, ce que, finalement, ce n’est souvent qu’une illusion », que « regardant par la fenêtre d’un train, l’image reflétée à l’intérieur en est une également », ou « affirmer, par exemple, qu’aujourd’hui le ciel est bleu », alors qu’il est toujours noir, etc.

Gilles en a tiré son habituelle conclusion lyrique : « …les vérités sont des illusions… projets en clair/obscur… », et, convivialement, le public philosophe, quitta la salle…

Chaque matin, en sortant les poubelles, un concierge clame :

- Mon Dieu, faites en sorte que cette a maison soit épargnée par les tigres !

- Mais, il n’y a pas des tigres par ici, lui dit l’éboueur !

- Vous voyez que ça marche, ma prière ?

Carlos

Débat du 8 Mars 2015: « Doit-on, constamment, remettre nos certitudes en question? », animé par Georges Sefinal.

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Posted on 10th mars 2015 by Carlos in Uncategorized

A « La solitude du coureur de Fond », il conviendrait d’ajouter l’angoisse du Premier Ministre, Manuel Valls face au péril Lepéniste, ainsi qu’à propos de la Présentation du nouveau Projet de Loi sur la Santé, et de tout le Monde libre, en général, en raison du danger chaque fois plus probable d’un Ben Laden Saharien. En sus, il serait question d’une Grève annoncée par la SNCF, de laisser participer les Patrons aux décisions de la Banque Centrale, et de la colère des familles des victimes du vol fatidique MH370, choquées par l’absence d’informations sur cet accident, de la part de Malaysia Airlines. Paisiblement, au Café des Phares®, le 8 Mars 2015, avait lieu l’habituel Débat Hebdomadaire animé, ce jour là, par Georges Sefinal, le thème, surgit d’on ne sait pas où, étant « Doit-on, constamment, remettre nos certitudes en question ? »

CONSTAMMENT !!!!! Persévérance ou Fidélité ? Il n’y a pas là, un peu trop d’ambiguïté ? Ca voudrait dire, dans un cas, que « l’on se plaint de ne pas » et, dans l’autre, que « l’on exige de » ? … 1) D’avoir des occasions où l’on se sentirait forcés d’agir par l’exigence de nos CERTITUDES, au lieu de feindre les ignorer ! 2) D’être confrontés à d’autres instants à la frustration, en raison de l’accablant constat d’être Mutilés par la mise en doute de cette même CERTITUDE ! La crainte qu’un jour un de nos truismes, ne nous permettrait plus de bouger, de construire, et il y aurait, là, une exhortation à le faire ? Trop de zèle ? Ou excès d’esbroufe ? Si l’on rejoint les deux cas par le même fil logique, cela voudrait dire que l’on n’a pas un moment pour agir, faire, construire ! Ou serait-ce le contraire ?

Les participants au débat ont jugé que « selon Descartes, il faut mettre en cause toute certitude », ou demandé à « savoir s’il s’agit d’un principe moral ou rationnel », « quel est le gain ‘à remettre en cause’ par rapport à « conserver », « qu’en allemand il y a deux ‘réels’ ; un qui est efficient, l’autre qui siège dans le tribunal de la raison, et qu’ainsi, il y aurait deux niveaux, l’un individuel (flexible), l’autre collectif (comprendre son époque)», « qu’il ne faut pas avoir des certitudes, mais des convictions », « ‘constamment’, ça ne veut rien dire », « … il faut penser aux attitudes d’Einstein et de Newton », « que sur le plan de la chimie « ça équivaut à retourner sa veste, changer d’avis, et ne pas persévérer dans ses idées », « il faut considérer deux niveaux, l’individuel et le collectif, ainsi que leur flexibilité », « les certitudes peuvent prêter à la fermeté », « méthodologiquement, pour arriver à une synthèse, il faudrait considérer l’Espace et le Temps, alors qu’Uranus, fut le premier père sans père… »

Puis, à l’heure dite, Gilles nous fit part de son commentaire poétique, terminant par une assertion de Nietzsche :

« … Ce n’est pas le doute, mais plutôt la certitude qui rend fou !»

- Quel est ton signe du zodiac ?

- Cancer !

- Tu as du pot !

- Pourquoi ?

- Le Scorpion, s’il se coiffe, il est mort !

Carlos

Au R.V. Saint Germain » salle en sous-sol, 88 bd St. Germain, Paris 5ème, Site web philosciences.esy.es

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Posted on 10th mars 2015 by Gunter in Informations |Manisfestations - Abécédaire

Tous les 4ème jeudi du mois à 18h30. Animatrice : Nadia Guemidi
Jeudi 25 janvier à 18h30 au Rendez-vous Saint Germain, 88 bd Saint Germain, métro Cluny – La Sorbonne (salle en sous-sol), Alain Glorian fera un exposé sur la phrase d’Einstein « Le plus incompréhensible, c’est que le monde soit compréhensible », suivi d’un débat.

Débat du Premier Mars 2015: « Partir de Rien, pour parler de Tout », animé par Adrien Syed.

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Posted on 1st mars 2015 by Carlos in Uncategorized

Quoique prémisse naturelle du Printemps, le mois de Mars ne soit, hélas, pas toujours fleuri, la saison a tout de même commencé dans un fébrile bouillonnement. En effet, « Côté Cour », des vagues gelées se faisaient voir sur l’Atlantique et, phénomène étrange, « Côté Jardin », une femme, née homme, donna naissance à des jumeaux. Puis, « Côté Palais », comme par hasard, un adversaire de Vladimir Poutine était étrangement assassiné en Ukraine. Enfin, « Côté Terrain vague », ‘Boko Haram’, Groupe Sunnite affilié à Al-Qaïda, prônant le ‘Djihad’ et pratiquant la prise d’otages, ainsi que les attentats suicides, semant le carnage chez les populations civiles de toute confession, a froidement agit au Nigeria, ainsi qu’au Cameroun dans ce but, précisément ! C’est ainsi que le premier Mars 015, séduit par le regard à porter sur tous ces phénomènes concernant l’Humain, le peuple philosophe prît le chemin du Café des Phares®, pour y assister, au Débat « Partir de Rien pour parler de Tout ! », animé par Adrien Syed.

Pflac ! Drôle de trôlée, « Partir de rien pour parler de Tout », c’est-à-dire, un départ médiocre dans la vie, constituerait le Sésame nous permettant de babiller, causer à tort et à travers, donnant libre cours à notre logorrhée, afin de nous prêter un rôle pas trop étriqué, et brillant ainsi en société, avec toutes les mondanités qui lui sont propres. Bavarder ? S’égosiller comme une PIE ? « To be or not to be » ? Peut-être, faut-il toujours partir de Rien pour arriver à quelque chose, étant entendu que l’écart, n’est pas le vide, mais le plein, allongé, si nécessaire, par un « soupir », car, sans ça, il n’y aurait pas d’harmonie, ne serait-ce qu’en musique!

Le pianiste David Tudor a joué, en 1952, dans John Cage Concert Hall, à Woodstock, une partition de John Cage, nommée « 4’33’’ », c’est-à-dire, la durée du morceau. Assis sur son tabouret, l’artiste plaça sous les yeux la partition, et souleva le couvercle du clavier, indiquant le début du mouvement, pour, le rabattant ensuite, l’ouvrir aussitôt, dans le but de commencer le deuxième Temps, et ainsi de suite jusqu’à la fin. Le public râlait, grommelait des injures, mais, son père gravait tout sur une cassette et, en effet, pendant le Premier Mouvement on entend la brise berçant la feuillée des chênes dehors, dans le Deuxième, on distingue des grosses goutes de pluie martelant sur le toit de la salle puis, dans le Troisième, on perçoit les clameurs ou quolibets des gens quittant l’endroit. Il s’agirait d’une Cabale ? La fin de Babel ? La débrouille face au Châtiment qui a viré en Confusion des Langues ? Le mot d’ordre serait, dès lors, Parler de Rien, faisant feu de Tout bois ?

On ne s’est pas gêné, au Phares, pour le faire, dans le désordre, et pratiquer tous les amalgames, partant de « la singularité vers la généralité », par l’évocation de tas d’exemples, allant « des Bouddhistes, qui font le Vide, en Soi », à « Freud et Socrate (‘Tout ce que je sais, c’est que je ne sis rien’) », faisant remarquer que « le silence n’est pas le vide », donnant « l’exemple de Descartes, lequel prétendait que ‘Rien’, amène à Dieu », celui de Raymond Devos étant que « ‘Rien, ce n’est point rien, mais, Trois Fois Rien, c’est déjà quelque chose’ », ou rapportant que « Rien, ce n’est pas Zéro mais une méthodologie », vu qu’« imaginer des choses est se projeter ». «  Le ‘rien’ serait le Peuple », pour les uns, « quelqu’un qui réussit », pour d’autres, et même « le Bébé, arrivé au monde avec toutes ses potentialités », ou encore, qu’un certain « compromis est observé entre les langues »… A l’heure convenue, Gilles a rappelé la Roue de la Vie, qui va « …du Silence à la Parole, puis à l’Action ! Du Rien au ‘Un’, et du ‘Un’, au ‘Tout’… »

Comme disait mon Grand-Père, « L’Existence précède l’Essence » et, celui qui en est d’accord est un Existentialiste. Sinon, il existe quand même, mais étant, essentiellement, en dehors du coup.

Carlos