Le débat du 22 février 2015 : « La liberté doit être égale, sans quoi elle est un privilège », animé par Irène Herpe-Litvin.

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Posted on 18th février 2015 by Gunter in Uncategorized

Débat du 15 Février 2015:  » L’Homme mérite-t-il la Démocratie »?, animé par Michel Turrini.

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Posted on 16th février 2015 by Carlos in Uncategorized

Quoi de neuf ? Deux violents attentats ont été perpétrés à Copenhague contre les participants à un colloque sur la liberté d’expression et une synagogue, provoquant 2 morts et 5 blessés mais, pour notre bonheur psychophysique, des médecins du CHU de Besançon viennent de mettre au point un vaccin « anti-rechute », alors qu’ailleurs, le Procès Strauss Khan reprenait prosaïquement son cours, le Président Hollande se proposait de rencontrer son homologue allemand, Madame Merkel, au sujet de la question soulevée par les plus récents événements en Ukraine, tandis qu’un énième scandale financier se fit jour, en raison des sommes d’argent transitant frauduleusement de la Banque HSBC vers la Suisse, et que l’on commémorait la mémoire de Louis Pergaud, auteur de la cocasse « Guerre des Boutons » tué au début du conflit de 14-18. Revenant à nos Moutons, le 15 Février 2015, au Café des Phares®, Michel Turrini animait le Débat du jour, et se proposait, donc, de répondre à la question « L’Homme mérite-t-il la Démocratie » ?» , thème choisit par lui-même entre une dizaine d’autres.

Pourquoi tant de suspicion ? C’est pour ça que le boulanger se lève à minuit ? Encore une désastreuse défiance provoquée par le « politiquement correct », c’est-à-dire, douter de ce que l’Humain a créé, lui-même, afin d’organiser intelligemment la vie en commun, suggérant qu’il s’agirait, là, d’une perle jetée à des cochons. Mais, comme convenu, l’on restât une petit’heure devant son « express », discutaillant à l’abri du temps morose du dehors ; l’Homme mérite-il… Or, il n’était pas question d’un cadeau ! Ce n’était pas l’affaire d’un « biscuit » que l’on donne à un chien de chasse, ou d’une surprise venue d’ailleurs, disons d’un visiteur arrivé de l’espace pour nous rendre visite ! NON ! il s’agissait de la Démocratie, méritée, ou pas !!!, alors que c’est l’Homme, lui-même, en toute conscience qui l’a imaginée et battu pour elle, la DEMOCRATIE, parmi toutes les façons possibles de conduire les Humains, certain que c’était CA qui lui convenait au mieux ! Personne n’ignore que, conçue en Grèce, elle apparaît donc comme la plus équitable, voire la forme la plus achevée de gouvernement imaginée par l’Homme, considérant, « par définition », tous les Êtres Humains égaux, et souverains, devant les mêmes Lois, choisies par eux, à la majorité des voix. Que cache ce parangon, « Mérite », sinon le souci de donner à entendre ce qui flatte les oreilles du poltron occasionnellement digne d’une récompense, accordée pour un comportement démontré conforme à des objets idéaux hors du commun, ce qui est donc déjà en contradiction avec la définition et le propos de la « Démocratie ». En effet, l’« Homme », on sait ce que c’est, … « animal rationnel… etc. », tandis que « mériter » se dit de quelqu’un qui, par son exceptionnelle conduite, à l’occasion d’un drame affectant un individu ou une communauté apparaît comme digne de reconnaissance, et on n’ignore pas les marchandages ou appels du pied d’aucuns, pour que la « Patrie apparaisse reconnaissante », obligée à l’égard d’individus plus ou moins influents dans son essor, en dépit de leurs agissements, la Démagogie, étant l’opération politique qui consiste à s’emparer du pouvoir par le moyen de la flatterie et de promesses, c’est-à-dire, faisant entendre au Peuple ce qu’il désire entendre, au lieu de ce qu’il doit savoir, étant l’arme secrète de tout politicien, pour peu qu’il soit ambitieux.

La chose fut débattue, et rebattue…

On a essayé de définir, étymologiquement, le mot Démocratie, puis nous sommes vite partis en marche désordonnée‘« Vu ce qui se passe dans le Monde, et sur les réseaux sociaux, ce n’est pas ‘jojo’! », évoqué « Jules César, républicain, mais pas démocrate », rappelé « qu’aujourd’hui, trois partis principaux représentent 20% des votants », mentionné « les trois vertus cardinales : Foi, Espérance et Charité », évoqué le fait que « des gens souffrent de la faim au Mali, au Tchad, etc. »

A l’heure dite, Gilles a terminé la controverse, transformant la prose en poésie, et tout finit en beauté !

- Dis, donc, sais-tu qu’il y a deux types de Démocratie ?

- Ah, bon ? Lesquels ?

- Celle du « Ferme ta Gueule! » Et celle du « Cause toujours ! »

Carlos

Débat du 8 Février 2015: « L’intériorité est-elle un leurre? », animé par Claudine Enjalbert;

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Posted on 9th février 2015 by Carlos in Uncategorized

La semaine du 1 au 8 Février, s’étant illustrée par le gouffre politique et les gesticulations des pays intéressés dans la poursuite des douteux efforts de Paix en  Ukraine, mobilisant, à cet effet, la présence des Présidents Hollande et Poutine, ainsi que de la Chancelière allemande, Madame Merkel, sans parler de la folie actuelle consistant à « mourir et tuer » pour Allah. Le 8 Février 2015, au cours de leur traditionnelle cogitation, au Café des Phares®, les habitués du lieu ont choisi de prendre pour sujet de leur Débat, la question : « L’Intériorité est-elle un leurre ? » Discussion que Claudine Enjalbert s’est chargée d’animer, tandis que Line Hachem croquait talentueusement tous les intervenants, actifs ou attentifs.

Leurrer, abuser, berner, duper, semblent être de malveillantes épithètes, pour qualifier l’effort de dialoguer avec autrui. Ca paraissait fort de café, puisque l’Intériorité consisterait plutôt dans la recherche d’une certaine spiritualité, en vue d’une élévation de l’âme, susceptible de nous mettre en phase avec nos semblables, et il aurait fallu trouver, peut-être, un autre terme, s’il fallait la dénigrer.

Si le corps est un Lieu où se manifestent, aussi bien le Plaisir que la Souffrance, et qu’en dehors de ça Tout serait Illusion, il faudrait s’armer de nouveaux concepts qui en tinssent compte. Sans que cela ait été mentionné, Kierkgaard et Wittgenstein s’étaient déjà intéressés au « Mythe de l’Intériorité », jugeant que le langage, incohérent, a du mal à en traduire le sens, alors que ce qui donne valeur à nos mots ne serait pas les pensées, mais l’usage que l’on fait des termes qui véhiculent ces mêmes cogitations.

Afin d’en faciliter l’analyse, nous aurions pu nous demander, déjà, ce que l’on entend par « Intériorité » et, tant qu’à faire, par « Leurre » également. C’est indéniable, que « l’Intériorité », s’impose dans toute démarche intellectuelle, ou d’ordre moral, voire religieuse. Il s’agit, en somme, d’un état d’âme, recherché dans le but d’atteindre le Sublime, dans la plus désintéressée des hypothèses ! De son côté, un « Leurre », c’est un Abus, un Piège, une Duperie, de préférence séduisante, consistant à ATTIRER l’Autre, par des Apparences, propres à l’induire en Erreur… avec de l’Erreur L ! « Le Moi est une illusion », le proclamait déjà, Ernst Mach (philosophe et physicien autrichien) ; un simulacre, en somme ! Et, si mesuré à l’Intériorité, quelque chose de déloyal, indigne, objectivement bas !

Cela a donné du grain aux « Matières Grises », qui ne se sont pas privées de le moudre, et on a entendu donc dire : que « l’intérieur vient de l’extérieur », « qu’il s’agissait d’une phrase de Pascal », que, « quand je suis avec moi, je suis avec un ami », que, « dans un film policier, le flic et le gendarme jouent un ‘rôle’, semblable à celui du ‘garçon de café’, imaginé par Sartre », que « nous sommes des diamants, ‘diamans’ », qu’« avoir la banane J c’est pareil à la grimace L », que « dans le théâtre antique, ‘personne’ était un masque », que « la parole est une moulinette, pareille au ‘moulin à prières’», « que nous sommes dans la fiction », « qu’une fois à l’intérieur, on ne peut plus sortir »

Ce que Gilles clôt, évoquant « le désir de rôle… ‘persona’ sous un masque, ou…la beauté derrière le rideau »…

Devant un Lion, dans la savane, un prêtre supplie Dieu :

- « Seigneur, inspirez des sentiments chrétiens à ce fauve ! »

Aussitôt le Lion se met à genoux, et prie :

- Mon Dieu, bénissez ce repas ! Amen.

Carlos

Débat du 1er Février 2015: « La Démocratie peut-elle Tout se permettre? », animé par Daniel Ramirez.

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Posted on 2nd février 2015 by Carlos in Uncategorized

La nouvelle année se traduit, en Europe, par un inquiétant retard à l’allumage, évident dans les difficultés provoquées par l’état des finances Grecques, et en France, en raison de l’austérité imposée au Pays par la Troïka, Paris souhaitant développer en particulier l’Aide au Logement, tandis que Bonn envisage d’autres urgences et qu’aux USA, malgré ses promesses, Obama devient impuissant à régler les problèmes auxquels, afin de se faire élire, il avait dédié autrefois ses intentions « prioritaires ». Alors, au Café des Phares®, parmi les sujets proposés, l’animateur, Daniel Ramirez, a choisi d’office le souci suivant : « La Démocratie peut-elle Tout se permettre, pour se maintenir en vie ? », entre les propositions faites, pour le Débat du 1 Février 2015.

Jeu de dupes, ruse, ou UNE drôle de question issue de « l’école du rire », qui supputerait l’abus de pouvoir au sein d’un système politique dont les rennes sont tenues par l’ensemble de tous les sujets, et qui, afin de survivre, s’abreuve du sang impur, de leurs ennemis ? Pourquoi pas, tant que l’on y est, suggérer de se couvrir d’un « Chapeau melon » et chausser « des bottes de cuir » afin de survivre, passer inaperçu ? Commençant par le commencement, on pourrait aussi se demander aussi à quel jeu l’on joue, avec un type de colle posée, en général, à des « bizuts » mais, à bon entendeur, demi mot, et admettons qu’il y était certainement question de se porter au chevet d’une Démocratie abusive, en raison de son âge et que, donc, une fois instruits de l’importance des Biens à récupérer par Testament, faire un rapide calcul, c’est-à-dire, s’il n’y a rien, comme patrimoine légué, se donner bonne conscience, tout de même, apportant des bombons ou, charitablement, les premiers secours, voire, l’« Extrême Onction » à cette pauvre Démocratie, autrement dit, « faire feu de tout bois », à l’aide de bouteilles d’oxygène, restant à son chevet, si jamais le pire venait à se produire…

On pouvait, aussi, si d’aventure l’on constatait qu’il y a tout intérêt à ce que « Mami Démo » dégage, l’y aider d’un coup de pouce, faisant en sorte que ses jours s’achèvent, sans trop de souffrances, dans la paix du Seigneur, la troquant pour l’Anarchie qui, au moins ne prend pas l’individu pour un mulet !

Evidemment, des solutions ne manquèrent pas, allant de : « l’oxymore » (en réalité synonyme de niaiserie, ou expression de l’inconcevable), « ruse de ses ennemis », « la Démocratie n’est pas la Liberté »,  opinion suivie de l’interpellation : « la Démocratie est-elle un être vivant ? » « … faite par les Hommes ? », « ou indéfinissable », « ou Démagogie », alors qu’il nous faut avoir le « souci de distinguer ‘Démocratie’ et ‘République’ », « ainsi que Censure positive et négative », même le « Daesch et l’Irak » étant appelés à faire preuve de vie…

Enfin, l’intervention du poète Gilles est restée sur son papier… ou dans sa gorge L

En quête de Vérité, un Homme entreprend un long voyage afin de trouver un gourou. Arrivé en sa présence, il pose la question de savoir « Comment faire pour se maintenir en vie ? », et il lui répond :

- En buvant du thé !

- Quoi ? Je suis venu de si loin, pour apprendre que, pour se maintenir en vie, il suffisait de boire du thé ?

Haussant les épaules, l’autre lui répond :

- Alors, ce n’est pas en buvant du thé !

Carlos