Le débat du 20 septembre 2015 : « Peut-on penser seul ou à plusieurs ? », animé par Alain Gorian.

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Posted on 23rd septembre 2015 by Gunter in Uncategorized

Alors qu’une grave crise idéologique, de Fond, ébranlait le Parti Ecologique, tenté par le « gauchisme », les Citoyens, eux, se sentant menacés, et désarmés, par la nouvelle Stratégie politique du FN, une fois que les forces Socialistes semblent accuser, elles mêmes, un glissement idéologique vers le Centre, devant les problèmes d’immigration, des calamiteux feux de forêt essaiment les USA, où le Pape se rendra en visite, ainsi que à Cuba, les pays européens se referment sur eux-mêmes, tandis que le Pape se rendra en visite à Cuba ainsi qu’aux USA, où d’impressionnants feux de forêt font ravage. Pourtant, sans surprise, comme chaque Dimanche, le Peuple philosophe, s’est réuni, au Café des Phares ®, afin de prendre part au Débat, animé, le 20 Septembre 2015, par Alain GLORIAN, et dont le Sujet fut « Peut-on penser seul ou à plusieurs ? » !

Les deux, mon Capitaine ! Inspiré, parait-il, par un Magazine littéraire, et un voyage au Portugal, le fait est que, Penser est « une activité psychique, qui a pour but la connaissance », et notre pratique hebdomadaire nous laisse croire, que cette réflexion, portée sur un Sujet bien précis, choisi sur place, parmi une dizaine d’autres librement proposés, peut exercer, certes, seul ou de concert, une fascination intellectuelle assez gratifiante pour l’esprit badin et entrain aux échanges posés, raisonnables, consciencieux. Mais, puisque le but de notre déplacement dominical est de se délasser du quotidien morose partageant, de concert, une Réponse, fut-elle de Normand, tous les participants se sont sentis interpellés, avec plus ou moins de rigueur, pertinence ou d’éclat, c’est cela qui s’est produit, encore une fois, les uns prétendant qu’il « faut distinguer ‘solitude’ et ‘solitaire’ », ainsi que « ce qui fait partie du langage de ce qui est de la pensée », « entre ‘seul’ et ‘ensemble’ ; garder le contacte avec les autres », tandis que des voix considéraient « le sujet stupide, puisque ‘si je pense, je suis’, tout dépendant, donc, de la personne qui pense». Des uns opinaient que « Descartes s’est assujetti au ‘doute’», d’autres répétaient que « Je pense, donc, j’existe », ou « que l’Homme excède l’Univers », d’autres, encore « qu’il faut se préoccuper du Monde », « de la Guerre d’ l’Irak », « faire le voyage à Saint Jacques de Compostelle », tandis que des voix se levaient pour appeler à la Cohérence et à la Logique », ou opinant même que « que l’on doit penser avec son prochain », voire, que « l’ ‘on ne pense pas’, on ‘cogite’ », sans mentionner ceux qui s’embarquent dans des tirades océaniques, même à contre courant…<

Pour en finir, Gilles mit tout en rimes libres, « … penser, peser, imaginer, méditer, réfléchir… dans la distanciation, articulation… du ‘Je’ au ‘nous’, à ‘genoux’, etc. … »

- Mes voisins du cinquième ont tapé du pied, hier soir, pendant une demi-heure !!!

- … et ils vous ont réveillé !?
Carlos