Débat du 25 septembre 2017 : « Notre féminin est-il l’avenir de l’Homme ? », animé par Nadia Guemidi

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Posted on 22nd septembre 2017 by Gunter in Uncategorized

Alors qu’au Mexique, un séisme fait des ravages, en France, un étrange flou règne autour de la PMA, les femmes lesbiennes descendent dans la rue, lasses des promesses du Président de la République, à propos de la ‘procréation médicale assistée’. En raison de sa nécessaire rénovation, la Tour Eiffel éteint ses feux, tandis qu’à Bagneux on célèbre les Vendanges durant deux jours, enjouées par des éblouissants feux d’artifice. Dans le domaine politique, on constate la fracture du Front National, Florian Philippot quittant subitement son parti ; A l’appel de J. Luc Mélenchon, l’Opposition manifeste dans la rue, contre les décisions du gouvernement, alors qu’en Allemagne, malgré le fait que Mme Merkel soit sûre de sa  réélection, l’extrême droite va rentrer, certainement, au Parlement.

Attentif à tous ces chamboulements du quotidien, le peuple philosophe accourut, néanmoins au Café des Phares@, afin de déconstruire le rébus du jour, c’est-à-dire, la question qui lui était proposée : « Notre féminin est-il l’Avenir de l’Homme ? » animé par Nadia Guemidi.

Serait-ce pour vérifier si les propos de Louis Aragon, mis en musique par Jean Ferrat (« La femme est l’avenir de l’Homme »), tenaient debout ? En tous cas, ce n’était pas très original !!! ‘Féminin’, ainsi qu’ ‘Homme’, on sait ce que c’est ! Du latin, ‘feminus’, féminin signifie ce qui est propre, ou évoque la ‘FEMME’, et ‘AVENIR, du latin, aussi ‘advenire’, veut bel et bien dire, ‘arriver’ !!! De son côté, ‘HOMME’, également du latin ‘homo’, est un mammifère, de l’ordre des primates, doué d’intelligence, et d’un langage articulé. Au-delà de ça, le terme désigne l’espèce humaine, en général !!!

Question de passer le temps, on en a, néanmoins, entendu des vertes et des pas mûres, telles que « ‘la Société se féminise, de plus en plus’, d’après Woody Allen », alors que d’autres prétendaient « qu’il y a des gens qui pensent qu’un homme se baladant, songeant à ‘ça’, serait ‘efféminé’ ! », ou « il faut faire la différence entre l’un et l’autre des termes car, entre un homme et une femme, elle est minimale », voire, encore, que, « pour Badiou, il y aurait, là, un esprit ‘guerrier’ » !!!, ainsi que dans « l’Egalité des Droits ». Puis, avant d’en finir, « le Doute », sans oublier « la Nostalgie », ont eu lieu d’être invoqués également !!!

On a omit « l’Entrechat », figure chorégraphique, au cours de laquelle le danseur fait passer, une devant l’autre les pointes des pieds, dans un seul saut !!!

L’heure de mettre un terme à la cogitation étant arrivée, Gilles a agrémenté, de ses vers, l’insolite discussion, puis, question de faire diversion, pendant quelques instants, encore, d’autres propos de plus minces ont été tenus, et tout le monde s’est finalement trouvé dehors, sous un soleil bienveillant, question d’affiner quelques concepts, mal travaillés !!!

J Si haut que l’on monte, on finit toujours par descendre !!!

Carlos

3 Comments
  1. Gilles says:

    notre féminin est-il L’Avenir de L’homme ? Nadia, Aux Phares,
    notre féeminin, ma part de féeminité, notre part féeminine part d’humanité,
    « L’homme’ est’ un risque’ À Courir … » Kofi Yamgnane,
    Le Crocodile’… et La femme’, À Le rattraper, Le dépasser, Marianne’, Au fil d’Ariane’,
    Au fil de L’eau du fleuve’, intranquille, de La Vie, et, de L’humanité …
    Le remettre’ en question(s), questionner’, Adoucir, questionner L’intuition, La sensibilité,
    force – fragilité, droits’ et devoirs, d’égalité, sororité, dynamique – complémentarité,
    en Lien, indissociable Lien, Le Lien d’humanité, part de féeminité,
    de L’À – venir de L’homme, Vivre’- ensemble’, empathie, tension Vers L’harmonie,
    Vers L’Accès, féeminin, À L’humain, ré – uni …
    et, face’ À « La domination masculine » – « La misère du monde » – Bourdieu – dite Virilité … ré – équilibration de sa part féeminine, de sa force morale … de sa non – violence, féeminité, – Accueil, et, réceptivité, bienveillance,
    clairvoyance’, influence’, en silence -,
    « Qui peut faire’ Appel Au cœur des’ hommes,
    Avec’ plus’… d’efficacité que La femme ? »,
    Gandhi, Tous Les’ hommes sont frères, … tous Les’ hommes sont sœurs,
    L’âme- féeminité, du corps-esprit, Actée, bienséance – bon goût, dévouement de La femme … bien placée pour Apprivoiser Les’ hommes’…
    Amour, tendresse, de caractère, féeminité de cœur, femmes’- hommes’ en chœur,
    « tu Aurais su comment souffrir, tu Aurais pu ne pas souffrir » …
    Au féeminin, sentir, et ressentir, souffrir …
    notre féeminité, notre’ idéalité, Libre – maternité, Libre – paternité, Libre – fraternité,
    Libre – sororité … de L’intellectuelle – masculinité … À notre spirituelle – féeminité …
    Au savoir masculin, La féeminine foi,
    dans L’émancipation, dans La Libération, ma foi,
    féeminin – masculin, besoin, désir, En-Vie … d’, humain,
    se Libérer, demain,
    se Libérer, « c’est La Lutte’ initiale … » de « L’humanité … de L’humanité »,
    Edgar Morin, sa part de féeminité … cordiale – conviviale, c’est sa part féeminine –
    qui construit L’homme … L’À – venir … de L’homme … L’humaine – féeminine –
    part d’humanité … part de féeminité …
    notre féeminin est, bien, L’À – venir … de L’homme,
    Miss – Terre’ et boule’ de L’homme’, Au masculin, qui s’y oppose,
    Le féeminin À – venir … ose !, __serviteur, Avocat,
    Gilles Roca,
    Cas-fée – File’- eau … des ( nés – nus – ) Phares, 24’- 9’- 2017’, en Vendémiaire,
    notre féeminin phare’… À – venir … en Lumière,
    ____ réelle – Vérité, notre féeminité, un féeminin changement d’ère,
    _____ « du peuple – L’ère », J-L M & G R

    22nd septembre 2017 at 17 h 40 min

  2. Zub says:

    Paraît que, pour les paysans, il n’y avait autrefois pas de « beau » temps : pour que pousse le grain fallait-il que soleil et pluie alternent.
    Chez les hommes, c’est pareil : l’avenir de l’homme, ce n’est pas plus le masculin que le féminin : si les femmes cessaient d’enfanter ou les hommes cessaient d’éjaculer utile, il n’y aurait plus rien dans cinquante ans…ou alors, ce serait autre chose.
    Déjà croit-on savoir que le liquide séminal moderne-libéral-avancé avait perdu quarante pour cent de son pouvoir de fécondation originel.
    On sait aussi que les prisons, les cliniques ou les centres de désintoxication sont remplis à quatre-vingt dix pour cent d’hommes. : il fallait donc être sacrément phagocité par la propagande féministe pour croire que le masculin se portait bien…ou mieux que son parèdre féminin.
    Dans les années 60, en FRANCE, ce n’était pas le beau-père, la bête noire de quasi-toute les saga familiales : c’était la belle-mère…pour une première et simple raison qu’au même âge, les beaux-pères avaient souvent et déjà un pieds et un oeil dans la tombe !…
    Fallait-il encore avoir une vision obsidionale des choses pour trouver qu’en 1914, le statut des hommes envoyés se crever dans les tranchées baïonnettes dans les reins était bien meilleur que celui de leur campagne subitement obligées de prendre leur place aux champs et au volant.
    Enfin, les enquêteurs de police judiciaire disaient tous que pour capturer l’homme, il faut toujours « loger » sa femme…ou le receleur !…?

    22nd septembre 2017 at 18 h 15 min

  3. Zub says:

    L’autre jour, comme je me promenais dans les bois, je suis tombé sur le carré nudiste de VINCENNES et j’ai trouvé le sexe masculin fort laid ; pour s’éprendre de ce deux-pattes, il ne fallait vraiment pas être dans son assiette !!!
    Dans leur transe amoureuse, les amoureux pouvaient-ils bien dire n’importe quoi ; pour arriver à leurs fins, pouvaient -ils travestir leurs tourments libidineux en transports poétiques : seules leurs belles paroles étaient poétiques !?! Ici, être machiste et féministe, c’était parfaitement possible : il suffisait d’être amoureux !…!
    Pour apercevoir des femmes nues, c’était encore plus simple : il y en avait partout les kiosques à journaux, à un poil près : c’était toutes des images : les vraies qui passaient alentours n’étaient manifestement pas faites pareil, ni de corps, ni de visage…à tel point que c’était à douter que les plaimates des kiosques fussent aussi belles à la ville qu’en image.
    Evidemment, restait l’esprit : à voir la diversité des tenues, il y en avait beaucoup…hors les vêtements professionnels traditionnels masculins, portés par les seuls travailleurs d’immigration récente, effectivement : la femme était manifestement l’avenir de la mode masculine-occidentale-urbaine.
    Le vêtement était de plus en plus moulant et montrait surtout les sacrifices auxquels il faudrait tous consentir pour avoir la bonne calendre.
    Le miracle, c’était la surprise de la grâce…rien que pour vous…quand elle vous bouchait la rue sur cent mètres, pour le reste de la journée…sans empêcher personne de passer…
    …mais on ne pouvait entrer dans ce moment avec un égo sur-dimentionné…ou tout simplement hyper-sexué : être sexué, c’était, quelque part, être toujours en manque : être doublement sexué risquait donc de signifier être toujours-doublement en manque !…?

    22nd septembre 2017 at 18 h 01 min

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