Débat du 30 juin 2019 : « Doit-on compenser les défaillances des autres ? », animé par Pierre-Yves.

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Posted on 1st juillet 2019 by Carlos in Uncategorized

Etant une des villes-hôtes de l’événement sportif prévu, Paris accueille le village FIFA pour la coupe-du-monde féminine. Hélas, les françaises se sont inclinées, avec les honneurs, en quart de finale devant les tenantes du titre, l’équipe des Etats-Unis. Tandis qu’une pesante canicule a étouffé la France, avec des températures montant jusqu’à 40 et même 42 degrés, de telle sorte que les examens du Brevet des Collèges fut reporté à plus tard. Des Expositions de photos, Art contemporain, Poésie, Rêve et Fiction, ou le ‘papier découpé’ d’Emma Rivet eurent cependant lieu.

Entre temps, les énamourés de Sophie se sont retrouvés au Café des Phares@, afin d’exercer leurs neurones, cogitant sur la colle qui leur était proposée, c’est-à-dire : « Doit-on compenser les défaillances des autres ? », au cours du débat du jour, animé par Pierre Yves .

A quel propos ? Dans quel but ? Quelle utilité?… Le jeux des mots !!!

«Compenser!!!», du latin, ‘compensare’, revient au sens d’équilibrer!!! «Défaillances», de ‘defaillir’, équivaut à la perte momentanée de ses forces physiques ou morales… «Autre», catégorie de l’être de pensée, qualifiant l’hétérogène, le divers, par opposition au « même »!!!

Pourquoi pas !!! Le philosophe s’attelle à la moindre des difficultés, afin d’exercer son argutie, ses neurones, sa subtilité de raisonnement… Il y avait de quoi faire !!! On était servis !!!

C’est ainsi que l’on a entendu, des vertes et des pas mûres, qui opinant que ‘l’enfant a besoin de ses parents’, ‘il faut chercher les vrais responsables’, ‘la défaillance empêche la cellule de croître’, ‘la notion de responsabilité’ est la volubilité, ‘quel est le vrai désir de l’autre ? Il n’a rien demandé !!!’, ‘l’enfant a besoin de ses parents’, ‘les gens sont libres, et la différence avec les autres les met en danger’…, ‘on devient bouc émissaire’, ‘l’autre vous tire vers le bas’, et vous changez de conduite’. Il s’en est suivi, ‘il y a plusieurs sens, et dès lors, tous les sens sont possibles’, ‘j’avais 20 ans, lorsque je me suis mis à genoux (il se met dans cette posture) … ‘Simone Weil cherchait le sommet’, ‘dans la définition, c’est la faille qui compte’, ‘De Gaule avait dit qu’il partait, alors qu’il ne l’a pas fait’, ‘on a parlé de ‘faillir’, pas de ‘faillite’, ‘ça me gêne la référence aux autres, … qu’est-ce que c’est l’autre ?’, ‘l’Autre était le Roman’, ‘on se sent au catéchisme’, ‘entendant le sujet, je pense aux syndicalistes qui sont victimes des défaillances de l’Etat’, ‘on ne parle pas des défaillances des autres’, ‘le Chômage’, ‘l’Assistance médicale’… ‘je reviens sur 2 points, risque de la santé, risque au travail’, ‘tout est dieux, tout est besoin’, ‘il faut dormir pour oublier’, ‘quand tu parles de ‘travailler’, ça rend-il les enfants heureux ?’, ‘l’Homme aspire à la ‘bonne vie’, sinon c’est la psychanalyse’…, etc.

Finalement, de ses rimes, Gilles mit un terme à l’exercice intellectuel, mais tout le monde le poursuivit, sous le soleil du dehors !!!!

:-) « L’expérience est une lanterne, accrochée dans le dos de celui qui n’éclaire que le chemin parcouru !!!»

Carlos