Le débat du 14 août 2011 : »Dieu est-il mort ?  » animé par Nadia Guemidi.

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Posted on 9th août 2011 by Gunter in Comptes-Rendus

DIEU EST-IL MORT ?

Débat animé par Nadia Guemidi le 14 Août 2011.

Ce matin, l’animatrice : Nadia Guemidi, a choisi le sujet : « Dieu est-il mort ? ». Malgré les problèmes techniques dus au mauvais fonctionnement des micros, nous avons quand même pu réfléchir (sans micros pendant la quasi-totalité du débat !) aux deux concepts : Dieu et la mort.

On a tout de suite pensé à la phrase de Nietzsche : « Dieu est mort ! Dieu reste mort ! Et c’est nous qui l’avons tué ! ».

Cependant, dans la société occidentale, beaucoup de personnes croient en l’existence de Dieu : ce ne serait pas : Dieu meurt, mais Dieu demeure !

On a, de plus, parlé de l’idée de Dieu : serait-ce Dieu qui serait mort ou l’idée de Dieu ?

On a aussi parlé des différentes croyances, notamment du polythéisme et du monothéisme. Nous nous sommes interrogés sur le « type » de Dieu dont on veut parler et le « type » de mort : est-ce une mort physique ? Spirituelle ?

Pendant longtemps, dans l’histoire de France, les rois ont gouverné le pays en instaurant une monarchie de droit divin. Le 14 juillet 1789, c’est la prise de la Bastille. Le 21 janvier 1793, Louis XVI est décapité. Cette décapitation ne symboliserait-elle pas le fait que l’on a aussi décapité Dieu ?

Cela voudrait alors dire que Dieu a existé… D’ailleurs, dans la citation de Nietzsche, il y a un présupposé : Dieu a existé puisque « nous l’avons tué ! ».

Quelques petites touches humoristiques ont été ajoutées au débat, notamment la phrase de Woody Allen : « Dieu est mort, Marx est mort et moi-même, je ne me sens pas très bien ».

Par ailleurs, le questionnement sur Dieu peut être un questionnement sur la volonté de puissance. Mais, de quoi parlons-nous dans ce cas ? Serait-ce de Dieu lui-même ou de l’idée de Dieu ?

Finalement, nous nous sommes mis d’accord sur la nécessité de centrer le débat sur Dieu plutôt que sur l’idée de Dieu.

D’autre part, on a pu évoquer l’idée que Dieu est lié à plusieurs concepts comme la nature, le déterminisme, le hasard et la finalité. Comme ces quatre concepts existent toujours dans notre monde et concernent l’Homme de près ou de loin, on pourrait faire l’hypothèse que Dieu n’est pas mort…

On a aussi parlé de la peur. En effet, la peur nous pousse à réagir et nous plaçons Dieu en rapport avec la peur du moment. Nous ne pouvons pas toujours agir et changer les choses dans notre monde, nous nous servons alors de Dieu : nous l’utilisons comme prétexte… Il s’agirait alors d’un Dieu qui renaît à chaque nouvelle époque, en même temps que l’apparition d’une nouvelle peur.

Il faut quand même rappeler que c’est l’Homme qui a « inventé » Dieu et que l’Homme fait intervenir Dieu lorsque cela l’arrange !

Alors, l’Homme a certainement besoin d’un retour à la rationalité, sans s’en remettre à Dieu pour prendre des décisions. Et, comme Dieu n’est pas définissable, il faut bien que l’Homme combatte ses peurs.

En conclusion, nous avons dit que Dieu sauve l’Homme et que même son idée nous fait plutôt du bien au XXIème siècle. Le XXIème siècle sera-t-il alors spirituel ?

En tout cas, la question de Dieu est toujours un mystère et la question : Dieu est-il mort ? reste ouverte. Même si l’idée de Dieu fait appel à une certaine grandeur, l’Homme n’a toujours pas la perception de Dieu et n’est toujours pas en mesure de le définir.

En tout cas, j’ai trouvé que ce débat était vraiment intéressant, merci beaucoup Nadia !

Nicolas Ségarra.

8 Comments
  1. Nicolas says:

    Merci beaucoup aux webmasters du site pour la publication de mon compte-rendu!

    Bien cordialement,

    Nicolas.

    9th août 2011 at 14 h 11 min

  2. Nadia salah says:

    La mort de dieu symbolise évidemment la mort de J.Christ.. D’après N.. La culture judéo-chrétienne cultive notre sentiment de culpabilité et condamne par la même l’amour de la vie en nous incitant à racheter notre faute en expiant par la souffrance le mal dont toute l’humanité porte le poids.
    Le deuxième sens , évoqué au cours du débat, est en rapport avec la dispararition de Dieu dans notre culture, non pas qu’il ait complètement disparu mais nous dit N. il ne structure plus la totalité de notre existence . Il s’inscrit désormais dans la sphère privé. Cette deuxième mort nous dit N. ,met l’homme face au néant. C’est ce qu’il nomme le désenchantement du monde
    L’absence de tout sens divin, d’absolu, de toute transcendance déboussole l’être humain habitué à une certaine conception, une certaine vision du monde. Tout n’est qu’absurdité, vanité et poursuite du vent comme dirait je ne sais plus quel poète.
    Pourtant , la mort de Dieu est une bonne nouvelle nous dit N.. La vie n’a pas besoin de justifications métaphysiques , l’’être vaut mieux que le néant . La vie est justifiée parce qu’elle est quelque chose plutôt que rien.
    Les forces sont partout dans la nature. Il y a celles qui nous poussent à Vivre pleinement et celles qui restreignent notre force vitale. Soyons créatifs nous dit Nietzche « faire de sa vie une œuvre d’art » , C’est tenter de donner du sens à une existence dépouillée de tout sentiment de culpabilité, de toute entrave mortifère, tenter d’ y apporter le plus grand soin. La force vitale créatrice contre la maladie, la volonté de puissance contre l’immobilisme frileux.
    La culture occidentale faite d’inhibition s’oppose à la vie à bien des égards nous dit N..
    Elle est considérée comme un grand corps malade souffrant d’ une maladie incurable
    Platonisme et christianisme affirme N. sont l’expression de l’anti-vie, du ressentiment de ce qu’il nomme  » nihislime ».
    Les hallucinés des arrières mondes tuent la vie pour un au-delà chimérique
    Le ressentiment, l’esprit de vengeance, la méchanceté que produit l’impuissance
    sont selon lui, au cœur des croyances des faibles de ceux qui n’ont pas le courage de vivre. Avec lui, toute la morale occidentale se fissure et d’une certaine manière s’est effondrée.
    Il enseigne l’amour de la terre, l’innocence de la vie contre le péché originel. Il qualifie son nihilisme d’ héroïque. C’est en quelque sorte un prêche pour la vie, pour atteindre ce sentiment dionysiaque de la vie. Pour ce faire, il faut accepter l’immanence de l’être et regarder le nouvel horizon sereinement ,ce qu’il nomme « l’aurore ».
    L’ancien Dieu est mort , nous lui avons substitué une autre idôle  » la croyance au bonheur dans le progrès » et aujourd’hui une autre idôle :  » le veau d’or » s’effondre dans un fracas assourdissant . Des millions d’hommes commencent à se faire entendre de manière violente à travers le monde.
    L’ancien Dieu est mort et nous nous sentons illuminés comme par une nouvelle aurore. c’est l’enseignement de N. Même si l’horizon n’est pas clair, de nouveau il semble libre !!! Les hommes ne cherchent plus à se consoler de leur misère en créant des valeurs mortifères celles d’une vie de naufragés. Par delà les frontières et dans l’enceinte même de nos cités, les révoltés, les insurgés, les indignés disent « oui’ à la vie.
    C’est la fin d’un monde !!!
    « L’homme est une corde tendue entre la bête et le surhomme » nous dit N. C’est peut être les prémices d’une aurore boréale, celle d’ une nouvelle morale « positive » du dépassement, d’une volonté plus grande d’atteindre ce que kant nomme  » le souverain bien » à l’opposé du contentement de soi, du laisser aller et de la somnolence comme dirait N. , à laquelle on nous a habitués.

    9th août 2011 at 16 h 49 min

  3. Grün, says:

    L’immaturité de ce débat (à moins que ne soit le compte-rendu: Aucune rédaction ni développement.est navrante). Les conclusions sont plaqués comme si elle étaient évidentes : « Il faut quand même rappeler que c’est l’Homme qui a « inventé » Dieu et que l’Homme fait intervenir Dieu lorsque cela l’arrange ! » S’il faut le « rappeler », cela signifie que c’est là une vérité établie et non un questionnement.
    Et encore ceci: « Nous ne pouvons pas toujours agir et changer les choses dans notre monde, nous nous servons alors de Dieu : nous l’utilisons comme prétexte ».
    Ne croyez-vous pas que ces formulations dignes d’un athéisme de collégien, méritaient un peu plus de nuance, ne serais-ce par respect à toutes les personnes croyantes qui sont loin d’être une minorité infime? Quid de celui qui se pose de vraies questions sur Dieu? Sur la transcendance?
    Ajouter après que « la question de Dieu est toujours un mystère et la question : Dieu est-il mort ? reste ouverte » n’est que décoratif. Tout comme terminer en affirmant « j’ai trouvé que ce débat était vraiment intéressant », ne fait ni du débat ni du compte-rendu quelque chose d’intéressant.
    Sans l’intention de décourager Nicolas Ségarra, mais faites-lire ce compte-rendu par le moindre prof (même pas de philo!) qu’il s’arracherait les cheveux.
    Finalement, ce qui ressort on est loin d’un café-philo et on peut craindre que de vrais questionnements philosophiques ne reviennent jamais habiter ce lieu. Comme quoi, la question de la légitimité joue aussi sur ce qui se fait dans un lieu.
    C’est désolant!

    9th août 2011 at 15 h 46 min

  4. Nicolas says:

    Ah, Agnès-Urbaine-Grün!!! Alors, comme ça, mon compte-rendu ne vous plaît pas? Remarquez, ce n’est pas étonnant, vous n’êtiez pas présente au débat, dommage, car sans doute, vous auriez certainement su, par vos interventions remarquables, élever le débat… qui vous semble avoir été si bas!…

    Je serais ravi de lire un éventuel compte-rendu que vous pourriez éventuellement faire, peut-être, un jour, sait-on jamais…

    Eh bien, en tout cas, je vous souhaite de très bonnes vacances très philosophiques!!!

    Nicolas.

    9th août 2011 at 19 h 51 min

  5. nadia says:

    Personne ne prétend détenir la vérité. C’est ce qui fait la richesse de ces débats. Quant à ces considérations « pontifiantes » et le mot est tout à fait approprié, elles me semblent être l’expression d’un parti pris mais peut être que je me trompe. Faites avancer le débat par vos réflexions, c’est tout l’intérêt de ce site et ‘éviter de porter des jugements de valeur . Ca n’intéresse personne et surtout ça ne fait pas avancer le « chmilblik » . Par ailleurs, quand on prétend croire en Dieu, il faut esayer de mettre en application certains de ses principes : Tu ne jugeras point ton prochain etc… Quant à Nicolas, il est comme la plupart d’entre nous un « apprentis philosophe » et je le remercie de faire ce travail très difficile. Amitiés à tous.

    9th août 2011 at 10 h 31 min

  6. Elke Mallem says:

    Grün, puisque les formulations de Nicolas mériteraient des nuances, pourquoi vous ne vous y mettez pas pour en donner? Quelles sont donc ces « vraies » questions sur Dieu? Quelles sont les critères d’une « vraie » question? Pour moi, une question sert justement d’aller vers un peu plus de connaissance, mais aussi vers plus de conscience, elle balise le chemin qui va vers le « vrai ». Immature, le débat? Je ne suis pas de cet avis. Je pense que chacun a pu trouver de nouvelles pistes de réflexion concernant le besoin de spiritualité de l’homme. Nicolas en rapporte quelques aspects, Nadia Salah en reprends d’autre. J’étais ravie de trouver ces textes. Moi, dans la suite de la discussion du dimanche, je me suis par exemple posé la question sur le lien entre mort et l’absence de dialogue. Tuer dieu, ce serait renoncer au dialogue avec « Dieu »; ne rien demander, ne rien espérer. Ce qui renvoie évidemment à la question sans réponse de l’existence de « Dieu » dont on ne peut logiquement prouver ni l’existence ni l’absence. Il était intéressant de se pencher sur le besoin de transcendance de toute société, et de réaliser comment notre société s’est dépéchée d’ériger de nouveaux Dieux, le veau d’or « argent » par exemple, toute sorte d’intégrismes (scientisme, pouvoir médicale, fanatisme religieux….) qui prétendent d’avoir trouvé la voie, l’unique voie. Une fois la mort de Dieu constatée, est-ce que le monde s’en trouve amélioré? Et sinon, pourquoi pas? Parce que… Grün a surement des réponses?

    9th août 2011 at 19 h 50 min

  7. dural says:

    Bonjour

    L’homme a t-il inventé Dieu ?

    Il n’existe qu’une seule réflexion qui s’appelle raisonnement pour donner raison car unique à retrouver les véritables causes vis à vis des effets ( deviner le passé ), anticiper les effets de part les causes ( prédire l’avenir ), permettre une perception réelle de soi et des autres sur le moment ( conscience de soi et empathie ), apporter une attitude normale par ses morales ( humanisme ) et accéder au savoir ( la science ).

    Ce raisonnement s’appelle la logique. Elle est unique invariable cyclique universelle et éternelle pour être l’induction qui administre l’univers depuis son existence. Si vous voulez savoir comment tout fonctionne dans l’univers, uniquement la logique vous apportera les réponses.

    La logique ne dépend que d’une conscience de soi puisque détenir la science sur quelque chose est détenir la vérité sur cette chose. Le mot science est synonyme de vérité. Dans conscience de soi il signifie la vision réelle de soi et dans inconscience le refoulement de cette dernière pour être remplacée par des versions préférentielles, telles que je suis le plus beau le plus fort etc, mythomanie ou pensée occulte pour occulter la vérité.

    La logique porta plusieurs noms dans l’histoire depuis sa révélation dans la psyché humaine.

    Pouvoir de magie :
    Pouvoir par contraction de la formule  » pour voir la vérité  » et magie qui signifiait la remise des choses dans l’ordre. La logique étant le seul raisonnement qui permet de voir la vérité et la rétablir. Si les personnes avant qui détenaient la magie étaient appelés mages aujourd’hui on les appelle les « magie strats ». C’est pour cela qu’il faut obligatoirement un diplôme de psyché logique, psychologie, pour exercer ce métier.
    Le pouvoir était donc un raisonnement qu’il fallait obtenir pour être éligible et non des droits que l’on obtenait suite à une élection.

    Voyance :
    La logique étant le seul raisonnement qui permet de voir la vérité, aussi bien sur la passé avenir que le présent elle était appelée la voyance vis à vis de la formule  » voir la vérité. Toute autre personne ne pouvant la déceler était appelée croyant pour ne savoir que croire et affirmer sans preuve, égocentrisme.

    Lumière :
    La logique étant le seul raisonnement qui permet de voir la vérité, il était appelé lumière pour éclairer les esprits et montrer la bonne route à suivre et donner un titre de guide à celui qui réussissait à l’obtenir.

    Immortalité :
    Tout peut changer dans l’univers que le mécanisme qui entraîne tout cela ne variera jamais. La logique est bien la seule chose dans l’univers qui est éternelle pour l’administrer. Atteindre donc l’immortalité n’était pas une faculté de ne plus expirer mais l’obtention de la seule chose dans l’univers qui ne peut pas s’éteindre, la logique.

    L’absolue :
    Comme la logique administre l’univers, elle est à l’origine de toutes les créations et rassemble toutes les vérités. Une omniscience qu’aucun humain ne pourrait détenir à lui-seul, fut-il le meilleur logique, pour ne pouvoir obtenir que la logique suprême sans jamais égaler l’absolue.

    Oeil qui voit tout :
    La vision d’une personne logique est la seule qui en plus de voir la vérité sur le présent permet aussi de déceler l’invisible, le passé avenir et pensée d’autrui ( empathie ). L’oeil qui voit tout en haut de la pyramide signifiait donc la logique comme seule référence pour tous pour vivre en communauté.

    Pensée spirituelle ;
    Comme la logique est unique, si tout le monde parvenait à l’obtenir tous se mettraient à voir les choses de même manière et donc plus aucune excuse à se disputer. La logique est donc le seul raisonnement qui peut remettre tout le monde d’accord et ainsi arrêter les guerres pour que la paix reviennent sur Terre. Si Dieu est la représentation de toutes les vérités, l’absolue, alors uniquement la logique suprême pourrait s’en approcher le plus. Un messager de Dieu sur Terre est une personne logique car les voix de Dieu, les vérités, sont impénétrables aux communs des mortels pour être alogiques.

    Donner le nom de Dieu à la logique absolue permet de comprendre la religion.
    Tout le monde nait avec une réflexion alogique qui ne répond qu’aux peurs, l’égocentrisme. Aucune qualité n’est innée pour n’être que des corrections de carences naturelles. Des défauts que seule la peur entraîne.
    Lâcheté : Peur de se retrouver léser si on intervenait pour préférer prendre la fuite.
    Egoïsme : Peur de se retrouver avec moins si on partageait pour préférer tout garder pour soi.
    Jalousie : Peur de perdre ou de ne pas espérer la même chose que l’autre sinon mieux.
    Mais la peur est aussi la source de l’agressivité, la folie et des maladies mentales ( paranoïa ou autres ).
    Une peur qui nous pousse à refouler la vérité, inconscience, et donc empêcher que l’on accède au savoir et encore moins à l’absolue, Dieu.

    La foi était le courage de faire face à ses peurs, démons comme ils étaient appelés auparavant, afin de retrouver une conscience de soi et ainsi avoir l’esprit qui s’illumine pour nous guider le bon chemin.

    Finalement Dieu était le nom donné à l’absolue, l’induction éternelle unique invariable cyclique et universelle qui administre l’univers et qui est à l’origine de toute création. Dieu est donc le créateur aussi de notre espèce. C’est la logique qui a créé l’homme et non l’homme qui a inventé la logique. Tout le monde détient cette logique en soi car elle dépend de la conscience de soi mais très peu savent la faire revenir en avant car cela demande une foi importante, le courage de s’admettre avec tous ces défauts avant de s’amender de ceux-ci pour ne plus se comporter vis à vis de ces instincts naturels afin de ne plus avoir peur de se voir et ainsi devenir logique pour voir la vérité.

    Cordialement

    9th août 2011 at 17 h 23 min

  8. Elke says:

    « Je suis la voie », mots rapportée dans l’Évangile et attribués à Jésus. Promue également par Bouddha, la « voie » est un concept aussi impénétrable que « Dieu ». Synonyme? « Dieu est mort » pourrait alors signifier: nous sommes dans une impasse. Des voix s’élèvent dans les voies sans issus …. Certaines voix sont entendues. Par qui? Celui qui se donne la peine de les entendre. Et qu’est-ce qu’on fait de ce qu’elles disent? On le transmet à nos supérieurs hiérarchiques qui ont le pouvoir de nous dire ce qu’on est en droit de faire. « Ils » nous donnent le droit et le devoir de faire l’impossible sans se donner la peine de comprendre ce qu’on lui dit.
    Dieu est mort? Non, l’humain est sourd….

    9th août 2011 at 8 h 34 min

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