Le débat du 4 octobre 2015 : « Que faut-il connaître d’un sujet pour pouvoir en parler ? », animé par Philemon Marcou.

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Posted on 30th septembre 2015 by Gunter in Uncategorized

Débat du 27 Septembre 2015: « Que faut-il ‘avoir’ pour ‘être’? », animé par Daniel Ramirez.

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Posted on 29th septembre 2015 by Carlos in Uncategorized

Il ne suffit pas à la Terre de tourner et, si elle tourne, il vaudrait mieux qu’elle tourne en rond, ce qui ne semble pas être le cas, lorsque l’on apprend ce qui se passe en Arabie Saoudite, par exemple (où un jeune homme de 21 ans fut condamné à la Décapitation et Crucifixion), et 715 autres personnes sont décédées au cours d’une bousculade à la Mecque, pendant que, par ailleurs, le Pape François Ier se déplaçait à Cuba et aux USA, au Café des Phares®, comme chaque Dimanche, avait lieu le Débat du 27 Septembre 2015 : « Que faut-il ‘avoir’ pour ‘être’», animé, ce jour là, par Daniel Ramirez.

Que faut-il « avoir » pour « être » ? Avoir des Biens ? Une situation prestigieuse ? Une famille prospère, et l’on se sentirait épanoui ?

Pourquoi pas, « Que faut-il être, pour avoir ? » En effet, pour mourir, dit-on dans mon Pays, il suffit d’être vivant! Puis, regardant de près, on constate que « Avoir » est un verbe transitif, exprimant « l’état de ‘posséder’, ‘obtenir’ ou de ‘sentir’ », tandis qu’« Être » est un verbe intransitif signifiant ‘exister’, tout simplement, et renvoie, logiquement, à la  préservation, ontologique, d’un individu, voire même, d’une âme, … une conscience !!! « To be or not to be, that’s the question! » (« Être ou ne pas Être, voilà la question ! »), se demandait Hamlet dans l’écrit de Shakespeare, interrogation qui parait se présenter comme la seule interrogation existentielle, digne de se poser! Alors ? A quoi bon ce petit ajout, cette illusion, cette angoisse du fait qu’il nous manquerait quelque chose d’autre, un petit « Avoir », si l’on voulait exister vraiment ? On n’allait pas s’en sortir sans se « salir les mains »  ! « Etre-pour-soi » ! « Etre-en-soi » ! « Etre pour autrui » ! On avait le choix, et c’est ainsi que c’est parti comme en « quatorze » ! Les uns pensaient que « le sujet était mal formulé, et devrait se présenter inversement: « Que faut-il ‘être’ pour ‘avoir’ ? », ou citant Jacques Séguéla « si à 50 ans tu n’as pas une Rolex en or, tu as raté ta vie »,  d’autres se demandaient « s’il y avait une primauté de l’être », « ‘avoir’ ou pas, je suis, quand même », « il y a des langues qui méconnaissent ‘l’être’ et ‘l’avoir’ », « façon d’affirmer sa singularité », « sans une langue on ne peut pas communiquer », « je pense que l’on ne va pas s’en sortir », « ça sonne bizarrement ces deux verbes auxiliaires, ensemble », « de l’œuf et de la poule, lequel est le premier », « sujet passionnant ; je suis un programme, une cellule vivante, une centrale d’énergie », puis, quelqu’un a « cité Saint-Thomas-e d’Aquin », et ainsi de suite, jusqu’à ce que la parole fut donné à Gilles, qui déclama ses vers : « Être/ Exister/ Idée fixe / Substance/ Conscience/ Connaissance… / Je suis celui qui suis…. », et  le Public désemplit la Salle…

- Chef, Chef ! Il y a eu un vol ! On a volé deux mille cartouches de cigarettes au  Supermarché !

- E vous avez des soupçons ?

- Pour l’instant, on cherche un lapin qui tousse !

Carlos

Le débat du 20 septembre 2015 : « Peut-on penser seul ou à plusieurs ? », animé par Alain Gorian.

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Posted on 23rd septembre 2015 by Gunter in Uncategorized

Alors qu’une grave crise idéologique, de Fond, ébranlait le Parti Ecologique, tenté par le « gauchisme », les Citoyens, eux, se sentant menacés, et désarmés, par la nouvelle Stratégie politique du FN, une fois que les forces Socialistes semblent accuser, elles mêmes, un glissement idéologique vers le Centre, devant les problèmes d’immigration, des calamiteux feux de forêt essaiment les USA, où le Pape se rendra en visite, ainsi que à Cuba, les pays européens se referment sur eux-mêmes, tandis que le Pape se rendra en visite à Cuba ainsi qu’aux USA, où d’impressionnants feux de forêt font ravage. Pourtant, sans surprise, comme chaque Dimanche, le Peuple philosophe, s’est réuni, au Café des Phares ®, afin de prendre part au Débat, animé, le 20 Septembre 2015, par Alain GLORIAN, et dont le Sujet fut « Peut-on penser seul ou à plusieurs ? » !

Les deux, mon Capitaine ! Inspiré, parait-il, par un Magazine littéraire, et un voyage au Portugal, le fait est que, Penser est « une activité psychique, qui a pour but la connaissance », et notre pratique hebdomadaire nous laisse croire, que cette réflexion, portée sur un Sujet bien précis, choisi sur place, parmi une dizaine d’autres librement proposés, peut exercer, certes, seul ou de concert, une fascination intellectuelle assez gratifiante pour l’esprit badin et entrain aux échanges posés, raisonnables, consciencieux. Mais, puisque le but de notre déplacement dominical est de se délasser du quotidien morose partageant, de concert, une Réponse, fut-elle de Normand, tous les participants se sont sentis interpellés, avec plus ou moins de rigueur, pertinence ou d’éclat, c’est cela qui s’est produit, encore une fois, les uns prétendant qu’il « faut distinguer ‘solitude’ et ‘solitaire’ », ainsi que « ce qui fait partie du langage de ce qui est de la pensée », « entre ‘seul’ et ‘ensemble’ ; garder le contacte avec les autres », tandis que des voix considéraient « le sujet stupide, puisque ‘si je pense, je suis’, tout dépendant, donc, de la personne qui pense». Des uns opinaient que « Descartes s’est assujetti au ‘doute’», d’autres répétaient que « Je pense, donc, j’existe », ou « que l’Homme excède l’Univers », d’autres, encore « qu’il faut se préoccuper du Monde », « de la Guerre d’ l’Irak », « faire le voyage à Saint Jacques de Compostelle », tandis que des voix se levaient pour appeler à la Cohérence et à la Logique », ou opinant même que « que l’on doit penser avec son prochain », voire, que « l’ ‘on ne pense pas’, on ‘cogite’ », sans mentionner ceux qui s’embarquent dans des tirades océaniques, même à contre courant…<

Pour en finir, Gilles mit tout en rimes libres, « … penser, peser, imaginer, méditer, réfléchir… dans la distanciation, articulation… du ‘Je’ au ‘nous’, à ‘genoux’, etc. … »

- Mes voisins du cinquième ont tapé du pied, hier soir, pendant une demi-heure !!!

- … et ils vous ont réveillé !?
Carlos

Débat du 13 Septembre 2015: « Peut-on peindre un lever de chapeaux, sans peindre la politesse? » animé par Gunter Gorhan.

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Posted on 14th septembre 2015 by Carlos in Uncategorized

La semaine précédant la réunion dominicale des amants de la Philosophie, fut essaimée d’événements politiques et sociaux assez étonnants, tels l’Exode des populations qui fuient les groupes terroristes, comme le Daesch, en Syrie, ou la violence de leur propre Pays, ce qui, d’un côté a mobilisé l’appareil d’Etat Français, de l’autre l’accroissement de l’opposition Lepéniste, contraire à de telles bienveillances. Du côte du Café des Phares®, comme chaque semaine, le peuple philosophe s’est groupé, le 13 Septembre 2015, ce jour là, autour de l’animateur, Gunter Goran qui, parmi les sujets proposés a choisi pour ce débat le thème : « Peut-on peindre un lever de chapeaux, sans peindre la Politesse ? », afin d’en retirer la substantifique moelle !

Si j’ai bien compris, telle était la question! C’est-à-dire, une interrogation-rébus, inspirée certainement par la Peinture, plus précisément, le tableau de Courbet, intitulé « Bonjour Monsieur Courbet », un simple Auto-Portrait, commis par l’artiste en 1854, chapeau en main, dont l’intention n’était pas d’exprimer la « Politesse », en soi, mais, facétieusement, un Comportement, une Bienséance, une Courtoisie d’un citoyen envers son prochain, en l’occurrence, lui-même, dans un « Jeu de rôle », moqueur…

Or, « La Politesse », consiste dans la soumission à un ensemble de règles qui régissent le comportement et le langage, considérés de mise dans une Société policée, c’est-à-dire, une Bienséance, Civilité ou Courtoisie à respecter devant des gens que l’on considère comme dignes de déférence, le « Bonjour », de Monsieur Courbet à Monsieur Courbet », représentant, effectivement, un acte de déférence, exprimé dans la Toile, par le geste d’ôter son couvre-chef, mais point la POLITESSE incrédule, comme « on ne peut croire, observant un vol d’hirondelles, que l’Automne vient d’arriver », tel que, bien inspiré, le chante Jean Ferrat !

Rongeant son chapeau, le Public Philosophe a exprimé ses sentiments par rapport à la problématique, « considérant la Politesse, comme positive, et son absence, négative ! », quelqu’un ajoutant, à propos du mot ‘Café’, qu’il peut éveiller plusieurs idées, et l’on devrait s’évertuer à les comprendre », que « notr’écriture, alphabétique ne faisait pas de différence entre le mot et la chose », et « précisant que le Sujet peut ‘représenter’, sans ‘désigner’ ». Quelqu’un scinda la question en trois, c’est-à-dire, le « ‘Signifié’, (chien imaginé), la ‘Représentation’, (le chien en chair et en os), puis le ‘Rapport’ entre le chien ‘idéal’ et sa ‘réalité’! », ensuite, quelqu’un d’Autre scinda « le geste en ‘chapeau bas’/’Politesse’ et ‘chapeau haut’/Respect ! », ou encore, un « aspect érotique » y fut trouvé, par d’aucuns. Plusieurs interprétations se sont révélées possibles, « selon les génies de Magritte, Picasso, ou l’opinion de Badiou (?) », voire, « sa propre façon de se ‘Désorienter’ », «  le sens des ‘Courbettes’ des Chinois », « l’Engagement de chacun », même « de celui qui peint », « des Clés que l’on a pour interpréter », « les Enjeux de l’Art », « la ‘dissémination’ du Sens », etc., etc…..

Gilles  ayant mis un terme à la disputation, portant… « sur l’Art, notre regard, sur la Polisse, notre sagesse ! Chapeau ! Apprentissage du Langage… Mot et Chose… OSE ! »… La Séance fut, enfin, levée !!!!!

La salle désemplit, et l’on a poursuit, dehors, le peaufinage des Concepts, tant que la pluie fine l’a permis, et d’autres compromis appelaient chacun à ses devoirs !

Un enfant va voir sa maman, et lui dit:

- Est-c’k’je peux avoir du Chocolat ?

- Comment demande-t-on, lui réplique sa mère.

- S’il en rest’encore !!!!!

Carlos

Débat du 6 septembre 2015: « Sens et Valeur du Silence », animé par Gérard Tissier.

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Posted on 9th septembre 2015 by Carlos in Uncategorized

Alors que la Rentrée des Classes occupait Tous les Esprits, la mort d’un Enfant, réfugié Syrien, noyé sur une plage de Tanger, rouvrait la Controverse sur l’Emigration, invitant l’Union Européenne à changer de Cap dans sa Politique portant sur ce Sujet, le Président François Hollande, s’étant parfaitement exprimé à propos de cette problématique. Quant aux férus de la philo, le 6 septembre 2015, ils se sont trouvés au Café des Phares®, afin d’assister et participer au Débat hebdomadaire portant sur le thème : « Sens et Valeur du Silence ! », animé par Gérard Tissier.

La sage Sentence, « Le Silence est d’or, la Parole est de l’argent ! » est bien connue de tous et, le Titre de la Conférence paraissait intéressant. Quoiqu’en faire ressortir les raisons, s’avérait être un exercice bien moins aisé. Nous étions, donc, servis, et il ne nous restait qu’à remplir les cases vides pour établir les différences, même si, parfois, « mieux vaut se taire, que de parler ».

Alors ? Si « Se Taire », équivalant à l’esquive du Débat, se voit attribuer une valeur matérielle aussi précieuse, l’OR !, pourquoi nous obstinions nous à « Parler », une attitude assez osée, voire, douteuse, pour un prix aussi dérisoire que l’Argent ? C’est ce que l’on a, pourtant, choisi de faire, comme souvent, parfois à coups d’épée dans l’eau, quoique,  se Taire ait son impact, en Musique, son « Etendue »…se trouvant scrupuleusement établie sur la Portée, nuancée même en « pauses », « soupirs », et fractions des mêmes, par dixièmes…

Dans la Salle, on a entendu dire « qu’il y avait plusieurs interprétations à envisager », vu qu’« il s’agissait d’un Paradoxe, puisque c’est avec des mots que l’on s’exprime et communique, le Mot interrompant donc le Silence », le vulgaire ‘fait divers’ émergeant immédiatement, dans la figure du « Fils qui accuse sont père d’avoir abusé de lui ! »§, ou, « c’est le ‘Mot ‘ qu’interrompt le ‘Silence’ », l’animateur invitant à parler, soit du ‘Sens’, soit du ‘Silence !

C’est ainsi que l’on a entendu des « vertes et des mûres » et, pour finir, la parole fût niée à Gilles, parce’qu’il prendrait 3 minutes du Temps, qui passera à être réservé au recueillement devant la dépouille à ensevelir !

Proverbe chinois :

« Si les princes savaient parler,

Les femmes se taire,

Les courtisans dire ce qu’ils pensent,

Et les domestiques le cacher,

Tout l’univers serait en Paix !

Carlos