Le débat du 25 octobre 2015 : »Une âme cultivée est une âme où le vacarme des vivants n’étouffe pas la musique des mots » (Alain Finkielkraut), animé par Nadia Guemidi.

4 comments

Posted on 21st octobre 2015 by Gunter in Uncategorized

4 Comments
  1. Gilles Roca says:

    Une’ Âme cultivée est’ une’ Âme’ où Le Vacarme des Vivants​​​​____
    n’étouffe pas La musique des morts,​Alain Finkielkraut’,​Nadia,​​Aux Phares,

    * Âme’… air, Souffle … de Vie, Esprit … siège … de La pensée, principe … du Vivant,
    des Vivants’ et des morts, qui Anime … La Vie, exprime … La pensée, des Vivants’
    et des morts … Âme’… erre’, Au Vent … Et – Au – Lien … des Vivants’ et morts …
    * Vaque’… arme … des Vivants,
    bruit, fureur, Vanité d’un Führer’, qui étouffe La musique … des morts,
    Âme’- mer’… morte’, Amère’… morte, non ! Vie – Vente … La musique … des morts !
    Non … Âme … cultivée . Mais’… Âme’… À cultiver, des Vivants’ et des morts,
    Au jardin … des Vivants,
    * La musique des morts … des Vivants,
    L’harmonique, de nature’ en culture, harmonie, des Vivants’ et des morts,
    La Vie … complexité, fonctions Vitales, Articulées’, essence …
    privilège, de L’homme … démêlé, ouvrant sur La Liberté, La moralité … est – sens’,
    Âme’ et corps, du / des – corps … Âme … de soi, Âme … d’Autrui,
    Âme … du monde’, en soi, qui … Au plus profond de L’homme … son’ être … bruit,
    « comme’- un … bruissement d’Ailes »,
    Aragon, des Vivants’ et des morts, nos radicales’… Ailes,
    « Mort, où est ta Victoire’?! » Au passé, des Vivants,
    souvent, des morts – Vivants,
    Vivent, en reflet, en miroir … réflexion, Les morts, dans notre’ Histoire’,
    et plus Vivants, souvent, que nos, Vivantes’, histoires, …
    nostalgie … nostalgie … « La nostalgie n’est plus ce qu’elle’ était »,
    Simone Signoret, Silence’, À écouter …
    respiration, inspiration, Aspiration, expiration … n’étouffe … pas La musique … des morts, Le Vent du Souffle … de L’Esprit, Le Viatique … L’union, Le Lien, des Vivants’ et des morts, qui Aère … notre’ Âme’, intime’, universelle … La Libère, Les morts sont nos racines,
    racines … de nos’ Ailes, Vivantes … nos racines,
    souvent mortes … nos’ Ailes, « mon’ Âme’ est La mer’ Morte, qu’Aucun’ oiseau ne peut … survoler » … Kierkegaard’, non ! La Sublime Porte’, En – Vie – Vent … d’eau, de feu … Sous – Le – Vent … La Vie, Maurice’ Clavel, Sauvegarde … du Levant,
    Le creuset … du Vivant,
    en’ Avant La musique … « fidèle … rebelle » …
    « belle’ et rebelle » … Jean Cardonnel,
    J C, de nos morts, notre’ éthique !, d’énergie … de nos morts …
    L’âme’- agit … et nous mord …
    mort – sûre …
    nous pressure,​​​​​​​​serviteur … Avocat,
    ​​​​​​​​​​Gilles Roca,

    Cas-fée – File’- eau … des ( nés – nus – ) Phares, 25-10-2015’, en ces – jours de Brumaire’,
    en musique … des Phares, morts … Vivants’… en brume’… errent,​changement d’ère,​​​​​​​​​​​​G R

    21st octobre 2015 at 22 h 03 min

  2. Sophie Lebrun says:

    Le débats du 25 octobre 2015 au Café Philo des Phares sur la citation: ¨ Une Âme cultivée est une Âme où le vacarme des vivants n’étouffe pas la musique des morts ¨
    Quelle joli citation, très poétique, mais qui est l’auteur ? La quête (to look for ) de l’auteur de cette citation… on pense à Alain Finkielkraut, la seule exactitude à propos la citation , on pense aussi à Nicolas Gomez Dâvila écrivain colombien, j’aime cette idée. Dans l’attente de réponse, voilà une question…

    21st octobre 2015 at 20 h 28 min

  3. Sophie Lebrun says:

    Submergé par les bruits, on écoute la musique des morts, la musique du passé…

    21st octobre 2015 at 21 h 39 min

  4. Gérard Tissier says:

    il s’agit bien de Nicolás Gómez Dávila ( google suffit pour le savoir )

    « Il est de ces rares auteurs qui tiennent leur lecteur en assez haute estime pour ne lui offrir que le meilleur d’eux-mêmes. Le véritable titre de ces formes brèves, qui ne sont ni des aphorismes, ni des sentences, rassemblées sous le titre Les Horreurs de la Démocratie on y trouve des « , Scolies pour un texte implicite « . Ces « scolies » ont pour règle de ne laisser apercevoir de la pensée que la fine pointe et pour vertu, la générosité de supposer au lecteur l’intelligence et l’art de déployer, à partir de ces fines pointes, un texte qui est à la fois absent et présent, implicite, c’est-à-dire donné, sans être pour autant révélé »

    Pour être de ceux qui critiquent le choix des sujets qui se ramène trop souvent à des « inducteurs
    . » non d’écriture comme dans les ateliers d’écriture, mais des inducteurs de prise de paroles.

    De ce pont de vue la « scolie » proposée comme sujet est un idéal-type. Jolie et inspirante.il parait que ce fut un bon « débat ?? » Surement car l’imaginaire poétique y est plus sollicité que l’esprit discursif.
    Que fallait- il découvrir en tant qu’âme cultivée si tant est que l’on puisse en revendiquer l’essence ?
    La nature et le contenu du « vacarme des vivants » – auquel participe nécessairement un café philo en tant qu’il fait beaucoup de bruit pour rien ? La musique des mots est elle entendue seulement par l’homme cultivé car il se serait libéré de l’utilitarisme fonctionnaliste auquel on veut réduire le langage ?

    Dans ce jeu d’une herméneutique dominicale médiatisée par un micro circulant entre les tables personne ne peut avoir raison contre tous.car personne ne peut avoir eu tort de dire ce qu’il entend, lui.

    N’est ce pas au fond le but recherché ?

    21st octobre 2015 at 12 h 53 min

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