Le débat du 14 juin 2015, animé par Alain Glorian: « La politique est-elle digne de l’esprit ? »

2 comments

Posted on 10th juin 2015 by Gunter in Uncategorized

2 Comments
  1. Gilles ROCA says:

    « La politique’ est’- elle’ une’ Activité digne de L’esprit », Alain Glorian, Aux Phares,

    de Régis’ Debray, À propos de Julien Gracq, célébré(e), élégiaque, – La politique,
    L’Art de gouverner La Cité, de diriger L’État, Le pouvoir politique’,
    et / ou L’Art des politiciens dans La Cité, – Le politique,
    L’ensemble du domaine des’ institutions, un savoir théorique’, et / ou un’ Art pratique …
    de prise’ et de conservation du pouvoir, conception et construction, d’une politique …
    d’un’ idéal de justice’ et de raison, quotidien, horizon … Ah … pour voir …
    et / ou une’ utopie Active … dans L’Action politique …
    L’esprit … L’Activité, La Vie dans La Cité, de L’imagination,
    et de La création, et de L’invention, Voire …
    de L’innovation, pensée, et, exprimée, exercée, Animée, semée, et, moissonnée, engagée,
    et, menée, du pratiquant, du praticien, d’une … fin, Les … moyens, du corps, dégagés,
    et, de La tête … politique’ en fête’, un fondement’, et, une … Légitimité,
    un droit, et, un devoir, une … constitution,
    un contrat, dit social, entre … Les citoyens, Le peuple, non L’opinion, sa souveraineté,
    idée, Visée, Vision … du monde … L’Autre … soi,
    et, comme’- une’… éthique … de réalisation, et, d’humanisation, cristallisée, ma foi,
    - une … certaine’ idée, de Ladite … Cité, des Villes’… et des champs,
    - de La politique … Voire … du politique, des partisans … Le chant,
    - ou, du pouvoir, en soi, pérenne … Mythe’- errant … du pouvoir, pour quoi faire ?,
    de nos politiciens’… Au pouvoir, Aux’ Affaires,
    en sous – France’, impuissance,
    de Gaulle … Mendès’ France’,
    et France’- oie … Mythe’- errant …
    gavée … Au … Mythe’- errant,
    comment’ Arriver … se maintenir … Au pouvoir, comment revenir … Au pouvoir,
    Vous suivez mon regard …
    mais pour quoi faire ? … Bourdieu d’Bourdieu ! La politique’…
    un’ Art, du meilleur, et, du pire’, en nos Lignes … de mire’,
    ou, La dignité de La condition humaine … non À Asservir, par La politique …
    par Le politique … qui doit, non se servir, qui est Là, pour servir,
    La politique … ne devrait’ être … polis’… Au sens’… Au temps … des Grecs, que « Vérité, Justice, quoi qu’il doive’ en coûter », T C, exemplaire’ Activité, digne de L’esprit … politique … bien compris’,
    entendement, compréhension, politique de L’humanisation,
    une’ exemplaire politique, humaine’, éthique, de probité …
    Action !
    Serviteur … Avocat,
    Gilles Roca,

    Cas-fée- File’- haut … des ( née – nus – ) Phares, 14’- 6’- 2015’, en ces-jours de Prairial,
    politique, esprit … phare, plus’ ou moins convivial …
    changement d’ère,
    G R

    10th juin 2015 at 10 h 49 min

  2. pierre--yves says:

    Si l on pose que l esprit est activité pure, comme nous y a convié un participant, la question qui peut s’ensuivre conduirait à trancher si cette  »activité pure » est stérilité pure ou causalité pure, car si l’activité comme caractère de l’esprit portait en son sein les stigmates de la stérilité, cela invaliderait la question ayant fait débat, dans le sens où il faudrait argumenter qu’une telle activité soit digne d’éloges au point que sa valeur lui donnerait pouvoir, un pouvoir porteur de conséquences telles que la sanction d’indignité donc un pouvoir non stérile, et un pouvoir tel qu’il pourrait s’autoriser de juger que la politique, et donc son corollaire  »le » politique, soit frappé d’une insuffisance de valeur telle qu’aucun intérêt ne se déclare de nature à sortir de son immobilité décrétée pour l’occasion un esprit pourtant défini par son caractère d’activité.

    Par ailleurs, quel domaine d’activité serait par excellence le plus susceptible de séduire et passionner une personnalité qui se connaitrait la vocation de prendre des décisions, et disposer des moyens à les mettre en pratique, donc des décisions porteuses de conséquences, c’est à dire des décisions qui se révéleraient facteurs de causes dans la vie de tous les jours, car assurément que ses décisions soient condamnées au déni et de plus vouées à impuissance sous le seul motif que l’activité  »pure » stérile de l’esprit y convie, assurément donc cela ne peut séduire ni passionner une personnalite que quiconque s’accorderait à qualifier de saine.

    Ce n’est qu’une fois ces prémisses posées débattues et argumentées que le debat pourrait prendre corps. En effet, l’effet attendu, à savoir la finalité de l’action politique, sa finalité en tant que reconnue efficiente, est-il réductible à la dérisoire satisfaction d’un simple appétit de compensation narcissique, ou s’y ajoute-t-il une qualité de nature éthique, au pis-aller morale ? Et cette qualité décelée, alors l’esprit peut ou non s’en saisir dans une dimension de causalité attendue, non de stérilité figé. Ainsi, si philosopher n’est que divertissement, alors le philosophe, maître ou élève, n’est que, peu ou proue, la proie rêvée de ses propres mirages, et ses propres illusions, ce qui le gonfle d’importance… dans ses seuls rêves ! Tout comme le politicien qui céderait à l’obsédante tentation de se créer sa propre histoire. De ce fait, la question que je pose au début de mon commentaire se trouverait magiquement transformée en dilemme, et il deviendrait de facto inutile de débattre de la validité d’une réponse à cette question en regard de l’autre. En ce sens que je me fait l’avocat de l’opinion qui prétendait que tout divertissement est, sur le fond, aussi stérile que facteur de cause, ainsi cause-t-il le bien-être s’il répond à sa vocation première qui est de divertir -les jeux, à Rome-, et ne cause-t-il rien, à proprement parler, qui infère sur la gestion de la cité. Sauf bien entendu machiavélismes ou dérapages…

    Pour conclure en clin d’oeil, les hommes politiques de l’antiquite, que l’on appelait tyrans en Grèce, étaient en quête de sagesse dans l’exercice de leurs responsabilités, comme le révèle la réplique de Pythagore au tyran qui l’interpellait dans la cité.

    rei.vitae.filosATgmail.com

    10th juin 2015 at 16 h 11 min

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