Un projet pour le café philo des Phares.

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Posted on 25th juin 2011 by Gunter in Informations |Manisfestations - Abécédaire

Bonjour,

Voici quelques précisions sur la démarche initiée il y a quelques semaines :

  • L’objectif est de redévelopper un PROJET pour les Phares et de le mettre en œuvre.
  • La méthode de la phase initiale était certes autoritaire mais justifiée par l’urgence d’un arrêt programmé du débat, et par la difficulté à faire évoluer les choses rapidement dans le contexte actuel. Je n’ai pas vocation à garder cette posture autoritaire au-delà de la mise en œuvre effective de l’évolution, c’est-à-dire quelques mois. Je resterai néanmoins bien présent dans le nouveau dispositif.
  • Voici les étapes : la phase initiale laisse maintenant place à la phase d’élaboration du projet (principes et objectifs). Elle comprend notamment la consultation des animateurs historiques, des participants (en septembre), et d’animateurs ou d’observateurs extérieurs, invités, etc. Parallèlement, seront redéfinies les modalités (avec quels moyens, avec qui, etc.). Enfin nous mettrons en place la nouvelle gouvernance des phares. Je souhaite que nous réalisions ces étapes avant fin 2011.
  • En l’état actuel des consultations, voici les principes sur lesquels je travaille actuellement :

1 –  Renforcer la spécificité et les enjeux de participation à un tel café philo pour les participants : les phares comme lieu symbolique de l’engagement de chacun dans le débat philosophique, très différent de la philo-spectacle des plateaux télé ou de la philo-consommation des conférences-débat.

2 – Un lieu de rencontre pour les animateurs et intervenants de « philosophie dans la cité » : les Phares comme point historique et de référence sur les cafés philo

3 – Un lieu d’expérimentation de formules variées de débats (a la manière de tel ou tel animateur, disputatio, débat autour d’une œuvre d’art, etc.) : les Phares comme lieu vivant de la mise en œuvre des variations de la formule du café philo. C’est selon ce principe-là qu’intervient l’idée d’ouvrir plus le planning. Cette ouverture n’est pas une fin en soi, et nous verrons bien à l’usage combien d’animateurs sont capables d’incarner des formules intéressantes. De manière transitoire, Gunter et moi organisons ce planning.

4 – La capacité à attirer et à retenir des participants variés : les Phares comme débat pouvant s’adresser à tous (âge, milieu, etc.)

Je continue de rencontrer tous ceux qui ont des propositions à formuler et je suis donc à la disposition de chacun.

Bien cordialement,

Pascal Hardy

9 Comments
  1. Urbaine says:

    Ce n’est pas partir sur de très mauvaises bases que de commencer par une action dont la « phase initiale était certes autoritaire mais justifiée par l’urgence ». L’attitude autoritaire est toujours justifiée par quelque chose, souvent par l’urgence. Rien de plus éloigné de la philosophie qui a besoin d’un principe d’égalité pour vivre et aussi de l’esprit des cafés-philosophiques que nous avons toujours connu.
    Qu’est-ce que c’est cet « arrêt programmé des débats » ? Programmé par qui ? Et quelle est cette « nécessité de faire évoluer les choses ». C’était si mauvais ? Mais qui a fait le diagnostique ? Ca serait bien de le signaler, non ?
    Quand quelqu’un dit ne pas « avoir la vocation à garder la position autoritaire », pourquoi faudrait-il croire ? Avez-vous souvent vu que celui qui a un pouvoir qui n’est pas issu d’un accord (contrat social), mais d’une position de force, le laisse gentiment après « quelque mois » ?
    Heureusement la démocratie n’est pas obligée de compter sur la bonne volonté de ceux qui gouvernent pour qu’ils quittent le pouvoir une fois la « mission accomplie » ! Vive le quinquennat ! Mais même, là il s’agit de gens qu’on a élus. Peut-on savoir qui a élu M. Hardy ? Oui, nous le savons : les patrons du café.
    Toutes les bonnes paroles ne servent à rien lorsque les choses commencent d’une façon aussi viciée : Comment ça se fait qu’en dehors d’un intervenant parachuté par les patrons, un des anciens animateurs soit aussi dans le coup ? Les autres n’étaient pas les bienvenus ?
    Vous dites que vous aller organiser « la consultation des animateurs historiques, des participants (en septembre) ». Mais l’un d’entre eux a été bien consulté déjà, non ? Et quel était son diagnostique à lui ? Laissez-moi deviner : Il s’est trouvé bon lui-même et pas les autres ?
    Ou alors, s’il ne s’est pas trouvé meilleur lui-même, comment ça se fait qu’il accepte d’être au centre du dispositif ? Et les participants, étions-nous d’accord qu’il était meilleur que les autres ? Bizarre, je ne me souviens pas d’avoir voté…
    Vous aller aussi consulter « des observateurs extérieurs » ! Mais qui ? Vos amis ? Et qui nous garantie qu’ils vont dire autre chose que ce que vous leur avez demandé qu’ils disent?
    Cette consultation dont on parle, il aurait fallu commencer par ça, non?
    Vous voulez nous faire avaler qu’il ne s’agit pas d’une façon de gagner par un coup de force ce que vous n’avez pas gagné par vos qualités.
    Trop de choses contradictoires et contrefaites dans cette opération pour qu’on puisse parler d’un « projet ». C’est un trop joli nom pour une manœuvre.

    25th juin 2011 at 15 h 12 min

  2. Alicia says:

    L’autorité répond par l’autorité: c’est tautologique et méprisant, pour le moins.
    Des propositions variées? le café-philo comme lieu de distraction ou de divertissement? Ne serait-ce pas un peu contraire à la philosophie?
    Nous n’avons pas besoin de changer nos pratiques à mon sens. La qualité des débats et des animateurs suffisent et le désir d’innover un peu peut se passer d’exclure.Il n’y a que des mauvaises raisons mises au jour que le site des phares. L’esprit d’équipe aurait pu transcender les conflits de personnes et d’intérêts. Cela aurait été une belle leçon citoyenne et philosophique. On a le droit de rêver.
    Comment faire une proposition dans un tel contexte?

    25th juin 2011 at 11 h 33 min

  3. René says:

    Une charmante personne que j’ai vue cet après- midi et qui fréquente comme moi le café des phares ( et d’autres café-philo)
    m’a dit qu’elle avait déposé un commentaire ici dans la même veine que celui qui précède.Et son texte a disparu.Elle s’étonne et moi aussi.Car d’une chose l’une.Soit ce texte de Pascal Hardy est postérieur à une  » phase initiale autoritaire » et des réactions ouvrent normalement un débat soit ce n’est pas le cas :, on se trouve dans l’affichage d’une volonté.ET t alors on conçoit que le texte soit fermé aux commentaires négatifs. Mais le filtre appliqué selon ceci ou cela est des plus contestable et cela doit être su et assumé. Je perd mon temps ici sur ce site à participer aux échanges si de telles moeurs devaient perdurer…

    25th juin 2011 at 23 h 48 min

  4. Elke says:

    Pour certains, le café philo est un simple passe-temps. Dans le discours de Pascal Hardy, j’ai entendu une ambition plus profonde. Ce que j’en comprends: il s’agirait de formaliser cette ambition sous forme d’un projet.. Vu dans le mouvement plus globale des cafés philos, il s’agirait de passer de la préhistoire à l’histoire. Le mythe du fondateur n’est plus assez puissant pour donner consistance et pérennité au projet. Le nombre d’interprétations différentes concernant le projet lancé par Marc Sautet montre bien l’importance de se retrouver pour le redéfinir,. Peut-être s’agit-il tout simplement de le redire . Mais les paroles s’envolent, les écrits restent. C’est ce projet qui donnera cohésion au groupe des animateurs, va encadrer leur compétences grandissantes. Toute méthode proposé doit être évalué à l’aune du projet. C’est ce projet clairement énoncé qui fera pôle d’attraction pour le public des participants qu’on veut nombreux et diversifiés. Pour moi, c’est une démarche qui mérite notre soutien.

    25th juin 2011 at 7 h 28 min

  5. Alicia says:

    Non, Gérad ne m’a rien demandé. C’est moi qui ai cru par erreur que mon post avait été supprimé et qui m’en suis plainte avant de le voir bien en place sur le site.

    25th juin 2011 at 13 h 20 min

  6. Grün, says:

    Ce qui est terrible avec certaines personnes est qu’elle ne lisent pas ce qui est dit. Pourquoi participer alors? La perte de temps est là.
    Elke répète toujours le même chose sans répondre à la question de principe que j’ai posé et que beaucoup se posent: avec quelle légitimité?
    A moins qu’elle pense que si jamais c’est intelligent (ce qu’il faudrait sacrement prouver), c’est pas grave que ce soit illégitime, que si c’est efficace, c’est pas grave que ce soit contre l’éthique. C’est ça?
    « Le mythe du fondateur n’était plus assez puissant… »? Mais d’où cela sort-il?
    Croyez-vous un seule instant que nous venions (vous y comprise) au café-philo depuis des années pour entretenir un « mythe du fondateur »? C’est insultant et on voit très bien où ça va: à établir que les animateurs qui pendant des années on maintenu le café-philo, n’on rien apporté, puisque ça aurait été l’élan du fondateur que aurait fonctionné comme moteur.
    On a l’impression qu’Elke ne se rend pas compte de ce qui’elle écrit:
    Vous avez entendu une ambition plus profonde chez ce monsieur qu’un « simple passe-temps »? C’est très bienveillant de votre part. Mais vous croyez qu’il n’y a pas d’ambition plus profonde chez les animateurs qui pendant 15 ou 17 ans ont assuré la responsabilité du lieu? Qu’ils n’on pas de projet? Il viennent comme « passe-temps »? Mais visiblement eux ne comptent pas pour vous.
    Qui a besoin que quelqu’un vienne de l’extérieur pour « donner de cohésion » au groupe?
    Et pour « encadrer » ses compétences? (!!!) « ENCADRER », vous entendez bien le mot? D’où vient ce langage? De l’entreprise ou des partis politiques (surtout Stalinistes)?
    Quoi qu’il en soit, il faut avoir une pitoyable estime de soi et des autres pour penser que nous aurions besoin d’être encadrées. Et que dire d’encadrer des philosophes, c’est une contradiction dans les termes. Pourquoi pas les « normaliser » tant qu’on y est?
    Si nous voulions, soit « donner de cohésion » à quelque chose, soit être « encadrées », nous aurions commencé par ELIRE le cadre le plus compétent, non? Et quand est-ce que Pascal Hardy a montré ses compétences philosophiques? Ou c’est un gestionnaire qu’il faut? Ca ne vous fait rien que ce soit les patrons que nous l’imposent?
    Dire « toute méthode proposée doit être évaluée à l’aune du projet », c’est presque effrayant: c’est dont une idéologie qui départira ce qui est accepté ou pas. Et qui l’a dicté, le « projet »? Les animateurs historiques, dans un débat argumenté? Non, c’est Pascal Hardy… mais ça ne vous fait rien.
    Vous connaissez peu ou rien de l’histoire (et l’esprit) des cafés-philo, qui sont des initiatives libres et indépendantes (voire libertaires pour certains), farouchement indépendantes en tout cas. C’est comme ça qu’il se sont maintenus irrécupérables par les sectes (il y eu des tentatives) et par les partis politiques.
    Vous voulez être associés à la fin de cette indépendance?
    Agnès

    25th juin 2011 at 15 h 02 min

  7. Elke says:

    Agnes, si je fais référence au mythe fondateur, c’est que l’étude du groupe a pu montrer que les groupes se constituent bien souvent autour d’un rêve, d’un projet. C’est le rêve commun ou le projet commun qui donne cohérence au groupe. Avez-vous remarqué comment, en cas de conflit, on a tendance de se référer à Marc Sautet? Et à chacun de s’appuyer sur son interprétation du projet fondateur! Parler de légitimité dans le contexte du fonctionnement du bistrot de Phare me semble difficile: je n’avais pas connaissance de l’organisation de l’équipe d’animation. S’il s’agissait d’une association bien structurée, le problème ne se serait pas posé. Il y aurait eu un cadre de loi stipulant qui fait quoi, ou, quand, comment. « L’habitude » ferait loi? Je me rappele d’un débat sur la loi lors duquel nous avions abordé la légitimité. Parfois, avions nous dit, « besoin » fait loi. Pour ce qui concerne l’ambition: Dans le discours de Pascal Hardy, j’ai entendu une préoccupation politico-sociale qui met en lien la démocratie et un peuple capable de penser par soi-même, capacité que la philosophie cherche à développer. Troisième point, concernant la « compétence » des animateurs: comme toute compétence, elle se développe toujours avec l’expérience. L’intérêt de tous,ce serait un groupe d’animateur capable de réfléchir sur ses pratiques. Une bonne évaluationpost-débat permet de progresser, affiner la méthodolgie, amplifier les succès, attenuer les erreurs. Cela n’est pas possible dans l’ambiance de délation qui cherche à faire des procès d’intention à une démarche qui, et là, s’est ma position depuis le début, peut se défendre. Reconnaissez par ailleurs, que la critique formulée sur les sites a été entendu, prise en considération, malgré la forme parfois très toxique. Hurler avec les loups, pour utiliser l’expression de Crémilde, cela n’est pas ma tasse de thé. Mais quand on me mord, il m’arrive de mordre à mon tour. J’aurais envie; pour finir, rappeler que le concept de l’intelligence est un concept très large. En avoir ou ne pas en avoir? Les formes de l’intelligence sont tellement variables, que son culte me paraît complètement dépassé.

    25th juin 2011 at 16 h 34 min

  8. Gérard says:

    Le discours de Elke sur les animateurs est surréaliste pour les praticiens que je suis.Elle est la seule depuis des années à parler de la sorte, à s’autoriser cette posture en surplomb alors qu’elle n’a jamais animé un café philo, ignore tout de l’histoire des cafés philo et est, à l’évidence,et pour beaucoup, incapable de lire, de comprendre, d’entendre ce qu’on lui dit.

    Je sais de bonne source – elle même- que les cafés philo sont pour elle un terrain d’expérimentation sur le plan professionnel qui a un rapport avec la psy. C’est totalement confusionnel et insupportable.
    Le simple fait qu’elle continue obstinément à parler de groupe prouve qu’elle n’y comprend rien. Pour moi son discours est de la bouillie pour les chats et il devient inutile de la réfuter car elle ne sait pas ce qu’est un argument et pourquoi elle devrait argumenter. L’époque est pleine de gens comme cela.
    Des gens de son profil , il y en a eu quelques uns dans l’histoire des cafés philo.Ils ont sévit quelques temps puis ont disparus. Amers.
    Je souris à l’avance de ce que,quand il y aura de la « concertation » ( l’arbitraire rencontre toujours de la résistance )elle essaiera de se mettre au centre..de capter les réactions des autres. (c’est carrément endémique chez elle et extrêmement pénible pour les autres ).

    Le connaissant assez bien pour l’avoir pratiqué, Pascal va lui faire vite comprendre – à sa façon- qu’on est pas là pour jouer à se faire plaisir et mettre son ego en avant quand on ne fait pas partie du sérail.

    Pour lui le chef est le chef, le gardien, le pasteur et le guerrier.C’est tout ou rien tout et à ce titre, il a forcément raison. Surtout s’il s’intronise tout seul.
    Elle va apprendre ce que se concerter veut dire avec ceux auxquels elle croit avoir un avenir, du pouvoir et de la considération.

    Mais, on va voir, ce sera risible,!elle va nous donner des leçons de démocratie, de gouvernance, d’animation et de changement.!
    Quelle naïveté !
    Personnellement ce qui m’effraie le plus dans le monde actuel c’est l’arrogance de l’ignorance et la violence des rapports humains.Quand les femmes s’en mêlent, la mère s’éloigne de nos coeur et Lilith, la première femme d’Adam, réveille en nous l’insupportable de l’amour-haine qui se cache sous le prétexte du refus de l’infériorisation..

    Le dernier post de ELKE sur l’autre site à propos de l’animation, dimanche prochain de Daniel est d’une perversité sans nom.

    le respect qu’on lui accorde n’est pas un dû.
    Il faut quand même faire le minimum pour continuer de le recevoir..

    25th juin 2011 at 0 h 18 min

  9. René Guichardan says:

    Bonjour,

    Je me permets de m’immiscer sur la pointe des pieds dans votre débat… car je ne suis pas de Paris mais je fais partie des emportés de la vague Marc Sautet et Pascal Hardy dont je voyais le nom dans la revue de l’époque mais aussi dans des ouvrages (Celui de Yannis, notamment).

    Emmené par cette vague, j’ai démarré un café philo à Annemasse qui tient plutôt bien les années, même s’il faut se démener parfois. Les cafés philo furent également le sujet d’un mémoire de maitrise que j’ai réalisé en Sciences des pratiques sociales à l’Université Lyon 2. J’arrêterai là ma présentation.

    Je suis content de voir qu’un projet est lancé… quel que soit le projet. En effet, j’ai constaté que les cafés philo sans projet… allait selon un projet qui répondait de l’impulsion des égos ballotés ici et là, un chaos, malheureusement, d’où se retiraient les âmes les plus réfléchies. En effet, comment peut-on penser ou parler dans une atmosphère trop bruyante ou agité ? Il faut que le calme revienne pour que reprenne le débat, n’est-ce pas ?
    Pourtant, dès qu’un projet se fait jour, il met à nouveau le chaos en lumière. Que faire ?

    Un peu comme au café philo, il ne faut pas se couper la parole mais parler à son tour pour une part et d’autre part, ce sont des idées dont il faut discuter, de comment elles s’expliquent, se justifient, se comprennent etc., mais ne pas parler des personnes, ni de leurs intentions – Les intentions son le règne d’une intimité qui bien souvent échappe à tout le monde, y comprit à leurs auteurs.
    Dans un débat, on n’invite les interlocuteurs à expliciter leurs raisons, c’est en cela que l’on accède à plus de raisons. Ce sont bien là des principes fondamentaux des cafés philo, n’est-ce pas ? Nous revendiquons une autonomie de penser, car nous pensons que chacun est capable de raison et que cette raison se questionne, s’examine, se poursuit, s’approfondit, se développe etc.

    Les cafés philo, tous les cafés philo, sont pris dans une dynamique qui comprend deux axes :
    1) L’axe relationnel (celui de gérer la communication, les interactions, les tours de paroles, les règles de gestions du débat, le tournus des modérateurs/animateurs, autrement des rapports d’égo égaux pour ne pas qu’ils se montent les uns sur les autres)
    2) L’axe des débats (ce que débattre ou philosopher veut dire).

    Tout café philo qui n’entreprend pas de clarifier ces deux points en les mettant en discussion, reste pris dans un chaos, un chaos indistinct car géré dans l’invisible des positions de chacun ou un chaos assourdissant quand les termes du débat ne parviennent pas à se faire entendre des participants.

    Souhaitez-vous reprendre les 2 axes du débats précités pour ensuite voir comme ils s’inscrivent dans les visées que Pascal Hardy à formulé ?
    Souhaitez-vous que je les développe un peu ?
    Souhaitez-vous suggérer d’autres axes problématiques où se focalisent les tensions du projet lui-même (un projet existe en ce sens où il veut résoudre des problèmes, quels sont les problèmes que l’on souhaite résoudre ?

    Il y a une dernière chose à préciser, ce sont les règles internes que l’on se donnent pour fonctionner.
    Par ex. : Les personnes qui souhaitent s’inscrire dans le débat doivent faire des propositions et les expliquer.
    Si des personnes ne veulent que critiquer les propositions, elles doivent néanmoins expliquer les raisons qui fondent leurs critiques. Cela permet de comprendre leurs raisons, de les examiner et éventuellement d’y remédier.
    Ce sont deux règles que je trouve intéressantes car elles sont en réalité deux conditions qui sont d’une part, faciles à respectés et d’autre part, elle permette de faire avancer le débat.

    Je vous remercie de votre lecture.

    René Guichardan
    Comme je suis engagé dans une action pour les cafés philo, j’ai lancé un forum. Si vous pensez qu’il peut faciliter le débat, je vous ai ouvert un espace. Il suffira de désigner un ou quelques modérateurs parmi vous. (cela vous permet de poster des annonces au sommet de votre forum et d’annoncer vos règles.) Si vous ne souhaitez pas utiliser cet espace, je l’effacerai. Il est visible ici :
    http://cafephilo.forum-gratuiti.com/

    25th juin 2011 at 10 h 57 min

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