Le débat du 5 novembre 2017 : « Faut-il prendre ou éviter le risque ? », co-animé par Christophe Baudet et Bruno Leucoris.

5 comments

Posted on 1st novembre 2017 by Gunter in Uncategorized

5 Comments

  1. Gilles says:

    Faut’- il prendre’, ou éviter, Le risque ?, Christophe’ Baudet _et Bruno Leucoris’, Aux Phares,
    « Ceux qui jouent Avec’ Les chats …
    doivent s’Attendre’ À … être griffés », Cervantes’, Don Quichotte’, entre – chats …
    risque Le saut … entre – lacets !, Le sot – l’y – laisse ! il se chuchote,
    « Les mots qui Vont surgir savent de nous des choses, que nous’ ignorons d’eux »,
    René Char, et, sans charre, Laisse … sourdre … surgir, et, jaillir … tes mots … ose !, risque … ce qui, de toi, est’ en’ eux ! « La fortune sourit’ Aux’ Audacieux », Virgile’,
    « impose’ ta chance, serre’ ton bonheur, Va Vers ton risque’,
    À te regarder’, ils s’habitueront », René Char, À L’époque’, ils Virent’ Gilles, …
    ensemble … nous croîtrons’, Avec’ Lui … et, sans charre’, À Bruno … Leuco – risques,
    et, À Christophe’… Beaux – dés’… À jouer’, Aux dés, risque’, et en – jeu …
    du risque, chance – bonheur … pressé, en – lacets’… en – brassées, risque …
    Les dés !, et, de ton propre choix,
    cette Volonté du dépassement de soi, « Courage !, L’homme’ est’ un risque’ À Courir »,
    Le Crocodile, Kofi Yamgnane’, …
    et La femme’, À Le rattraper, Le dépasser’, Au danger s’exposer !, de L’Audace sans rire’ !,
    et en riant, Le deal … en Diane’, Ariane, Marianne’, …
    il faut tenter de Vivre, prendre Le risque de Vivre,
    « Car Le plus Lourd fardeau, c’est d’exister, sans Vivre »,
    Victor Hugo, Alter’ Hugo, Le risque comme Vivre’, « Au risque …
    de se perdre’», et, donc’, de se trouver … de s’Aboutir, de s’Accomplir, de se Lever,
    de s’Activer, de s’innover’… et osons prendre des risques !,
    pour Avancer, se transcender, se dépasser, se transgresser’, Avancer …
    Vers ses rêves d’ À – venir, rêves de devenir, « Si Vous ne risquez rien … Vous risquez tout ! »
    Geena Davis’, Le risque comme’ Atout …
    prends Le risque de devenir ce que tu es ! Oser L’Audace … du risque … de s’engager, s’investir, s’impliquer, se compromettre’, ensemble … pour grandir, évoluer, pour s’élever …
    se mettre’- avec’- ensemble’, Affronter … L’ inconnu, un connu … suscité …
    Avec’ raison, Avec’ passion, intensité …
    Aimer … prendre des risques, et, Au risque d’Aimer, Vivre … « mourir d’Aimer »,
    du risque – finitude – mort … Au risque – finalité – Vie, besoin, désir, En – Vie …
    Élan, Envol, Essor … contraire … du confort,
    Le risque qui explore’, Au risque de La mort … Le risque de La Vie … Le risque … démasqué, « La Vie, c’est risqué … La Vie, c’est risquer … » La Vie, c’est s’embarquer …
    pas’ un hasard, une rencontre’, un rendez-Vous’,
    une nécessité, en propre Liberté, se projeter, Dame’- Libération, j’Ai rendez-Vous Avec Vous …
    serviteur, Avocat … Gilles Roca, Cas-fée – File’- eau … des ( nés – nus -) Phares,
    5’- 11’- 2017’, en Brumaire, prendre Le risque phare’, éternel – éphémère,
    risque … changement d’ère, « du peuple – L’ère », _____ J-L M & G R

    1st novembre 2017 at 11 h 42 min

  2. Zub says:

    Nul ne saurait fuir le risque à tout prix sans tomber dans un péril encore plus grand : celui qui aura peur de mourir d’indigestion mourra ainsi très bientôt de faim !…!
    Inversément, celui qui cherchera le risque le trouvera au pied de son lit : il sortira par la fenêtre au lieu de sortir par la porte comme à son habitude !…!
    Bref,ne trouveront le succès que ceux qui le chercheront…soit en se donnant des buts faciles à atteindre, soit en se donnant du temps : seul le fait-néant pourra se targuer d’avoir atteint son sommet sans bouger…en vertu du principe très-très sage qu’il valait parfois mieux ne rien faire que mal faire !?!
    Oui, ne pas rendre le mal pour le mal, c’était déjà pas mal !…!

    1st novembre 2017 at 19 h 25 min

  3. Zub says:

    La vie rêvée étant de cheminer au vent et se poser à la nuit, légitime était-il de s’interroger d’où pouvait venir cette idéologie du risque, des lendemains qui chantent et des horizons qui vous fuient toute la vie.
    A défaut de pouvoir remonter au commencement des temps, dèjà les vieux pouvaient-ils s’arrêter aux années 50 et constater que le nucléaire militaire avait quasiement tari l’envie de gloire
    dans tous les palais nationaux !?!
    De même l’amour du risque semblait-il devoir triompher partout sauf entre les piliers du temple de la finance, toujours benoîtement blottis dans l’oeil du cyclone…là où il n’y avait jamais aucun mouvement d’air !…
    Ici, l’art du commerce, ce n’était pas d’abord la séduction : c’était l’art d’organiser la pénurie…et puis les faux besoins, en privant son public du nécessaire : c’est tout un art, voire même un don : qui ne l’a pas, ne l’imagine même pas !!!
    Pour échapper aux faiseurs de mirages, il n’y avait que le retour vers le présent, l’intime, la joie…l’être : on ne saurait courir après ce qu’on a déjà à perte de vue…à condition de ne pas en perdre la vue !…

    1st novembre 2017 at 18 h 53 min

  4. Zub says:

    On ne saurait courir après ce qu’on a déjà à perte de vue….comme le blé, les deux pieds dans un champ de blé…ou la brume de mer, quand la mer est partout et nulle part…dans son lit, toute lumière éteinte, quand on n’entend plus le bruit extérieur, quand on commence à pouvoir entendre chanter son estomac : on ne voit pas bien ce que pouvait risquer celui qui écoutait son estomac lui chanter sa chanson dans le noir !?!
    Bizarrement, on ne commence à « avoir » un estomac, une maison, une voiture, un banquier, un patron ou un percepteur que lorsque tout commence à dysfonctionner.
    Ce n’est pas que l’homme heureux n’ait pas d’estomac, de gîte ou de caisse, mais c’est qu’il ne se contente pas de les posséder ou d’en être possédé : il les écoute, les habite ou les mène…
    …pas en même temps, évidemment : à l’opposé, l’anxieux passait jour et nuit à craindre pour son avoir…quand bien même s’agirait-il d’un espoir chimérique de gagner au loto seul contre des millions…
    …oui, le loto, cet emblème du risque pour le risque, qui frappe de préférence les impécunieux, pour ne profiter durablement qu’aux empereurs du jeu.

    1st novembre 2017 at 18 h 45 min

  5. Zub says:

    Il n’était plus d’exemple que celui qui avait une femme, un fils ou une fille, ait tout perdu : seuls les pères restaient père ; seuls les maris restaient mari : ni les juges ni les huissiers ni les voleurs n’avaient jamais pû leur prendre quoique ce fût : on ne pouvait dépouiller que les thésaurisateurs, pas les trésors !?!

    1st novembre 2017 at 18 h 51 min

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