Débat du 16 juin 2019 : « Doit-on travailler ? » animé par Claude-Pol Grognet.

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Posted on 17th juin 2019 by Carlos in Uncategorized

Dans le cadre des bons plans recherchés, pour sortir, à Paris, une pléiade de suggestions sont recevables, telles que la visite à des différentes Expositions, Restos, Ciné, Balades, ainsi que la Coupe du Monde de football féminin, le Festival des Cerfs-Volants, en attendant la Fête de la Musique, ou autres animations gratuites.

Ceci dit, les amants de Sophie n’ont d’yeux que pour elle et, le dimanche, 16 juin, ils se sont retrouvés au Café des Phares@, afin de dépiauter l’étrange question qui leur était posée, c’est-à-dire, « Doit-on travailler ? », au cours d’un débat, animé par Claude-Pol Grognet.

Bien que, étymologiquement, ‘Travail’ soit un instrument de torture, ‘tripallium’ , en bons soldats, les participants à l’exercice, se sont démenés pour trouver des réponses moins effrayantes entre ‘obligation’ et ‘labeur’ !!!

C’est ainsi qu’il fut question ‘de richesse créée par lui’, ‘relation avec un entrepreneur, ou une machine’, ‘il y en a, de moins en moins’, ‘en Afrique il y a des centaines d’enfants, entre 8 et 15 ans, qui travaillent sans salaire’, ‘lorsque l’on mange du chocolat, d’où vient-il ? ONU, UNICEF’ ! ‘Schopenhauer : on manipule les sens’, ‘c’est un peu compliqué’, ‘L’idée de ‘burn out’ fut analysée par Marx’, ‘augmentation du PIB, rapport production/aliénation’, ‘je parle de métier, maîtrise de ce que l’on fait’, ‘valorisation des gens’, ‘autrefois, le travail à l’hôpital, était fait par des religieuses’, ‘le rapport travail/obligation est moral’…Il fut ajouté ‘qu’il y a des pays, comme le Brésil, où l’on adopte des mesures compensatoires’, ‘tandis qu’en Angleterre, on laisse les femmes s’occuper du foyer’, ou encore ‘la main invisible’, ‘le travail à la chaîne’, ‘l’éboueur’, l’artisanat’, ‘suppression des guichets à la SNCF’, ‘le salaire minimum’, ‘le revenu universel’, ‘l’industrialisation’, ‘le travail de la terre’, etc.

Dehors, l’astre-roi excitait la pensée, lui assenant d’autres idées, plus sensuelles. Alors, au terme du temps réglementaire, une fois que Gilles orna le tout d’un brin de poésie, les férus du ‘tripallium’ se sont trouvés dehors, se délectant dans les rayons d’un soleil extrêmement généreux !!!

:-) « Le soleil se lève avant moi… Moi, je me couche après lui !!! Nous sommes quittes !!! », (Jules Renard)

Carlos