Le débat du 31 mars 2013 : « Quel sens peut-on donner au silence ? », animé par Sabine Miniconi.

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Posted on 27th mars 2013 by Gunter in Uncategorized

Débat du 24 Mars 2013: « De quoi sommes-nous esclaves? », animé par Yannis Youluntas.

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Posted on 25th mars 2013 by Carlos in Uncategorized

Le 24 Mars 2013, était une Journée dédiée à l’attention particulière réservée aux Hommes atteints de Trisomie, bien que l’on fêtait aussi le « Jour de la Poésie » et qu’à Paris la 133ème édition du Salon du Livre ouvrait ses portes, avec des éditeurs de 150 pays dont Barcelone et la Roumanie qui étaient des invités d’honneur. Au Café des Phares®, les participants présents, n’ignoraient pas à quoi ils avaient à faire. Ils allaient chercher à savoir : « De quoi sommes-nous esclaves ? », une question que Yannis Youluntas tenait à élucider.

On partait du principe que nous sommes Esclaves et qu’il s’agissait tout simplement de chercher à savoir de « quoi », c’est-à-dire, une question qui n’intéressait qu’un réel bien défini. « Esclave », est un nom dérivé du latin médiéval, « sclavus » qui vient de ‘slavus’ ou ‘slave’, par référence aux prisonniers faits par Otton le Grand (912-973). Esclave désigne en fait la condition de celui qui, devenant la possession d’un autre, est privé de sa liberté, c’est-à-dire, une conception inégalitaire de l’Homme liée donc à la propriété, exploitation ou négociation comme bien matériel, d’autrui. Tel a été le cas de Platon, qui dénonçait l’esclavage, mais fut à un moment vendu comme esclave sur l’île d’Egine. Plus près de nous, partis de l’île de Gorée (4 Km au nord de Dakar), sous un numéro de matricule, vers l’Amérique Latine, la pratique marchande de l’esclavage fut réglée par le « Code Noir », (recueil de 60 articles préparé par Colbert et publié en 1685 sous Louis XIV), trafic auquel la Déclaration des Droits de l’Homme mit fin en1789. « Sclavus » désigne donc l’Homme réduit à la condition de marchandise, et il en existe encore des dizaines de millions, en Afrique, en Asie et en Océanie, alors, qui est « NOUS » !? Tout le monde et, le terme ne pouvant donc être appliqué désormais qu’en ce qui concerne les choses, « de QUOI » dépenderait notre façon de coexister avec l’argent, par exemple, ou nos propres penchants, nos vices, voire nos faiblesses ? Puisque l’on ne peut pas être esclave de deux Maîtres, ni esclave et libre (ou affranchi) à la fois, il nous fallait donc faire l’inventaire de tous les objets qui pourraient aliéner notre volonté, notre liberté, voire notre Humanité et, partant, convenir déjà que l’Homme libre est l’Homme, émancipé, puis, qu’il ne peut l’être sans le secours de la raison, ce que ne dispense pas de l’obédience à la Loi, la Norme qui, étymologiquement, se réfère à l’« Equerre », un ordre concernant le « monde imparfait du corps » aussi bien que celui, « parfait, de l’univers, de l’esprit et de l’idée », c’est-à-dire, l’un, fixe ; l’autre, mobile.

Les participants se sont exprimés avec enthousiasme, faisant noter « que le mot esclave était utilisé de façon provocatrice », « qu’en Grèce se passent des ‘choses’ qui remettent tout en question », « que le but de la philo est l’amour de la sagesse », « alors que l’on est esclave comme avant la caverne », et les uns se « demandaient ce que l’on va devenir ». Cela dépendrait « de l’air du temps ? », « de la lutte contre nous-mêmes et le monde extérieur », « ainsi que du quotidien », « le sexe et la cigarette ? » « Le sujet serait culpabilisant, donc », « malgré l’espoir apporté par l’Utopie espagnole en Andalousie », « mais aggravé par le milliard de trop de gens sur terre », « l’évasion fiscale », « la situation en Chine (proche de l’esclavage), en Grèce, en Egypte ou Haïti, reproduisant la servitude et le désir de s’en libérer ». Empiré par « les incertitudes », face à « l’individualisme », « le féminisme », « la société bloquée ». Insupportable pour celui qui, « esclave de son ventre, a faim et souffre du besoin manger » et du « manque de solidarité », « bien que l’on puisse faire de ‘l’auto-stop’ » et « éviter les péages », « remplaçant l’individualisme par la politique ». « Que faire ? Désobéir ? », « Serions nous esclaves de notre ‘Education’ ?», « des complications administratives », « ou de notre imaginaire ? », « Esclaves parce que nous n’arrivons pas à nous libérer ?» « Je m’identifie au cheval, pas au bœuf sous le joug », « ni à la grille des salaires ». « Par qui sommes-nous exploités ? Il y en a marre.» ; «  le corps est sacré ! »,  et pourtant « esclaves de l’auto-esclavage qui commence par la ‘méritocratie’ ». « Sartre, a bien dit ne ‘jamais avoir été si libre que sous l’occupation’ ». « De quoi ne sommes-nous pas esclaves, d’ailleurs ? », si « le mot esclave est utilisé à toutes les sauces  », « et la servitude volontaire est une réalité », etc., etc….

Et l’on a abouti à la conclusion finale, « on est condamnés à choisir », avant la poésie de Gilles qui mit un terme à l’exercice.

- Qu’est-ce qu’on dit ?

- Mer…ci…

-Merci, qui ???

-Merci, maman…

Carlos

Débat du 17 Mars 2013: « L’Homme est-il en guerre contre lui-même? », animé par Michel Turini.

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Posted on 19th mars 2013 by Carlos in Uncategorized

Annoncé, le 13 Mars 2013, par une émission de fumée blanche et par le son des cloches de la Basilique de San Pierre à Rome, Monseigneur Bergoglio, archevêque jésuite argentin, fut élu  comme 266ème Pape au cours du 5ème scrutin dans le Conclave du Vatican et, ne voulant pas de ‘libellule’ ou ‘papillon’, prit le nom de François ou Francisco. C’est dans ce cadre éminemment grave et pacifique, que le 17 suivant, eu lieu au Café des Phares®, le Débat Philosophique animé par Michel Turini :  « L’Homme est-il en guerre avec lui-même ? », muté en « Sommes nous notre propre ennemi ? »

Décidemment, depuis quelques temps, nous sommes très préoccupés avec nous-mêmes et nos tares ou nos dégénérescences, déjà exprimées dans les débats antérieurs:

« Si les choses ne changent pas, change ta façon de voir » ; « Sommes-nous en décadence » ; « Sommes-nous notre propre ennemi ? » ; Comment faire la paix avec notre passé ? » ; «  Le temps d’apprendre à vivre, il est déjà trop tard » ; « La vie, nous la rêvons ou nous l’accomplissons ? » ; Y a-t-il une vraie vie avant la mort ? »…

A présent, c’est « Si tu me cherches, tu me trouves », c’est-à-dire, la guerre « Polémos » que nous nous livrerions à nous-mêmes, plus précisément « contre » qu’« avec », et qui exigerait donc notre réflexion philosophique ! Il serait dès lors donc sage de se tenir à la devise adoptée par l’armée « si vis pacem para bellum » (« si tu veux la paix prépare la guerre ») s’outillant des armes les plus efficaces et suivant la stratégie la plus adéquate si l’on tenait à emporter le défi et sauver la face. Voilà pourquoi je conseille, d’une part l’Opinel, et de l’autre la lecture de deux grands penseurs en la matière, Carl von Clausewitz, qui dans sa réflexion exprimée dans « De la guerre » entend qu’il n’y a pas de solution mais donne quand même quelques recettes intéressant tous les politiciens auxquelles même Al-Qaida prête attention, et Nicolas Machiavel, qui a une toute autre vision du problème exposée dans « Le Prince », en d’autres mots, la fin justifiant les moyens, un cynisme dépourvu d’idéal ou de moral.

Ou alors, puisqu’il s’agit d’une question, il (l’Homme) n’est pas en guerre, ni contre ni avec lui-même, et on pouvait s’en aller, à moins de le regretter, soufflant, dès lors sur les braises.

C’est ce que l’on a choisi de faire, une sorte de « Guerre des boutons ».

Quelqu’un s’est aperçu que « pour faire une guerre il faut un ennemi », ou « une dichotomie entre le ‘moi’ et le ‘petit moi’ », et que le « mot guerre étant très fort, il vaudrait mieux dire ‘destruction’, puis, une autre intervenante, estima « qu’il y est toujours question de territoire et opposition, pourquoi pas la conquête de soi ? », que « guerre était un mot trop fort », « qu’il y a des guerres qui ont duré 100 ans », que « la seule guerre serait de s’arracher à la nature », « suivre l’exemple de l’Abbé Pierre » au lieu de « se sentir frustré », « aller de l’avant comme Galilée, Copernic au lieu de se battre entre pays », et ne pas dire : « c’est lui qui a commencé », « violence et ennemi allant de paire », « l’Homme étant la seule espèce à le faire », ce que le « ‘connais-toi, toi-même’ pourrait éviter », « sinon, il faudrait : 1, une déclaration ; 2, différentes parties ; 3, des enjeux ; 4, des ressources ; 5, un chef ; 6, des victimes ; 7 vainqueurs et des vaincus ; 8, des trésors de guerre ; 9, des ministres.

« Il y aurait des guerres déclarées, d’autres pas » ; « il y a des guerres déclarées, d’autres puisant dans des arsenaux juridiques », « faire la guerre n’implique pas la volonté », « guerre contre soi », ETC., ETC…

Je m’endormais, et j’avoue que j’en ai perdu le fil…

En tous cas, deux vieux vétérans se trouvaient par hasard dehors.

-Tu te souviens, Marcel, de la guerre 14/18 ?

-Bien sûr, bien sûr…

-… Et du bromure qu’ils nous donnaient pour dormir ?

- Bien sûr, bien sûr… Pourquoi tu me demandes ça ?

- Je crois que ça commence à faire de l’effet !

Carlos

Débat du 10 Mars 2013: « Si les choses ne changent pas, change ta façon de voir! », animé par Claudine Enjalbert.

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Posted on 12th mars 2013 by Carlos in Uncategorized

Lors de la Journée mondiale de lutte pour les droits des femmes, on était en pleine campagne contre violences sexuelles et conflits armés, ainsi qu’à l’adresse de l’accord pour la sécurisation de l’emploi, place du Châtelet, alors que les « sans papiers » se rassemblaient devant le siège du PS,  d’autres se dressant contre la venue à Paris de Monsieur Shimon Pérès, ou contre le nucléaire devant Ambassade du Japon. Au Café des Phares®, Claudine Enjalbert se proposait d’aider les participants présents, à tirer une morale à partir de l’injonction : « Si les choses ne changent pas, change ta façon de les voir ! », au cours du Débat du 10 Mars 2013.

Et quoi encore ? C’est-à-dire, le mot d’ordre serait que les choses devraient changer, sinon il faudrait tout regarder autrement. Toujours ou de temps en temps ? Faire comme SI ou pourrait-on éluder le problème en changeant de lunettes ? D’abord, pourquoi faudrait-il que les choses changent ? Puis, qui prétend qu’elles ne changent pas ? S’il s’agit de changer le regard sur les choses, chacun peut très bien le faire, indépendamment du fait qu’elles changent ou pas.  

Pour être sérieux, il parait que la trouvaille vient de Lao Tseu, père fondateur du taoïsme et auteur du « Dao De Jing », ‘Livre de la Voie et de la Vertu’. Or, son opinion serait plutôt : « Plus les choses changent, plus elles restent elles-mêmes », et ça ne s’arrange pas. Mais, voyons, que sont « Les choses ? » Qu’est-ce que « Changer ? »  « La Chose-en-soi » (Ding in Sich), est un concept Kantien désignant la Réalité, en dehors de toute autre expérience possible, c’est-à-dire, l’intuition envisagée comme phénomène qui implique une relation à l’objet. « Changer » ; « les choses changent, et d’autant plus qu’elles restent elles mêmes puisqu’elles existent indépendamment du Sujet ou de sa façon de voir. Puis, souvenons-nous que l’expression « changer le monde » a enchanté toutes les génération d’Humains, optimistes, en tous cas disposés à tout envisager sous un jour favorable, alors que chaque chose change à chaque instant, même si rien ne le laisse transpirer, et que dans l’univers impitoyable de la réalité, « chose » désigne chaque phénomène, voire « être » qui existe, soit-il concret, abstrait, réel ou mental, concevable, enfin, comme objet. Le problème, donc, en ce qui concerne le sujet du jour, est que les choses changent, puisque « changer », est devenir autre, muter, se transformer, se modifier, alors que l’a priori était qu’« elles ne changent pas », et que donc il faudrait les regarder autrement pour qu’elles donnent des signes de vie. « Rien de nouveau sous le soleil » ; pas la peine de se frotter les yeux !

Dans la salle, on a commencé par se demander ce que c’est que le Temps, si changer et bouger c’est la même chose, ou si l’on est responsables. Là, Stéphane Hessel fut appelé à contribution, ainsi que la mort de Chavez, Le Guépard de Lampedusa mis en scène par Visconti, et Milos Forman avec son « Vol au-dessus d’un nid de coucous », suivi de la Pub « mangez du poisson pour vous libérer du café » et, « la façon de voir ne pouvant pas changer les choses », on s’est demandé « quel serait le point de vue de l’aveugle », « résignation ou désir de réalité », puis « le regard à porter sur l’économie qui va dans le mur », tout en nous demandant si « le changement est vraiment nécessaire », «  certainement, car cela est bon pour soi et une preuve de considération pour l’autre », « on veut nous faire croire que tous les maux viennent de l’Homme ; il faudrait relire la mythologie ». Quelqu’un ajouta : « je reviens au plancher des vaches ; de la question des ‘choses’, je retourne à la ‘chose’ de trois sortes, dont mon corps », puis « le but étant de bien vivre » et « s’installer dans la pérennité ».

Enfin. On a fait feu de tout bois, et il ne manqua que ‘La Mère Denis’.  

Un agent immobilier cherche à vendre un appartement donnant sur un lac et, pour donner plus de poids à ses arguments, amène le client sur le balcon :

- Et là ? Regardez-moi ça…

- Que c’est beau, s’exclame l’intéressé.

Voulant y ajouter une louche à la façon de voir, le vendeur précise :

- Et encore, là, vous ne voyez que la surface !

Carlos

Débat du 3 Mars 2013: « Croit-on ce que l’on désire? », animé par Jean-Luc Berlet.

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Posted on 4th mars 2013 by Carlos in Uncategorized

S’éloignant de sa charge pontificale, Benoît XVI devint  Pape émérite, et un autre Pape est ‘appelé araignée’. Que d’émois ! Alors que la conscience de nous-mêmes, l’humaniste Stéphane Hessel (souvenons-nous de son opuscule « Indignez-vous », dénonçant le poids de la finance dans les choix politiques) s’éteignait à l’âge de 95 ans, la fraude généralisée de la viande de cheval sensée être du bœuf se convertissait en vrai scandale, aussi importun que la provocation littéraire « Belle et bête », et les 40 mille participants au 21ème Semi-Marathon de Paris en faisaient le tour. Mais, pour celui qui le veut bien, il y a toujours de quoi se dépoussiérer les méninges, passant par le Café des Phares® où, chaque dimanche, comme ce 3 Mars 2013, un Débat nous attendait, portant cette fois-ci sur le thème « Croit-on ce que l’on désire ? », qu’animait Jean-Luc Berlet, et me voilà à en faire un Compte-rendu, n’en déplaise à ceux qui m’ont invité à en faire, le jour où le débat fut « La Vengeance », c’est-à-dire le 12/11/2006, il y a sept ans donc.

Enfin. La salle était pleine, chaque dimanche plus pleine, pour en découdre, même si, une fois que le « Désir » est en question, les dés sont pipés. En effet, le  « Désir » implique, par définition, « l’existence de quelque chose qui doit être satisfait, puisque, étymologiquement, il s’agit de « la nostalgie de voir une étoile » et que « croire est donner crédit à ce que l’on ne connaît pas ».

Tout désir est donc la quête de l’apparition d’un sortilège qui serait à même d’illuminer le ciel de la conscience, pour la ravir et lui apporter satisfaction ; le « désir » est le manque d’un manque, ou d’un projet qui suppose la nécessité de temps pour être accompli ; une prétention qui, sans l’immédiateté du rêve, veut transformer la réalité dans ce qu’elle n’est pas, mais qui doit le devenir pour atteindre son but ; c’est l’« envie » devenue conscience d’elle-même et parfois d’une volonté de tout mettre en œuvre pour s’accomplir, bien que le désir soit souvent inconscient.

Qu’en a-t-on fait ?

On s’est rapproché du ‘pari de Pascal, s’il y a rien, il n’y a rien ; s’il y a quelque chose, il vaut mieux croire que ne pas croire’. On a considéré que l’on ne peut pas vivre sans désir’,  ‘Lacan étant d’avis que l’on ne doit pas céder sur le désir’, alors qu’un autre opinait que ‘le désir est le désordre’, et ‘interfère entre le corps et l’esprit’, un autre encore se demandant ‘si l’enjeu valait-il la chandelle’, afin de ‘persévérer dans son être’, bien qu’‘là, on n’écoute jamais le croassement des crapauds’, ‘croire et désirer étant antinomiques’, et ‘les choses sont belles parce que nous les désirons’, puisque ‘le désir précède la croyance’, ‘croyance et désir ne faisant qu’un’. Il paraît que chacun croit que ‘son désir est bon’, et ‘dès lors il ne faut pas croire mais désirer tout de même’, ‘la volonté étant plus réflexion que désir’, d’où, ‘l’avantage d’analyser ce que l’on est susceptible de croire’. Pourquoi le ‘besoin de convaincre ?, se demandait un intervenant, si l’on  veut obtenir ce que l’on désire ?’ ‘Le désir c’est hormonal, opinait un autre, voire, le désir de fraises de la femme enceinte’ ; ‘l’intellect pouvant donc bâtir une croyance sur un désir’. On a établi le ‘parallélisme entre théorie intellectuelle et pratique sensorielle’ ; ‘la poule et l’œuf’ ; ‘la différence entre besoin et désir’, puis, tout en vrac,  que ‘le billet de Loto est une espérance de gain qui permet de vivre’ ; que le ‘‘on’ c’est le doute’, nous demandant si  ‘nous sommes conscients de nos désirs ?’, repéré ‘le désir dans la réciprocité’, et jugé que ‘le fait d’allumer la Télé est un aveu de croyance’. Nous avons été avertis qu’il ‘ne pas confondre transgression et transcendance’ ; admettre ‘la légitimité des statistiques’ et ‘la différence entre autorité et pouvoir’, estimant que ‘ceux qui ont de l’argent s’en sortent mieux’ ; que ‘nul n’est censé ignorer la loi, ce qui légitime la punition’, alors que ‘’on punit pour une faute d’autographe’ parce que ‘ça mérite la fessée’, et « qu’il faut avoir conscience de la faute », bien que l’on ne doit pas « taper les chevaux qu’avec le bruit de la cravache ».

Tout assez décousu, quoi !

Nous avons écouté respectueusement le lyrisme de Gill, puis dégagé la place, la laissant à sa première vocation, le loisir, auquel on croit, dur comme fer.

-Vous désirez quelque chose ?

- Je crois que je désire un café noisette».

- 2, 60€…

Carlos