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Bonjour à vous, qui vous intéressez à la philosophie. Sachez que vous pouvez trouver sur ce site, le compte rendu des débats qui ont lieu au Café des Phares (Paris, Place de la Bastille), chaque dimanche de l’année, et auxquels rien ne vous empêche d’ajouter vos propres commentaires. Par ailleurs, d’autres rubriques sont en mesure de vous aider à vous orienter quant aux activités et autres événements philosophiques de la cité et du monde en général.

Le webmaster.

Philosophie et psychanalyse (Gilles Roca).

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Posted on 26th septembre 2013 by Gunter in Textes

Philosophie et Psychanalyse,

problématique, philosophique’, Analyse … puis conceptualisation,
Le désir, Le courage … de La Vérité, Lien, de L’inter’- Action,
reliée, juste’, en beauté … entre Les deux’, un … pacte’,
un, réciproque’, impact’,
en Lien, Au monde’, À L’Autre’, À soi, À changer, transformer, ma foi !, des … pensées, d’énergie,
Vie pensée, Vie Agie, et … des Vivres … pour Vivre’, inconscient, un … conscient, L’âme’- agit …
fait des ponts, passerelles, intimes, universels, et fenêtres …
portails, mutuelles … semailles, Accoucher, corps-esprit, processus’ de travail,
mieux pensé, mieux compris, un double … gouvernail …
philosopher’, Analyser, se délivrer, se Libérer, naître …
pour se réaliser’, et puis, s’en Libérer … PsychoPhilosophie,
des racines’… Aux’ Ailes, un, singulier, pluriel, qui s’imbrique’, entre-mêle’, un … personnel défi …
se distancier, de soi, se rapprocher, de soi, finalité, « [ Lucidité, blessure ... La plus rapprochée
de son soleil ] » … René Char … Le – Vent du Souffle … déclenché …
de L’Esprit, En-Vie-Vent … de pessimisme’, Acté, optimiste … clarté,
une’, érotique’, éthique, quête … de soi,
en Lien, en devenir, qui Vient, d’ inné … À-qui ? … À soi,
qui … naît, en solidarité, et en cohérence … complémentarité,
La raison pour moyen, La sagesse pour fin,
monde’- éveil, citoyen, de L’éveil, soif et faim …
« mal-a-dit … Le docteur » ( Vincent Roca ), bien … A dit Le penseur, et Le Lien est Là – quand … L’éveil est’ éloquent,
« médecine de L’Âme’», une’ Approche de L’homme … qui en co-naît … sens’,
y croît … re-connaît … sens’,
déconstruit,
reconstruit …

Gilles Roca, sur d’Ardentes braises,

Cas-fée-Philo, Gunter’,
Au Bon Pêcheur,

Fructidor, 15 septembre 2013,
Philosophie, Psychanalyse … ses fruits d’or

Débat du 22 Septembre 2013: « Vaut-il mieux être esclave de ses désirs que du désir de les combattre? », animé par Georges Sefinal.

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Posted on 23rd septembre 2013 by Carlos in Uncategorized

Pour terminer la Semaine Européenne dédiée à la Mobilité, Bus et Métro proposaient au public, esclave des transports en commun, des tarifs promotionnels, afin de l’inciter à adopter une démarche citoyenne en faveur de la qualité de l’air, par l’adoption des déplacements alternatifs à la voiture particulière, tels le covoiturage, le vélo ou le recours aux transports collectifs, c’est-à-dire, une autre façon de bouger en ville.  Au Café des Phares®, les habitués du lieu, ainsi que les nouveau venus, étaient, eux, invités par Georges Séfinal, qui animait le débat,  à réfléchir, le 22 Septembre, sur le thème suivant : « Vaut-il mieux être esclave de ses désirs, que du désir des les combattre ? »

C’est comme si l’on me demandait « Quelle est la différence entre un canard ? » En effet, si l’on y va sur la pointe des pieds, malgré les apparences, on s’apercevra vite qu’il n’y a pas de voie d’échappatoire dans ce sophisme. Ou bien l’un, ou bien l’autre… mais « esclave » de toute façon ! Etre Esclave ! Etre esclave, soit du Désir, ou alors du fait de le combattre, ce Désir ; il n’y a pas d’avantage de choix ; c’est « ou »… « ou », mais ESCLAVE, quand même. Dans mon pays on dirait, « ce n’est pas du caca, mais c’est le chien qui l’a fait ». Au fond, c’était encore un débat sur la Liberté, définie par sa négation.

Mais, au diable la varice. Le point à retenir serait, en tous cas, que dans l’hyperbate présent, d’une part, par définition, un « Esclave » est un individu privé de liberté et soumis à une autorité tyrannique ayant un pouvoir suprême, absolu ou oppressif sur lui. De l’autre, que « Se Révolter contre ses désirs », (les combattre), implique le rejet d’un sentiment auquel il faudrait logiquement se conformer, le Désir. L’Homme est libre par essence, et de ce fait, il cherche à faire ce qui lui PLAIT ; s’investir dans ce qu’il a envie de réaliser, évitant toute situation qui pourrait lui déplaire, ou même nuire, car la Liberté n’est pas Liberté, si d’aventure elle se trouve limitée. Là, on a le choix : se RESIGNER ou se RESIGNER. Où est l’impératif ? Ou bien tout est déterminé, ou bien nous avons le choix ; celui que nous dicte la conscience.

Effectivement, rétorquant à une certaine insatisfaction, très vite le DESIR est apparu comme le mot pivot de notre discussion. Du latin, ‘de-siderare’ », le terme traduit le fait « de regretter l’absence d’une étoile ». Désir, désirer, c’est tendre vers ce que l’on aimerait posséder (les étoiles) ; il s’agit de la conscience d’un manque évoquant l’idée d’un bien que l’on ne détient pas, mais duquel l’on aimerait disposer, tel que le suggère Malebranche. Il est humain, ce désir, en tant qu’absence, pénurie, et semblable à la nostalgie, car, au bout du compte, le Désir se nourrit de l’aspiration à ressusciter le bonheur enfui. Une révolte contre la notion d’irréversible.

On a beaucoup glosé sur le sujet, comme « vision d’un besoin », évoquant notamment, « le désir et la pulsion », ainsi que le fait « d’être incontournable, sans s’en se sentir esclave et les dissociant au passage, nous permettant d’être ce que nous sommes », nous interrogeant sur « l’intériorité ou extériorité du sentiment ». Puis, on a parlé des « différences entre désirs et besoins », tout en échappant « à l’esclavage », ainsi qu’aux rêves « irréalisables, paralysants, ou même interdits », ajoutant « l’effet malsain de certaines religions, de la biologie, voire d’autres fantasmes ou refoulements, comme le ‘fatum’, la fatalité, c’est-à-dire, ‘ce qui est écrit’ », et même « le ‘célibat’ des prêtres ».

Gilles mit fin au débat, au moyen de ses vers libres, et la salle se vida de ses philosophes qui se sont retrouvés dehors, remâchant certains aspects assez intéressants de la polémique relevés pertinemment par Georges.

A la sortie, dans le kiosque à journaux :

- Alors ? Quel était le sujet, aujourd’hui ?

- « Vaut-il mieux être esclave de ses désirs, ou du désir des les combattre ? »

- Bah !!! En général, un désir est tout simplement un désir.

 Carlos

Débat du 15 Septembre 2013: « Pourquoi l’ennui ? », animé par Claudine Enjalbert.

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Posted on 17th septembre 2013 by Carlos in Uncategorized

Après une semaine illustrée par la présentation des candidats au ‘Prix Sakharov 2013’ pour la liberté de l’esprit, et par des Semaines Sociales de France consacrées au Travail, prit fin la Fête de l’Huma, avec la présentation de saltimbanques, ainsi que débats politiques ou les conditions de travail, tandis qu’au Café des Phares®, les habitués du lieu, aussi bien que des nouveaux venus, ont eu l’occasion d’assister au Débat du 15 Septembre 2013, dont le sujet, animé par Claudine Enjalbert, était : « Pourquoi l’ennui ? »

De quel ennui est-il question ? De quelle nature est cette contrariété ? Qu’est-ce que ce désagrément ? Des ennuis, il y en a des tas ! D’argent, de santé, de voiture, etc. Mais, admettons qu’en gros, là, il s’agirait d’une impression de vide ; un sentiment de lassitude, causée par la monotonie de la vie, voire le désintérêt pour quoi que ce soit. Dès lors, on se demande, Pourquoi ? ou Pour quoi ? Une mélancolie provoquée, comme souvent, par le cafard ou le détachement des choses ? Beaucoup d’écrivains se sont laissés séduire par cette thématique, comme Alberto Moravia, entre autres, qui décrit des Hommes vaincus par la réalité, parce que guidés par elle, et le chanteur Fauve, par exemple, va même jusqu’à y voir un crime, dans ses chansons.

« Mal nommer les choses, c’est goûter au malheur du monde », ajoute pour sa part Albert Camus ; en fait, ce qui est, est, et il n’y a rien d’autre à en dire, chaque question supplémentaire n’aboutissant qu’à l’embrouille, le vague, la confusion. A un capharnaüm ou bric-à-brac où rien ne va de soi. Comme disait ma grand-mère, « l’ennui » est le propre de ceux qui ne veulent rien faire de leurs dix doigts, et d’après les experts, « s’ennuyer », c’est-à-dire, se morfondre, nuit gravement à la santé, pouvant avoir même des effets secondaires, tels que l’anxiété et l’angoisse, amenant souvent à la dépression et à des risques cardiovasculaires. Il ne semble pas que l’on puisse donc s’attendre à des résultats positifs dans une telle affection.

Qu’en a-t-on dit ?

Que « la traduction, en anglais, serait ‘trouble’ », « qu’il s’agissait d’une perte de conscience, et l’on s’est demandé quelles seraient ses causes, puis quel serait son moteur et son action, une absurde étymologie ayant été imaginée, « ‘en-nuit’, ‘qui-voudrait-dire’, dans la nuit », ou « un rapport avec le rêve qui inviterait à réfléchir pour s’en sortir, au risque de s’y complaire », « ‘penser’, c’est l’extase ». On a envisagé « le ‘stress’ dans la gestion du temps », « Verlaine, emprisonné, mais composant des beaux poèmes », « l’ennui né du bercement et de la paresse », « qu’un autre mot pour ‘l’ennui’ pourrait être la fainéantise », « rapprocher l’autre’ du ‘même’ », « qu’il fallait affronter la bête et pas botter en touche », et distinguer « l’ennui agréable, comme la solitude ou envie de rien faire, de l’ennui- paralysie », « on ne s’évade que par l’action », « dans le travail, on ne s’ennuie pas ; on se pose des questions », « pour sortir de l’ennui, il faut faire autre chose, le ménage, par exemple », « la graine se trouve dans l’arbre déjà », « Robinson Crusoé et Don Quichotte ne s’évadent pas », « l’apprentissage demande patience », « temps résigné, temps lucide ». « Entre philosophie et psychologie, la liaison n’est pas assurée », il faut faire face à soi-même », « la campagne et sports extrêmes pour sortir de l’ennui » …

Pour finir, « l’ennui, n’est qu’une maladie moderne »…

Gill nous a gratifié de ses vers, concluant par : « O Temps, suspends ton vol… »       

Bref :

D’après le curé de mon village, qui préchait sur un nuage, s’ennuyer n’est pas bon pour la santé, en raison des effets secondaires indésirables que celà peut avoir, tels que l’anxiété et l’angoisse, capables de mener à la consommation d’alcool, tabac ou autres drogues, entraînant souvent la dépression, ainsi que des risques cardiovasculaires. Moralité : l’ennui est le propre de ceux qui ne savent rien faire de leurs dix doigts et, celui qui connaît l’art de vivre avec soi-même, ne se morfond point. Il faut faire de l’ennui une distraction comme une autre. Or, si je me fie à Jankélévitch, les Hommes agissent souvent à rebours. Ils pensent sérieusement ce qui ne l’est pas, et à la légère ce qui est sérieux. Ils pontifient dans les choses frivoles, et se conduisent comme des polissons dans circonstances les plus préoccupantes, … bien que la seule chose sérieuse, ici bas, soit l’humour.

Carlos

Le débat du 1er septembre 2013 : « Quel sens donner à nos larmes ? », animé par Sabine Miniconi.

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Posted on 26th août 2013 by Gunter in Uncategorized

L e débat du 25 aout 2013 : « L´amour est-il le contraire du pouvoir ? », animé par Jean-Luc Berlet.

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Posted on 21st août 2013 by Gunter in Uncategorized

Le debat du 18 aout 2013: « Peut-on défendre l´indéfendable », animé par Idriss Sankhon.

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Posted on 14th août 2013 by Gunter in Uncategorized

Le débat du 11 août 2013 : « L´art est-il un court-circuit de la vie reelle ? », animé par Michel Turrini.

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Posted on 5th août 2013 by Gunter in Uncategorized

Le débat du 4 août 2013 : « A-t-on besoin de visionnaire ? », animé par Jean-Luc Berlet.

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Posted on 31st juillet 2013 by Gunter in Uncategorized

Le débat du 28 juillet 2013 :  » Y a-t-il une autonomie de pensée sans ordre social ? », animé par José Talavera.

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Posted on 24th juillet 2013 by Gunter in Uncategorized

Le débat du 21 juillet 2013 : « Sommes-nous prisonniers de nos habitudes ? « , animé par Claudine Enjalbert.

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Posted on 17th juillet 2013 by Gunter in Uncategorized

Le débat du 14 juillet 2013 : « Pour comprendre l’art, faut-il être un intellectuel ? », animé par Eric Zernik.

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Posted on 10th juillet 2013 by Gunter in Uncategorized

Débat du 7 Juillet 2013: « D’où vient le Mal; où va-t-il ? », animé par Jo Strich.

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Posted on 8th juillet 2013 by Carlos in Uncategorized

Tout va Mal. De l’agonie de Nelson Mandela dans un Hôpital de Pretoria à la trouble affaire impliquant  Joseph Snowden qui aurait rendu publiques des informations Top Secrètes Américaines ayant pour conséquence l’interdiction du survol de la France par l’avion où se trouvait le président Bolivien Morales, aux troubles provoqués en Egypte par l’obscure passation de Pouvoirs, ainsi que des insolites manipulations électorales aux USA, tout porte à croire qu’il y a de l’eau dans le gaz. Pas étonnant qu’au Café des Phares®, le Débat du 7 Juillet 2013 portât sur la brûlante question : « D’où vient le Mal ; où va-t-il ? », animée, en l’occurrence, par Jo Stricht.

Au fond, tout bien regardé, il s’agit d’une allégorie de la machine à laver. En effet, pour l’alimenter en Eau, un corps assez renversant qui fait partie des quatre éléments reconnus par l’Antiquité, d’où tout provient et auxquels chaque chose fini par se réduire, il faut, normalement à cet engin deux robinets d’arrêt : l’un sur le tuyau d’arrivée, l’autre sur la machine où le liquide est sensé s’introduire. Ainsi, le Mal viendrait de quelque part, indépendamment de là où il est judicieux d’aller, comme le Bien, d’ailleurs, et il nous faudrait posséder les outils nécessaires à son utilisation ultérieure.

Du coup, si je cherche à apprendre « qu’est-ce que le Mal ? », constitue déjà un sacré problème, pour connaître « Où va-t-il ? », il vaut mieux avoir l’idée d’un champ d’écoulement, dès que l’on fait question de se demander « d’où est-ce qu’il vient » ; aïe, aïe, aïe !

Mais, de quel Mal est-il question, d’abord ? De celui qui frappe les Hommes ? Qu’est-ce qu’un Homme ? A en croire la légende, les Bébés, des projets d’Homme, sont apportés par les Cigognes, des oiseaux de bon augure dont la symbolique est associée à la naissance, d’un joli marmot, par exemple. Qui plus est, la tradition fait de l’échassier aux longues pattes et au long bec rouge, un symbole de fertilité, un messager dont le rôle est d’entraîner ces Poupons dans le Monde des Vivants qui, d’une façon ou d’une autre en auraient manifesté le désir. Du coup, cet adjectif de négation donc, Le Mal, s’opposant à l’occasion au Bien, se revêtit forcément au moins d’une des trois formes : Défaut, ou manque de Bien, Faute, ou négation du Bien, puis Crime, soit, la destruction du Bien, et peut être entendu, finalement, comme le Concept sous lequel ils se rangent.

Si l’on part, pourtant, du principe que le Mal est odieux, puisqu’il est question d’un négatif compris comme absence de son contraire, ou même opposé à lui et peut être entendu, en même temps, telle une matière métaphysique à laquelle les religions doivent leur essor, qu’il soit physique, c’est-à-dire, infligé par des Hommes les uns aux autres, voire, contracté par chacun, volontairement ou pas, il s’agirait là d’une pratique que les Gens s’appliquent de leur propre chef et dont ils sont responsables, c’est-à-dire, tout ce qui affecte l’Homme et lui nuit physique ou moralement ne se distinguant pas très bien de ce qui est « Mauvais ».

Dans ces conditions, se demander d’où il vient, le Mal (étymologiquement du latin ‘mallum’), est une question un peu oisive à laquelle toutes les religions ont fait référence et associé un châtiment exemplaire, bien à la mesure de la pagaille introduite dans le dessin parfaitement agencé de la création. Bref, le Mal est un désordre, un désordre indésirable qui nous arrive par effraction et ne peut mener qu’à la perdition, si l’on veut essayer de savoir où il va. C’est tout ce qui affecte l’Homme et lui nuit physiquement ou moralement et se distingue malaisément du mauvais, ce qui fait que le réel devrait se conformer à nos désirs, comme on le souhaite, et représente métaphysiquement l’imperfection fondamentale du monde, Leibniz distinguant ce mal métaphysique du « mal physique » (la souffrance) et du « mal moral » (le péché), mais ça c’est une autre histoire.

Ça nous a néanmoins donné l’occasion de remplir une heure de débat, où il a été question de nous interroger sur « les maux de Job », « la banalité du Mal », « perpétré bel et bien par les Hommes », d’où la conclusion hâtive, « s’il n’y a pas de Mal, il n’y a pas de Dieu », alors que « le mal est en nous » et « existe dans l’action de l’Homme », « un sentiment d’éternité mis en question par la mort », quoique « Anna Arendt ait dit : ‘ceux qui ont produit le Mal ne le portent pas sur le visage’, le ‘Mal’ d’aujourd’hui étant ‘l’obéissance’, un drame démontré par l’expérience de Milgram », « le ‘Mal’ revenant à la désobéissance à Dieu », « d’où les Commandements, un défi qui porte à parfaitement distinguer le Bien du Mal », puis, « il se trouve qu’il y a toujours du ‘Bien’ et du ‘Mal’, du point de vue de l’autre ; on adhère ou pas, et ça fait la différence », et encore, « s’il n’y a pas de souffrance, où est le ‘mal’ ? », « le ‘mal’ comme concept créé pour le contrôle social, voire, l’invitation à se souvenir du Titanic », c’est-à-dire, « mettre la vie avant tout », et « éviter de tenter d’occulter le Mal », « le Terrorisme politique » et « les binômes 100% Bien, 100% Mal ».

Enfin !

L’optimiste pense que « le Mal n’existe pas, tout simplement. »

Le pessimiste que  « si le Mal n’existe pas, c’est encore pire. »

Je crains qu’en tous cas, ce ne soit pas le cas.

Carlos